Investing.com - Le dollar U.S. était en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, après que le chef de son émettrice ait rappelé qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a cessé de fléchir devant lui, l'EUR/USD frémissant de 0,01% pour se rétablir à 1,3163, après avoir établi un plancher journalier à 1,3052.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a ainsi assuré que les rachats d'actifs de cette dernière pourraient diminuer plus ou moins vite, voire augmenter en fonction de l'évolution de la situation économique et financière.
Il a ajouté que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il a tenu ces propos lors de son audition devant le comité financier parlementaire.
Les autorités parlementaires américaines ont aussi signalé une chute inattendue du nombre des permis de construire délivrés le mois passé, ainsi que celui des lancements de chantiers.
Le premier a ainsi fondu de 7,5% pour un total de 911.000, alors qu'un sursaut de 1,5% pour l'amener à un million était envisagé.
Le second s'est effondré de 9,9% dans le même temps, pour se situer à 836.000, alors que 3,9% supplémentaires pour lui faire atteindre 959.000 étaient attendus.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD avançant de 0,60% pour s'élever à 1,5245, aux abords de son pic du jour.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le procès-verbal de la dernière réunion de son émettrice ait montré que ses décideurs avaient opté unanimement pour le statu quo.
Les deux membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre qui avaient auparavant voté pour davantage de coups de pouces les estimaient cependant toujours "nécessaires".
Le bureau britannique des statistiques avait pour sa part ainsi dénombré 21.200 demandeurs d'emploi inscrits de moins après ajustement saisonnier puor juin, au lieu des 8.000 pressentis.
Le taux de chômage s'est quand à lui maintenu sans surprise à 7,8% en mai.
Il n'en allait pas de même avec le yen, qui limitait cependant les dégâts, l'USD/JPY grimpant de 0,39% pour se hisser à 99,89.
Le compte-rendu détaillé de la dernière réunion de la Banque du Japon avait fait savoir à l'aube que l'économie nippone devrait retrouver le chemin d'une reprise modérée, insistant sur le fait que ses apports de capitaux se prolongeraient aussi longtemps que nécessaire.
Le franc suisse a par contre exercé sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,10% pour se replier à 0,9379.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD arrachant 0,06% pour se retrouver à 0,9256, après avoir culminé à 0,9274, le NZD/USD avançant de 0,08% pour se situer à 0,7898, ayant auparavant établi un sommet à 0,7926.
Elle gardait cependant un mince avantage par rapport à la canadienne, l'USD/CAD prenant 0,02% pour monter à 1,0368, s'écroulant depuis 1,0408.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 82,54.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a cessé de fléchir devant lui, l'EUR/USD frémissant de 0,01% pour se rétablir à 1,3163, après avoir établi un plancher journalier à 1,3052.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a ainsi assuré que les rachats d'actifs de cette dernière pourraient diminuer plus ou moins vite, voire augmenter en fonction de l'évolution de la situation économique et financière.
Il a ajouté que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il a tenu ces propos lors de son audition devant le comité financier parlementaire.
Les autorités parlementaires américaines ont aussi signalé une chute inattendue du nombre des permis de construire délivrés le mois passé, ainsi que celui des lancements de chantiers.
Le premier a ainsi fondu de 7,5% pour un total de 911.000, alors qu'un sursaut de 1,5% pour l'amener à un million était envisagé.
Le second s'est effondré de 9,9% dans le même temps, pour se situer à 836.000, alors que 3,9% supplémentaires pour lui faire atteindre 959.000 étaient attendus.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD avançant de 0,60% pour s'élever à 1,5245, aux abords de son pic du jour.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le procès-verbal de la dernière réunion de son émettrice ait montré que ses décideurs avaient opté unanimement pour le statu quo.
Les deux membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre qui avaient auparavant voté pour davantage de coups de pouces les estimaient cependant toujours "nécessaires".
Le bureau britannique des statistiques avait pour sa part ainsi dénombré 21.200 demandeurs d'emploi inscrits de moins après ajustement saisonnier puor juin, au lieu des 8.000 pressentis.
Le taux de chômage s'est quand à lui maintenu sans surprise à 7,8% en mai.
Il n'en allait pas de même avec le yen, qui limitait cependant les dégâts, l'USD/JPY grimpant de 0,39% pour se hisser à 99,89.
Le compte-rendu détaillé de la dernière réunion de la Banque du Japon avait fait savoir à l'aube que l'économie nippone devrait retrouver le chemin d'une reprise modérée, insistant sur le fait que ses apports de capitaux se prolongeraient aussi longtemps que nécessaire.
Le franc suisse a par contre exercé sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,10% pour se replier à 0,9379.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD arrachant 0,06% pour se retrouver à 0,9256, après avoir culminé à 0,9274, le NZD/USD avançant de 0,08% pour se situer à 0,7898, ayant auparavant établi un sommet à 0,7926.
Elle gardait cependant un mince avantage par rapport à la canadienne, l'USD/CAD prenant 0,02% pour monter à 1,0368, s'écroulant depuis 1,0408.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 82,54.