Investing.com - Le dollar U.S. a pris l'avantage sur le franc suisse ce mardi, le moral ayant été requinqué par les belles performances de la Chine, sur fond de reflux de l'angoisse de frappes contre la Syrie de la part des Etats-Unis.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9347 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9343, prenant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9300, son plancher hebdomadaire établi hier, et de rencontrer de la résistance à 0,9390, son plafond datant du même jour.
De bons résultats industriels et commerciaux ont en effet rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
Il a ainsi été révélé à l'aube que la production des usines chinoises avait dépassé les espérances pour le mois passé, et que les ventes au détail avaient connu une amélioration inattendue.
L'atmosphère s'est également éclaircie après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Le billet vert demeurait cependant fragilisé après que le dernier décompte ait montré moins de créations de postes hors agriculture en août aux Etats-Unis qu'espéré.
Cette déception a du coup une fois de plus entretenu le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses 85 milliards de rachats d'actifs mensuels, ce qui pourrait arriver dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
L'étalon américain a par ailleurs gagné du terrain sur le yen, l'USD/JPY gagnant 0,28% pour se hisser à 100,07, mais était moins gourmand par rapport à l'euro, l'EUR/USD dérapant de 0,09% pour glisser à 1,3242.
Il avait auparavant été souligné que la récession subie par l'Italie était pire que redoutée.
Son économie a ainsi subi une déconvenue de 0,3% au second trimestre, au lieu des 0,2% estimés au préalable, pour un total annuel de 2,1% au lieu des 2% avancés.
Le coûts des emprunts nationaux ont du coup dépassé aujourd'hui ceux de l'Espagne pour la première fois en 18 mois, les obligations décennales contractées par Rome voyant leur taux atteindre 4,485%, contre 4,481% pour Madrid.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9347 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9343, prenant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9300, son plancher hebdomadaire établi hier, et de rencontrer de la résistance à 0,9390, son plafond datant du même jour.
De bons résultats industriels et commerciaux ont en effet rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
Il a ainsi été révélé à l'aube que la production des usines chinoises avait dépassé les espérances pour le mois passé, et que les ventes au détail avaient connu une amélioration inattendue.
L'atmosphère s'est également éclaircie après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Le billet vert demeurait cependant fragilisé après que le dernier décompte ait montré moins de créations de postes hors agriculture en août aux Etats-Unis qu'espéré.
Cette déception a du coup une fois de plus entretenu le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses 85 milliards de rachats d'actifs mensuels, ce qui pourrait arriver dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
L'étalon américain a par ailleurs gagné du terrain sur le yen, l'USD/JPY gagnant 0,28% pour se hisser à 100,07, mais était moins gourmand par rapport à l'euro, l'EUR/USD dérapant de 0,09% pour glisser à 1,3242.
Il avait auparavant été souligné que la récession subie par l'Italie était pire que redoutée.
Son économie a ainsi subi une déconvenue de 0,3% au second trimestre, au lieu des 0,2% estimés au préalable, pour un total annuel de 2,1% au lieu des 2% avancés.
Le coûts des emprunts nationaux ont du coup dépassé aujourd'hui ceux de l'Espagne pour la première fois en 18 mois, les obligations décennales contractées par Rome voyant leur taux atteindre 4,485%, contre 4,481% pour Madrid.