Investing.com - Le dollar U.S. a clôturé avec une légère avance sur l'euro ce vendredi, après avoir vu une poussée quite à la publication d'un rapport sur l'emploi américain supérieur aux attentes, mais sa fièvre est retombée une fois ses nuances prises en compte.
Il a en effet commencé par gagner du terrain sur l'euro et le yen après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait fait savoir que 146 000 emplois avaient été créés en novembre, dépassant ainsi les 93 000 espérés, tandis que le taux de chômage glissait de 7.9 à 7.7% dans le même temps, sa valeur la plus faible en près de quatre ans.
Mais il il s'est ensuite trouvé freiné par l'analyse selon laquelle cette bonne nouvelle était dûe au départ de travailleurs hors de la population active, et par la révision à la baisse des nouveaux postes dénombrés le mois précédent, depuis 171 000 vers 138 000.
Le moral avait déjà subi un coup dur le matin, la Bundesbank ayant réduit ses projections d'expansion économique allemande pour 2013 des 1.6% prédits en juin vers 0.4%, ajoutant que la crise de la dette de la zone euro aurait un impact grandissant sur sa plus grosse économie.
La monnaie unique avait subi un revers jeudi, après que Mario Draghi ait affirmé que ses collègues et lui avaient discuté d'un possible baissse de taux directeurs et modéré les prédictions de croissance et d'inflation lors de la conférence de presse tenue après sa prise de cap.
Elle avait auparavant maintenu sans surprise son taux de base à 0.75%.
Des résultats définitifs soulignaient aussi que l'activité économique du bloc avait diminué de 0.1% au troisième trimestre, conformément à l'évaluation préliminaire, confirmant son retour en récession suite aux 0.2% de contraction constatés lors du précédent.
La devise du pays du soleil levant demeurait quand à elle sur la sellette, dans l'expectative des élections législatives du 16 décembre, qui pourraient renforcer la pression poussant la Banque du Japon à adopter une politique monétaire plus agressive.
Son homologue de Grande-Bretagne se trouvait aussi fragilisée après que George Osborne, chancelier de l'échiquier et chargé des finances du pays, ait avoué mercredi que les prévisions gouvernementales laissaient à penser qu'un des objectifs de réduction des déficits ne serait pas atteint, laissant entrevoir la menace d'une perte de sa notation triple A.
Leur cousin canadien a par contre établi en fin de semaine un pic mensuel contre l'étalon américain, après qu'une étude de source gouvernementale ait mis en évidence 59 300 embauches pour le mois passé, pulvérisant ainsi les 10 000 envisagés.
La réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine prochaine, sur foud de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Le baromètre ZEW de l'humeur économique de l'Allemagne et un sommet des dirigeants européens seront aussi au menu.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 10 décembre
Le Japin fournira ses informations révisées concernant le produit intérieur brut du troisième trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et le premier des signes de vigueur de celle-ci.
L'Australie fera de même avec d'autres concerant les prêts immobiliers, préfigurant la demande sur le secteur du logements.
La zone euro verra quand à elle la France et l'Italie faire connaître le volume de leur production industrielle, poumon de leurs économies, alors que la région ne sera pas en reste avec un état des lieux de l'humeur des investisseurs.
Mardi 11 décembre
Le Royaume-Uni verre les spécialistes de l'immobilier annoncer l'évolution des coûts des habitations, préfigurant l'inflation dans ce domaine.
L'Australie fera de même concernant la confiance dans les affaires, signe avant-coureur de santé de l'économie.
La zone euro verra quand à elle le centre de recherches économiques ZEW fournir son indice très surveillé du moral économique allemand.
Les Etats-Unis et le Canada concluront quand à eux la journée avec leur balance commerciale, faisant la différence entre les valeurs exportées et importées.
Mercredi 12 décembre
L'Australie diffusera des informations au sujet de l'optimisme ou non des consommateurs, présage de leurs dépenses.
Le gouvernement du Japon l'imitera avec le volume des commandes de machines et l'activité tertiaire, signes forts de santé de l'économie.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec les variations dans le nombre des salariés et le taux de chomage.
Toujours en Europe, le centre de recherches économiques ZEW rendra un rapport sur les attentes économiques suisses.
La zone euro leur emboîtera le pas avec les chiffres de sa production industrielle, tandis que l'Espagne émettra des obligations décennales.
Aux us, la Réserve Fédérale annoncera le taux appliqué aux fonds qu'elle alloue, et dévoilera son communiqué officiel sur le sujet, suivi d'une conférence de presse de son président Ben Bernanke, qui devrait être axée sur la prise de cap effectuée et sur les perspectives économiques.
Les Etats-Unis divulgueront également leurs prix à l'importation et leur inventair hebdomadaire des réserves pétrolières.
Jeudi 13 décembre
L'Australie fournira une étude sur l'inflation attendues, ainsi que sur les ventes de véhicules neufs, dépendant fortement de la confiance des ménages.
La Suisse verra son gouvernement faire de même avec ses prédictions de croissance économique, ainsi que sur son inflation des prix à la production, signe avant-coureur de celle au détail.
La Banque Nationale Suisse annoncerra son taux d'intérêt directeur, suivi d'un texte sur la question, ainsi que d'une intervention de Thomas Jordan, qui est à sa tête, qui devrait être centrée sur le raisons de cette récision et le futur qui devrait en découler.
Les dirigeants de l'Union Européenne entameront leur premier jour de réunion à Bruxelles, imités en cela par les ministres des finances de l'Eurogroupe.
La Banque Centrale Européenne publiera quand à elle son bulletin mensuel, fournissant ainsi son point de vue sur l'état de l'économie.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec le volume des commandes industrielles attendues, présage de santé économique.
Le Canada divulguera l'évolution des coûts de ses logements, reflétant la demande sur le marché immobilier.
Les autorités américaines diffusernt le volume des ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi que les variations des coûts de production, dans oublier le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptinos au chômage.
Vendredi 14 décembre
Le Japon publiera ses ondices de l'activité secondaire et tertiaire établi par le groupe d'études Tankan, imitée en cela par la Chine avec celui de ses usines élaboré par HSBC, et précurseur de santé économique.
La zone euro fournira elle aussi des chiffres concernant ses services et ses industries, imitée en cela par l'Allemagne et la France, mais elle divulguera aussi ses informations concernant l'évolution des prix au détail, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Les chefs d'état de l'UE poursuidront de leur côté leurs pourparlers dans la capitale belge.
Le Canada ne sera pas en reste avec ses ventes manufacturières, laissant présager de la force de l'économie.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec l'inflation officielle des prix à la consommation, le taux d'utilisation des capacités, la production industrielle, et la manufacturière.
Il a en effet commencé par gagner du terrain sur l'euro et le yen après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait fait savoir que 146 000 emplois avaient été créés en novembre, dépassant ainsi les 93 000 espérés, tandis que le taux de chômage glissait de 7.9 à 7.7% dans le même temps, sa valeur la plus faible en près de quatre ans.
Mais il il s'est ensuite trouvé freiné par l'analyse selon laquelle cette bonne nouvelle était dûe au départ de travailleurs hors de la population active, et par la révision à la baisse des nouveaux postes dénombrés le mois précédent, depuis 171 000 vers 138 000.
Le moral avait déjà subi un coup dur le matin, la Bundesbank ayant réduit ses projections d'expansion économique allemande pour 2013 des 1.6% prédits en juin vers 0.4%, ajoutant que la crise de la dette de la zone euro aurait un impact grandissant sur sa plus grosse économie.
La monnaie unique avait subi un revers jeudi, après que Mario Draghi ait affirmé que ses collègues et lui avaient discuté d'un possible baissse de taux directeurs et modéré les prédictions de croissance et d'inflation lors de la conférence de presse tenue après sa prise de cap.
Elle avait auparavant maintenu sans surprise son taux de base à 0.75%.
Des résultats définitifs soulignaient aussi que l'activité économique du bloc avait diminué de 0.1% au troisième trimestre, conformément à l'évaluation préliminaire, confirmant son retour en récession suite aux 0.2% de contraction constatés lors du précédent.
La devise du pays du soleil levant demeurait quand à elle sur la sellette, dans l'expectative des élections législatives du 16 décembre, qui pourraient renforcer la pression poussant la Banque du Japon à adopter une politique monétaire plus agressive.
Son homologue de Grande-Bretagne se trouvait aussi fragilisée après que George Osborne, chancelier de l'échiquier et chargé des finances du pays, ait avoué mercredi que les prévisions gouvernementales laissaient à penser qu'un des objectifs de réduction des déficits ne serait pas atteint, laissant entrevoir la menace d'une perte de sa notation triple A.
Leur cousin canadien a par contre établi en fin de semaine un pic mensuel contre l'étalon américain, après qu'une étude de source gouvernementale ait mis en évidence 59 300 embauches pour le mois passé, pulvérisant ainsi les 10 000 envisagés.
La réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine prochaine, sur foud de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Le baromètre ZEW de l'humeur économique de l'Allemagne et un sommet des dirigeants européens seront aussi au menu.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 10 décembre
Le Japin fournira ses informations révisées concernant le produit intérieur brut du troisième trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et le premier des signes de vigueur de celle-ci.
L'Australie fera de même avec d'autres concerant les prêts immobiliers, préfigurant la demande sur le secteur du logements.
La zone euro verra quand à elle la France et l'Italie faire connaître le volume de leur production industrielle, poumon de leurs économies, alors que la région ne sera pas en reste avec un état des lieux de l'humeur des investisseurs.
Mardi 11 décembre
Le Royaume-Uni verre les spécialistes de l'immobilier annoncer l'évolution des coûts des habitations, préfigurant l'inflation dans ce domaine.
L'Australie fera de même concernant la confiance dans les affaires, signe avant-coureur de santé de l'économie.
La zone euro verra quand à elle le centre de recherches économiques ZEW fournir son indice très surveillé du moral économique allemand.
Les Etats-Unis et le Canada concluront quand à eux la journée avec leur balance commerciale, faisant la différence entre les valeurs exportées et importées.
Mercredi 12 décembre
L'Australie diffusera des informations au sujet de l'optimisme ou non des consommateurs, présage de leurs dépenses.
Le gouvernement du Japon l'imitera avec le volume des commandes de machines et l'activité tertiaire, signes forts de santé de l'économie.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec les variations dans le nombre des salariés et le taux de chomage.
Toujours en Europe, le centre de recherches économiques ZEW rendra un rapport sur les attentes économiques suisses.
La zone euro leur emboîtera le pas avec les chiffres de sa production industrielle, tandis que l'Espagne émettra des obligations décennales.
Aux us, la Réserve Fédérale annoncera le taux appliqué aux fonds qu'elle alloue, et dévoilera son communiqué officiel sur le sujet, suivi d'une conférence de presse de son président Ben Bernanke, qui devrait être axée sur la prise de cap effectuée et sur les perspectives économiques.
Les Etats-Unis divulgueront également leurs prix à l'importation et leur inventair hebdomadaire des réserves pétrolières.
Jeudi 13 décembre
L'Australie fournira une étude sur l'inflation attendues, ainsi que sur les ventes de véhicules neufs, dépendant fortement de la confiance des ménages.
La Suisse verra son gouvernement faire de même avec ses prédictions de croissance économique, ainsi que sur son inflation des prix à la production, signe avant-coureur de celle au détail.
La Banque Nationale Suisse annoncerra son taux d'intérêt directeur, suivi d'un texte sur la question, ainsi que d'une intervention de Thomas Jordan, qui est à sa tête, qui devrait être centrée sur le raisons de cette récision et le futur qui devrait en découler.
Les dirigeants de l'Union Européenne entameront leur premier jour de réunion à Bruxelles, imités en cela par les ministres des finances de l'Eurogroupe.
La Banque Centrale Européenne publiera quand à elle son bulletin mensuel, fournissant ainsi son point de vue sur l'état de l'économie.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec le volume des commandes industrielles attendues, présage de santé économique.
Le Canada divulguera l'évolution des coûts de ses logements, reflétant la demande sur le marché immobilier.
Les autorités américaines diffusernt le volume des ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi que les variations des coûts de production, dans oublier le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptinos au chômage.
Vendredi 14 décembre
Le Japon publiera ses ondices de l'activité secondaire et tertiaire établi par le groupe d'études Tankan, imitée en cela par la Chine avec celui de ses usines élaboré par HSBC, et précurseur de santé économique.
La zone euro fournira elle aussi des chiffres concernant ses services et ses industries, imitée en cela par l'Allemagne et la France, mais elle divulguera aussi ses informations concernant l'évolution des prix au détail, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Les chefs d'état de l'UE poursuidront de leur côté leurs pourparlers dans la capitale belge.
Le Canada ne sera pas en reste avec ses ventes manufacturières, laissant présager de la force de l'économie.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec l'inflation officielle des prix à la consommation, le taux d'utilisation des capacités, la production industrielle, et la manufacturière.