Investing.com - Le dollar U.S. restait en assez bonne forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, dans le sillage des propos sur la politique monétaire du chef de son émettrice, estimant que ses injections de liquidités devraient être plus limitées d'ici la fin de l'année.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3110.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé lors de son audition semestrielle devant le congrès qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,46% pour se hisser à 100,01.
Le billet vert a par contre cédé du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD s'élevant de 0,15% pour reprendre pied à 1,5234, grâce à des résultats commerciaux britanniques encourageants.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que les ventes au détail avaient augmenté comme prévu de 0,2% en juin, et de 2,2% d'une année sur l'autre.
Le franc suisse a cependant subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,22% pour culminer à 0,9429.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs moins nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD reculant de 0,58% pour se retrouver à 0,9185, le NZD/USD se laissant arracher 0,15% pour toucher le fond à 0,7892 et l'USD/CAD prenant 0,04% pour monter à 1,0409.
La première s'est a perdu des plumes après que la National Australia Bank ait fait savoir à l'aube que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 2 à -1 au cours du second trimestre.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a aussi souligné que son indice des signaux économiques prévisionnels de l'Australie avait stagné en mai, après avoir pourtant frémi de 0,3% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 82,88.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3110.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé lors de son audition semestrielle devant le congrès qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,46% pour se hisser à 100,01.
Le billet vert a par contre cédé du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD s'élevant de 0,15% pour reprendre pied à 1,5234, grâce à des résultats commerciaux britanniques encourageants.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que les ventes au détail avaient augmenté comme prévu de 0,2% en juin, et de 2,2% d'une année sur l'autre.
Le franc suisse a cependant subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,22% pour culminer à 0,9429.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs moins nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD reculant de 0,58% pour se retrouver à 0,9185, le NZD/USD se laissant arracher 0,15% pour toucher le fond à 0,7892 et l'USD/CAD prenant 0,04% pour monter à 1,0409.
La première s'est a perdu des plumes après que la National Australia Bank ait fait savoir à l'aube que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 2 à -1 au cours du second trimestre.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a aussi souligné que son indice des signaux économiques prévisionnels de l'Australie avait stagné en mai, après avoir pourtant frémi de 0,3% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 82,88.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.