Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, à l'approche de la publication du procès-verbal du dernier conseil de direction de son émettrice, ainsi que du discours de son chef qui suivra.
En seconde partie de séance européenne, il a à peine moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,28% pour grimper à 1,2813, s'extirpant d'une ornière de trois mois.
Son large renforcement avait en effet toutes les chances de se poursuivre au cas où la Réserve Fédérale et son président Ben Bernanke rappelleraient une fois de plus que ses perfusions de liquidités à hauteur de 85 milliards d'USD mensuels pourraient bientôt se trouver réduites.
La monnaie unique n'avait guère de chances de s'enflammer, après qu'un haut responsable de la Banque Centrale Européenne ait fait savoir hier que ses prévisions pour les évolutions futures des taux d'intérêt s'étendaient aux-delà de 12 mois.
Le billet vert a cependant cédé davantage de terrain qu'à la mi-journée à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,23% pour se hisser à 1,4898, échappant ainsi à un gouffre de trois ans.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée hier à son pire niveau depuis juin 2010 après que de médiocres résultats manufacturiers britanniques aient augmenté les probabilités de nouveaux coups de pouce de la part de la Banque d'Angleterre.
Il a d'autre part subi une forte pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,91% pour se retrouver à 100,20.
La valeur refuge de ce dernier avait retrouvé du mordant après que les autorités de la Chine aient montré à l'aube que les exportations avaient diminué sans crier gare d'une année sur l'autre en juin, ranimant le spectre d'un essoufflement de la reprise mondiale, les importations suivant le même chemin, mettant en relief un ralentissement de la demande nationale.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,26% pour tomber à 0,9704.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,19% pour monter à 0,9192, le NZD/USD laissant échapper 0,03% pour toucher le fond à 0,7852 et l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0517.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,34% pour se situer à 84,56.
En seconde partie de séance européenne, il a à peine moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,28% pour grimper à 1,2813, s'extirpant d'une ornière de trois mois.
Son large renforcement avait en effet toutes les chances de se poursuivre au cas où la Réserve Fédérale et son président Ben Bernanke rappelleraient une fois de plus que ses perfusions de liquidités à hauteur de 85 milliards d'USD mensuels pourraient bientôt se trouver réduites.
La monnaie unique n'avait guère de chances de s'enflammer, après qu'un haut responsable de la Banque Centrale Européenne ait fait savoir hier que ses prévisions pour les évolutions futures des taux d'intérêt s'étendaient aux-delà de 12 mois.
Le billet vert a cependant cédé davantage de terrain qu'à la mi-journée à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,23% pour se hisser à 1,4898, échappant ainsi à un gouffre de trois ans.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée hier à son pire niveau depuis juin 2010 après que de médiocres résultats manufacturiers britanniques aient augmenté les probabilités de nouveaux coups de pouce de la part de la Banque d'Angleterre.
Il a d'autre part subi une forte pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,91% pour se retrouver à 100,20.
La valeur refuge de ce dernier avait retrouvé du mordant après que les autorités de la Chine aient montré à l'aube que les exportations avaient diminué sans crier gare d'une année sur l'autre en juin, ranimant le spectre d'un essoufflement de la reprise mondiale, les importations suivant le même chemin, mettant en relief un ralentissement de la demande nationale.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,26% pour tomber à 0,9704.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,19% pour monter à 0,9192, le NZD/USD laissant échapper 0,03% pour toucher le fond à 0,7852 et l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0517.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,34% pour se situer à 84,56.