Investing.com - L'euro était en large repli face à la plupart de ses concurrents ce lundi, les craintes concernant la crise de la dette de la zone euro et la hausse des coûts des emprunts de ses membres périphériques le tirant vers le bas dans l'expectative du témoignage de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi sous le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.47% pour plonger à 1.2191.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette en raison des bruits selon lesquels certains détenteurs d'obligations espagnoles se trouveraient forcés d'accepter des pertes par les termes du plan de sauvetage des banques espagnoles.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est de nouveau rapproché du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme, pour se situer à 6.71%, tandis que celles de l'Italie montaient à 6.07%.
La cour constitutionnelle allemande a pour sa part annoncé en début de journée qu'elle prendra sa décision concernant la conformité du fonds de secours permanent de la région avec la loi fondamentale du pays le 12 septembre, décevant l'attente d'une prise de position plus rapide.
Les observateurs guettaient également la comparution mardi de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devant le Sénat, ainsi que son témoignage de mercredi, alors que les hypothèses fusaient quand à l'introduction ou non d'accomodements destinés à donner un coup de fouet à l'économie.
La monnaie unique a dérapé dans un creux de trois ans et demi devant la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.18% pour glisser à 0.7849, et dans une ornière de six semaines contre le yen, l'EUR/JPY dégringolant de 0.7% vers 96.29.
Le franc suisse lui a farouchement résisté, l'EUR/CHF grignotant 0.01% pour se hisser à 1.201.
Des planchers historiques se profilaient par rapport à ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.37% pour se retrouver à 1.193, l'EUR/CAD reculant de 0.37% jusqu'à 1.237 et l'EUR/NZD se rétractant de 0.38% pour se situer à 1.5328.
Les autorités du bloc euro n'ont guère causé de variations en faisant savoir ce matin que les prix au détail de la région avaient sans surprise augmenté de 2.4% annualisés pour juin, tout comme pour le mois précédent.
L'indice des prix a toutefois diminué de 0.1% d'un mois sur l'autre, alors qu'une valeur neutre était attendue, après avoir déjà pareillement reculé en mai.
Les autorités des Etats-Unis devraient quand à elles dévoiler dans l'après-midi le volume des ventes au détail, celui des stocks des entreprises, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de New York, tandis que le Fonds Monétaire International publiera ses prévisions de croissance économique à l'échelle planétaire.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi sous le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.47% pour plonger à 1.2191.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette en raison des bruits selon lesquels certains détenteurs d'obligations espagnoles se trouveraient forcés d'accepter des pertes par les termes du plan de sauvetage des banques espagnoles.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est de nouveau rapproché du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme, pour se situer à 6.71%, tandis que celles de l'Italie montaient à 6.07%.
La cour constitutionnelle allemande a pour sa part annoncé en début de journée qu'elle prendra sa décision concernant la conformité du fonds de secours permanent de la région avec la loi fondamentale du pays le 12 septembre, décevant l'attente d'une prise de position plus rapide.
Les observateurs guettaient également la comparution mardi de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devant le Sénat, ainsi que son témoignage de mercredi, alors que les hypothèses fusaient quand à l'introduction ou non d'accomodements destinés à donner un coup de fouet à l'économie.
La monnaie unique a dérapé dans un creux de trois ans et demi devant la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.18% pour glisser à 0.7849, et dans une ornière de six semaines contre le yen, l'EUR/JPY dégringolant de 0.7% vers 96.29.
Le franc suisse lui a farouchement résisté, l'EUR/CHF grignotant 0.01% pour se hisser à 1.201.
Des planchers historiques se profilaient par rapport à ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.37% pour se retrouver à 1.193, l'EUR/CAD reculant de 0.37% jusqu'à 1.237 et l'EUR/NZD se rétractant de 0.38% pour se situer à 1.5328.
Les autorités du bloc euro n'ont guère causé de variations en faisant savoir ce matin que les prix au détail de la région avaient sans surprise augmenté de 2.4% annualisés pour juin, tout comme pour le mois précédent.
L'indice des prix a toutefois diminué de 0.1% d'un mois sur l'autre, alors qu'une valeur neutre était attendue, après avoir déjà pareillement reculé en mai.
Les autorités des Etats-Unis devraient quand à elles dévoiler dans l'après-midi le volume des ventes au détail, celui des stocks des entreprises, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de New York, tandis que le Fonds Monétaire International publiera ses prévisions de croissance économique à l'échelle planétaire.