Investing.com - L'euro a poursuivi son ascension face à la plupart de ses concurrents ce mardi, dans l'attente grandissante d'indices de nouveaux accomodements que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, pourrait donner en fin de journée.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD prenant 0.17% pour se hisser à 1.2292.
Il avait retrouvé des couleurs à l'approche du rapport de M. Bernanke sur les perspectives économiques américaine devant le sénat cet après-midi, ainsi que de celui de demain, sur fond de bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux.
Ceux-ci allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé le mois dernier pour le troisième mois consécutif.
L'Espagne a quand à elle vu une diminution des coûts de ses emprunts à court terme lors d'une mise aux enchères à la mi-journée de bons du trésor à 12 et 18 mois, mais le taux de ses obligations décennales s'était élevé jusqu'à 6.87%, demeurant dangereusement proche du seuil fatidique des 7%, sur fond d'inquiétudes concernant les caisses de l'état.
Il s'est aussi extirpé d'un gouffre de trois ans et demi contre la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.14% pour grimper à 0.7859, et a gagné du terrain sur le yen, l'EUR/JPY progressant de 0.35% pour se situer à 97.11.
Du côté du Royaume-Uni, des informations officielles avaient montré ce matin que les prix au détail britanniques avaient connu ce mois-là leur plus faible augmentation en plus de deux ans et demi, les boutiques offrant des promotions sur les vêtements et les chaussures afin de pousser à la consommation.
Le bureau national des statistiques a en effet signalé que l'indice des prix n'avait grimpé que de 2.4% à l'année, contre 2.8% en mai, sa progression la plus faible depuis novembre 2009, et ce alors qu'un maintien à un niveau identique était prévu.
La devise nippone est quand à elle retombée après que Jun Azumi, le ministre des finances japonais, ait laissé entendre que le gouvernement restait prêt à intervenir pour juguler toute envolée de sa part.
Le franc suisse a à peine pu exercer sa pression, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.2009.
Des planchers historiques restaient à portée de tir par rapport à ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.23% pour se retrouver à 1.1947, l'EUR/CAD reculant de 0.19% jusqu'à 1.2478 et l'EUR/NZD frémissant par contre de 0.19% pour culminer à 1.5397.
Le compte-rendu de la réunion de la Réserve Bancaire d'Australie de juillet avait montré en début de matinée que les membres de son conseil directeur n'envisageaient pas de nouvelles injections de liquidités dans les mois à venir, donnant un coup de pouce à l'unité monétaire nationale.
Les autorités de Nouvelle-Zélande ont quand à elles fait savoir que pour le trimestre achevé en juin, l'inflation à la consommation du pays avait été inférieure aux prédictions, confortant l'idée selon laquelle la banque centrale devrait maintenir ses taux à leur niveau actuel à moyen terme.
Il était également à noter que le moral économique allemand avait subi pour ce mois-ci son troisième mois de repli d'affilée, tiré vers le bas par les craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro.
Le centre de recherches économiques ZEW avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de la confiance dans l'économie avait plongé à -19.6 en juillet, contre -16.9 auparavant, dépassant tout de même de peu les -20 redoutés.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD prenant 0.17% pour se hisser à 1.2292.
Il avait retrouvé des couleurs à l'approche du rapport de M. Bernanke sur les perspectives économiques américaine devant le sénat cet après-midi, ainsi que de celui de demain, sur fond de bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux.
Ceux-ci allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé le mois dernier pour le troisième mois consécutif.
L'Espagne a quand à elle vu une diminution des coûts de ses emprunts à court terme lors d'une mise aux enchères à la mi-journée de bons du trésor à 12 et 18 mois, mais le taux de ses obligations décennales s'était élevé jusqu'à 6.87%, demeurant dangereusement proche du seuil fatidique des 7%, sur fond d'inquiétudes concernant les caisses de l'état.
Il s'est aussi extirpé d'un gouffre de trois ans et demi contre la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.14% pour grimper à 0.7859, et a gagné du terrain sur le yen, l'EUR/JPY progressant de 0.35% pour se situer à 97.11.
Du côté du Royaume-Uni, des informations officielles avaient montré ce matin que les prix au détail britanniques avaient connu ce mois-là leur plus faible augmentation en plus de deux ans et demi, les boutiques offrant des promotions sur les vêtements et les chaussures afin de pousser à la consommation.
Le bureau national des statistiques a en effet signalé que l'indice des prix n'avait grimpé que de 2.4% à l'année, contre 2.8% en mai, sa progression la plus faible depuis novembre 2009, et ce alors qu'un maintien à un niveau identique était prévu.
La devise nippone est quand à elle retombée après que Jun Azumi, le ministre des finances japonais, ait laissé entendre que le gouvernement restait prêt à intervenir pour juguler toute envolée de sa part.
Le franc suisse a à peine pu exercer sa pression, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.2009.
Des planchers historiques restaient à portée de tir par rapport à ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.23% pour se retrouver à 1.1947, l'EUR/CAD reculant de 0.19% jusqu'à 1.2478 et l'EUR/NZD frémissant par contre de 0.19% pour culminer à 1.5397.
Le compte-rendu de la réunion de la Réserve Bancaire d'Australie de juillet avait montré en début de matinée que les membres de son conseil directeur n'envisageaient pas de nouvelles injections de liquidités dans les mois à venir, donnant un coup de pouce à l'unité monétaire nationale.
Les autorités de Nouvelle-Zélande ont quand à elles fait savoir que pour le trimestre achevé en juin, l'inflation à la consommation du pays avait été inférieure aux prédictions, confortant l'idée selon laquelle la banque centrale devrait maintenir ses taux à leur niveau actuel à moyen terme.
Il était également à noter que le moral économique allemand avait subi pour ce mois-ci son troisième mois de repli d'affilée, tiré vers le bas par les craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro.
Le centre de recherches économiques ZEW avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de la confiance dans l'économie avait plongé à -19.6 en juillet, contre -16.9 auparavant, dépassant tout de même de peu les -20 redoutés.