Investing.com - Le dollar U.S. a pris l'avantage sur le franc suisse ce mardi, mais son avancée demeurait jugulée par l'idée selon laquelle son émettrice ne compterait pas resserer les boulons avant la fin de l'année.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9118 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9117, prenant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 0,9084, son plancher de sept mois établi hier, et de rencontrer de la résistance à 0,9229, son plafond du 27 août.
Le billet vert demeurait en effet sur la défensive après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une conslidation économique durable avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
La devise helvète a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,07% pour se hisser à 1,2299.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a quand à lui réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, son plus haut niveau en 18 mois, au lieu des 108,2 anticipés.
La monnaie unique restait en demi-teinte après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré qu'une troisième série d'injections de liquidités au sein des établissements financiers de la région où elle a cours était envisageable au cas où la sauvegarde de son économie en dépendrait.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part voir sous peu leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9118 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9117, prenant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 0,9084, son plancher de sept mois établi hier, et de rencontrer de la résistance à 0,9229, son plafond du 27 août.
Le billet vert demeurait en effet sur la défensive après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une conslidation économique durable avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
La devise helvète a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,07% pour se hisser à 1,2299.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a quand à lui réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, son plus haut niveau en 18 mois, au lieu des 108,2 anticipés.
La monnaie unique restait en demi-teinte après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré qu'une troisième série d'injections de liquidités au sein des établissements financiers de la région où elle a cours était envisageable au cas où la sauvegarde de son économie en dépendrait.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part voir sous peu leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.