Investing.com - Le dollar U.S. a fini par flancher face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, le bon volume des marchandises à longue durée de vie attendues n'ayant pas réussi à compenser un chômage inquiétant.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Le département d'état au commerce américain a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% était craint.
Leur poussée de 3,7% avancée pour mai a d'autre part été revue jusqu'à 5,2%.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ont par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY sombrant de 0,61% pour reprendre pied à 99,65, creusant une nouvelle ornière journalière.
Il en allait de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD prenant 0,22% pour monter à 1,3228.
Il avait auparavant été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Le billet vert par contre vu la livre sterling sauver les meubles, le GBP/USD glissant de 0,01% pour chuter à 1,5315.
Il avait été constaté à la mi-journée que la croissance économique britannique s'était sans surprise élevée à 1,4% annualisés au second trimestre.
Elle a aussi réalisé comme prévu une expansion trimestrielle de 0,6%, améliorant là encore les 0,3% précédents.
Le franc suisse a aussi échappé à sa pression, l'USD/CHF dégringolant de 0,41% pour sombrer à 0,9335.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD frémissant de 0,17% pour se retrouver à 0,9182, le NZD/USD arrachant 1,33% pour culminer à 0,8047 et l'USD/CAD laissant filer 0,30% pour couler à 1,0280.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait opté à l'aube pour le maintien de son taux d'intérêt directeur à 2,5%, mais laissé entendre qu'il pourrait être revu à la hausse au début de l'année prochaine.
Son gouverneur Graeme Wheeler a précisé: "Les coûts des emprunts devraient demeurer stables jusqu'à la fin de l'année, bien qu'une diminution des perfusions d'argent frais doivent diminuer un jour ou l'autre."
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de son côté de 0,25% pour se situer à 82,17.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Le département d'état au commerce américain a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% était craint.
Leur poussée de 3,7% avancée pour mai a d'autre part été revue jusqu'à 5,2%.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ont par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY sombrant de 0,61% pour reprendre pied à 99,65, creusant une nouvelle ornière journalière.
Il en allait de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD prenant 0,22% pour monter à 1,3228.
Il avait auparavant été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Le billet vert par contre vu la livre sterling sauver les meubles, le GBP/USD glissant de 0,01% pour chuter à 1,5315.
Il avait été constaté à la mi-journée que la croissance économique britannique s'était sans surprise élevée à 1,4% annualisés au second trimestre.
Elle a aussi réalisé comme prévu une expansion trimestrielle de 0,6%, améliorant là encore les 0,3% précédents.
Le franc suisse a aussi échappé à sa pression, l'USD/CHF dégringolant de 0,41% pour sombrer à 0,9335.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD frémissant de 0,17% pour se retrouver à 0,9182, le NZD/USD arrachant 1,33% pour culminer à 0,8047 et l'USD/CAD laissant filer 0,30% pour couler à 1,0280.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait opté à l'aube pour le maintien de son taux d'intérêt directeur à 2,5%, mais laissé entendre qu'il pourrait être revu à la hausse au début de l'année prochaine.
Son gouverneur Graeme Wheeler a précisé: "Les coûts des emprunts devraient demeurer stables jusqu'à la fin de l'année, bien qu'une diminution des perfusions d'argent frais doivent diminuer un jour ou l'autre."
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de son côté de 0,25% pour se situer à 82,17.