Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, profitant de l'hypothèse d'une fermeture imminente des vannes de son émettrice, dans l'expectative des prises de cap de celles de ses adversaires.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,11% pour tomber à 1,3192.
La monnaie unique demeurait fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion d'aujourd'hui.
Les récentes performances manufacturières américaines ont d'autre part conforté l'hypothèse d'un coup de frein aux assouplissements quantitatifs de la Réserve Fédérale dès septembre.
Les observateurs guettent désormais pour vendredi le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,02% pour chuter à 1,5620.
Les probabilités pour que la Banque d'Angleterre opte pour le statu quo dans le sillage de sa prise de cap de l'après-midi sont cependant prédominantes.
Elle avait en effet réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,11% pour se hisser à 99,86 et l'USD/CHF grignotant 0,44% pour culminer à 0,9395.
La Banque du Japon a confirmé après deux jours de délibération qu'elle ajouterait annuellement 60 à 70 billions de JPY à la masse monétaire nationale.
Elle a aussi exprimé davantage d'optimisme au sujet de l'état de l'économie, estimant qu'une relance modeste se poursuivait.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,34% pour se retrouver à 0,9142, le NZD/USD se laissant arracher 0,41% pour toucher le fond à 0,7873 et l'USD/CAD stagnant à 1,0494.
Il avait été signalé à l'aube que le commerce extérieur de l'Australie avait basculé sans crier gare d'un surplus de 240 à un déficit de 770 milions d'AUD pour juillet.
Les experts ne pensaient pourtant pas qu'il passerait au-dessous des 50 millinos de solde positif pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 82,30.
La prudence restait de mise après que le comité sénatorial des affaires étrangères américain ait donné hier son aval à une résolution autorisant une intervention militaire limitée contre la Syrie, permettant ainsi de dégager la voie à un débat du sénat entier, qui devrait se prononcer sur la question à sa rentrée, le 9 septembre.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait quand à elle publier aujourd'hui le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront ensuite leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec le niveau de l'activité nationale hors industries.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,11% pour tomber à 1,3192.
La monnaie unique demeurait fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion d'aujourd'hui.
Les récentes performances manufacturières américaines ont d'autre part conforté l'hypothèse d'un coup de frein aux assouplissements quantitatifs de la Réserve Fédérale dès septembre.
Les observateurs guettent désormais pour vendredi le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,02% pour chuter à 1,5620.
Les probabilités pour que la Banque d'Angleterre opte pour le statu quo dans le sillage de sa prise de cap de l'après-midi sont cependant prédominantes.
Elle avait en effet réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,11% pour se hisser à 99,86 et l'USD/CHF grignotant 0,44% pour culminer à 0,9395.
La Banque du Japon a confirmé après deux jours de délibération qu'elle ajouterait annuellement 60 à 70 billions de JPY à la masse monétaire nationale.
Elle a aussi exprimé davantage d'optimisme au sujet de l'état de l'économie, estimant qu'une relance modeste se poursuivait.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,34% pour se retrouver à 0,9142, le NZD/USD se laissant arracher 0,41% pour toucher le fond à 0,7873 et l'USD/CAD stagnant à 1,0494.
Il avait été signalé à l'aube que le commerce extérieur de l'Australie avait basculé sans crier gare d'un surplus de 240 à un déficit de 770 milions d'AUD pour juillet.
Les experts ne pensaient pourtant pas qu'il passerait au-dessous des 50 millinos de solde positif pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 82,30.
La prudence restait de mise après que le comité sénatorial des affaires étrangères américain ait donné hier son aval à une résolution autorisant une intervention militaire limitée contre la Syrie, permettant ainsi de dégager la voie à un débat du sénat entier, qui devrait se prononcer sur la question à sa rentrée, le 9 septembre.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait quand à elle publier aujourd'hui le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront ensuite leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec le niveau de l'activité nationale hors industries.