Investing.com - Le dollar U.S. était davantage en berne qu'à l'ouverture face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, la déception provenant du marché de l'emploi des Etats-Unis ayant fait douter du réalisme des bruits évoquant une fermeture imminente des vannes de leur banque centrale.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0,21% pour grimper à 1,3206.
Le département d'état au travail américain avait en effet dénombré vendredi 169.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 180.000 était espérée et que les totaux des deux mois précédents étaient revus vers le bas.
Cette mauvaise nouvelle a du coup entretenu le suspense au sujet de la possibilité d'une réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs qu'effectue mensuellement la Réserve Fédérale dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs après que l'institut de recherches économiques Sentix ait vu son baromètre de la confiance des investisseurs dans le bloc l'ayant adoptée s'envoler de -4,9 vers 6,5 pour septembre, au lieu de se limiter à -2,8 comme pressenti.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,40% pour se hisser à 1,5693.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, a pour sa part déclaré que l'économie était en train de "passer un cap", mais qu'elle demeurait vulnérable.
Il n'en allait pas de même avec la valeur sûre du yen, l'USD/JPY empochant 0,27% pour se retrouver à 99,37, après avoir atteint 100,11.
Les refuges traditionnels se sont retrouvés sur la défensive, l'indice-phare nippon rebondissant en raison de l'idée selon laquelle les investissements et les chantiers destinés à accueillir les jeux olympiques de 2020 aideront à mener l'archipel sur le chemin de la relance pour les prochaines années.
Il avait d'autre part été révélé à l'aube que l'économie du Japon avait connu une expansion de 0,9% au second trimestre, alors que seulement 0,6% étaient pressentis, pour l'amener à 3,8% annualisés, au lieu des 2,6% des premières évaluations.
Les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés dimanche ont aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide, renforçant la propension à l'audace.
Les exportations nationales ont ainsi enflé de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,37% pour tomber à 0,9342.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,16% pour monter à 0,9207, le NZD/USD engrangeant 0,07% pour culminer à 0,8011 et l'USD/CAD régressant de 0,39% pour aller vers 1,0371.
La première, fortement dépendante de la demande chinoise, profitait elle aussi des bonnes nouvelles régionales, au lendemain d'élections fédérales.
La troisième a établi des pics journaliers après que les autorités du Canada aient délivré 20,7% de permis de construire supplémentaires en juillet, pulvérisant ainsi les 1% pressentis.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,22% pour se situer à 81,99.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0,21% pour grimper à 1,3206.
Le département d'état au travail américain avait en effet dénombré vendredi 169.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 180.000 était espérée et que les totaux des deux mois précédents étaient revus vers le bas.
Cette mauvaise nouvelle a du coup entretenu le suspense au sujet de la possibilité d'une réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs qu'effectue mensuellement la Réserve Fédérale dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs après que l'institut de recherches économiques Sentix ait vu son baromètre de la confiance des investisseurs dans le bloc l'ayant adoptée s'envoler de -4,9 vers 6,5 pour septembre, au lieu de se limiter à -2,8 comme pressenti.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,40% pour se hisser à 1,5693.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, a pour sa part déclaré que l'économie était en train de "passer un cap", mais qu'elle demeurait vulnérable.
Il n'en allait pas de même avec la valeur sûre du yen, l'USD/JPY empochant 0,27% pour se retrouver à 99,37, après avoir atteint 100,11.
Les refuges traditionnels se sont retrouvés sur la défensive, l'indice-phare nippon rebondissant en raison de l'idée selon laquelle les investissements et les chantiers destinés à accueillir les jeux olympiques de 2020 aideront à mener l'archipel sur le chemin de la relance pour les prochaines années.
Il avait d'autre part été révélé à l'aube que l'économie du Japon avait connu une expansion de 0,9% au second trimestre, alors que seulement 0,6% étaient pressentis, pour l'amener à 3,8% annualisés, au lieu des 2,6% des premières évaluations.
Les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés dimanche ont aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide, renforçant la propension à l'audace.
Les exportations nationales ont ainsi enflé de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,37% pour tomber à 0,9342.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,16% pour monter à 0,9207, le NZD/USD engrangeant 0,07% pour culminer à 0,8011 et l'USD/CAD régressant de 0,39% pour aller vers 1,0371.
La première, fortement dépendante de la demande chinoise, profitait elle aussi des bonnes nouvelles régionales, au lendemain d'élections fédérales.
La troisième a établi des pics journaliers après que les autorités du Canada aient délivré 20,7% de permis de construire supplémentaires en juillet, pulvérisant ainsi les 1% pressentis.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,22% pour se situer à 81,99.