Investing.com - Le dollar U.S. aura largement décliné face à ses principaux concurrents ce vendredi, les signes d'un accord imminent des dirigeants de l'Union Européenne destiné à juguler la crise de la dette de la zone euro ayant stimulé la demande pour les investissements les plus risqués.
L'euro a en effet retrouvé des couleurs après que des représentants allemands aient affirmé ce jour-là qu'il y avait plusieurs manières possibles de faire participer le Fonds Monétaire International à l'extension du volume du fonds de secours européen.
Les réprésentants des pays membres de l'UE ont continué à négocie en fin de semaine afin d'élaborer un plan de recapitalisation des banques régionales, de renforcement de la puissance de feu Mécanisme de Stabilisation Financière Européen et de restructuration de la dette souveraine grecque.
Ils devraient dégager un consensus complet dans la lutte contre le problème du surendettement régional vieux de deux ans lors de leur réunion de dimanche ou de la suivante, prévue mercredi.
Le billet vert a également reculé après que Janet Yellen, vice-gouverneur de la Réserve Fédérale, ait affirmé qu'une troisième série d'achats d'actifs à grande échelle popurrait être nécessaire pour soutenir l'économie américaine, confortant ainsi l'hypothèse de nouveaux assouplissements monétaires.
Il a par ailleurs plongé dans un gouffre record face au yen le même jour, avant de compenser rapidement ses pertes suite à l'annonce par le gouvernement japonais de l'extension des mesures destinées à lutter contre les effets indésirables de la hausse persistante du yen sur l'économie nationale, largement tournée vers l'exportation, au-delà des 12 billions de yens déjà mobilisés.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, a pour sa part annoncé s'attendre à "éviter que l'industrie ne se vide de sa substance et éloigner les risques de récession" de cette manière.
Les investisseurs ont estimé que cette méthode constituait une capitulation de la part du gouvernement du pays du soleil levant, renonçant ainsi à ses vains efforts destinés à affaiblir sa monnaie.
La livre sterling s'est quand à elle élevée vers un pic des six semaines écoulées contre l'étalon américain ce jour-là, mais restait dans le flou après que le compte-rendu de la réunion d'octobre du comité directeur de la Banque d'Angleterre ait lui aussi laissé entendre que de nouvelles injections de capitaux pourraient se révéler indispensables pour relancer une économie britannique chancelante.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le taux d'augmentation annuel des prix du Royaume-Uni avait atteint un sommet historique le mois dernier, alimentant l'angoisse d'une périodde de forte inflation et de faible croissance.
Les dollars australien et néo-zélandais ont quand à eux terminé la semaine sans grands changements par rapport à leur homologue américain, tandis que leur cousin canadien réalisait sa troisième semaine de progression d'affilée avec le retour de l'audace.
Les observateurs surveilleronot de près l'évolution de la situation en zone euro au cours de la semaine prochaine, en raison de l'espoir d'une avancée dans la gestion de la crise de la dette dse pays de la région, mais ils guetteront aussi les chiffres de la croissance économique américaine du troisième trimestre de jeudi afin d'évaluer la force de la reprise nationale, sans oublier les annonces des taux directeurs du Canada, de la Nouvelle-Zélande et du Japon.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 24 octobre
Le Japon fera connaître le solde officiel de son commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés au cours du mois, et le gouverneent australien fera de même concernant l'inflation des prix à la production, signe avant-coureur de celle au détail.
La zone euro dévoilera les résultats préliminaires de ses secteurs manufacturiers in tertiaire, imitée en cela par la France et l'Allemagne. Les autorités de la région annonceront également le volume des nouvelles commandes industrielles, préfigurant la production future.
La Nouvelle-Zélande divulguera ensuite son évolution des prix à la consommation officielle, qui représente la plus grande partie de l'inflation totale.
Mardi 25 octobre
En zone euro, Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne prendra la parole, ses propos seront analysés en profondeur dans l'espoir d'en tirer des signes sur le futur de la politique monétaire. La zone euro rendra un rapport sur l'humeur des consommateurs allemands, signe fort de santé économique.
Les autorités britanniques feront de même concernant l'état officiel du compte courant national, et des experts annonceront leurs chiffres concernant les accords de prêts hypothécaires, tandis que Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, prononcera un discours, ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir.
La banque suisse UBS dévoilera pour sa part son indice de la consommation, indicateur crucial de la vigueur de l'économie.
L'Australie fera quand à elle connaître indice des signaux économiques prévisionnels, destiné à prédire la direction de l'économie future.
La Banque du Canada ne sera pas en reste avec la révélation de son taux d'intérêt directeur, suivi de son communiqué sur le sujet, comprenant une analyse en profondeur des conditions économiques, puis le gouvernement révèlera le volume des ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis publieront quand à eux leur inflation des coûts des logements, et le pays rendra un rapport sur la confiance des consommateurs, préfigurant leurs dépenses à venir.
Mercredi 26 octobre
La Nouvelle-Zélande fera son rapport sur la confiance dans les affaires, reflet crucial de la force de son économie, mais aussi le solde officiel de sa balance commerciale, la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande dévoilant ensuite son taux d'intérêt de base, puis son communiqué sur le sujet, donnant le point de vue adopté par la banque sur l'état actuel de l'économie.
L'Australie fera de même concernant son évolution des prix à la consommation offcielle, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Le Royaume-Uni rendra une étude sur les commandes industrielles attendues, signe de vitalité éconoique, puis Adam Posen, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, fera une apparition lors d'une conférence à New York.
En zone euro, les dirigeants de l'Union Européenne tiendront une journée de sommet économique pour discuter des mesures destinées à juguler l'extension de la crise de la dette souveraine au reste de la région.
Le gouvernement des Etats-Unis dévoilera quand à lui ses informations sur les commandes de biens durables, préfigurant la production à venir, mais aussi sur les vantes de logemenst neufs et les réserves de pétrole brut.
La Banque du Canada publiera de son côté son rapport sur la politique monétaire, et Mark Carney, son gouverneur, tiendra une conférence de presse au sujet de la décision sur les taux d'intérêt prise la veille.
Jeudi 27 octobre
Les gouvernement nippon dévoilera le volume des ventes aux particuliers, premier reflet des dépenses de consommation, lesquelles constituent la plus grande partie de l'activité économique totale, puis la Banque du Japon fera de même concernant son taux d'intérêt de base, suivi d'une conférence de presse de Masaaki Shirakawa, son gouverneur, sur le sujet.
La zone euro ne sera pas en reste avec l'état officiel des réserves monétaires M3, tandis que l'Allemagne annoncera son évolution des prix à la consommation, tandis que les reveneurs du Royaume-Uni divulgueront l'iportance de leurs ventes au détail.
Les Etats-Unis publieront leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et que les experts de l'immobilier celui des ventes d'habitations en cours.
Vendredi 28 octobre
Les autorités du Japon annonceront le volume des dépenses des ménages, qui constituent la majeure partie de l'activité économique, mais aussi son évolution des prix à la consommation, qui représente la plus grande part de l'inflation totale, sans oublier le taux de chômage national et les informations préliminaires concernant la production industrielle.
Le Royaume-Uni rendra son rapport sur la confiance de ses consommateurs, et la Suisse fera de même avec son baromètre économique de l'agence de recherches KOF, élaboré pour prédire la direction que prendra l'économie dans les six mois, tandis qu'en zone euro, la France annoncera l'importance des dépenses des consommateurs.
Les Etats-Unis concluront la semaine avec une série de résultats portant sur les revenus individuels, les dépenses personnelles, le coût de la main-d'oeuvre et les prix à la consommation, tandis que l'université du Michigan divulguera ses informations révisées sur l'humeur de consommateurs et l'inflation attendue.
L'euro a en effet retrouvé des couleurs après que des représentants allemands aient affirmé ce jour-là qu'il y avait plusieurs manières possibles de faire participer le Fonds Monétaire International à l'extension du volume du fonds de secours européen.
Les réprésentants des pays membres de l'UE ont continué à négocie en fin de semaine afin d'élaborer un plan de recapitalisation des banques régionales, de renforcement de la puissance de feu Mécanisme de Stabilisation Financière Européen et de restructuration de la dette souveraine grecque.
Ils devraient dégager un consensus complet dans la lutte contre le problème du surendettement régional vieux de deux ans lors de leur réunion de dimanche ou de la suivante, prévue mercredi.
Le billet vert a également reculé après que Janet Yellen, vice-gouverneur de la Réserve Fédérale, ait affirmé qu'une troisième série d'achats d'actifs à grande échelle popurrait être nécessaire pour soutenir l'économie américaine, confortant ainsi l'hypothèse de nouveaux assouplissements monétaires.
Il a par ailleurs plongé dans un gouffre record face au yen le même jour, avant de compenser rapidement ses pertes suite à l'annonce par le gouvernement japonais de l'extension des mesures destinées à lutter contre les effets indésirables de la hausse persistante du yen sur l'économie nationale, largement tournée vers l'exportation, au-delà des 12 billions de yens déjà mobilisés.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, a pour sa part annoncé s'attendre à "éviter que l'industrie ne se vide de sa substance et éloigner les risques de récession" de cette manière.
Les investisseurs ont estimé que cette méthode constituait une capitulation de la part du gouvernement du pays du soleil levant, renonçant ainsi à ses vains efforts destinés à affaiblir sa monnaie.
La livre sterling s'est quand à elle élevée vers un pic des six semaines écoulées contre l'étalon américain ce jour-là, mais restait dans le flou après que le compte-rendu de la réunion d'octobre du comité directeur de la Banque d'Angleterre ait lui aussi laissé entendre que de nouvelles injections de capitaux pourraient se révéler indispensables pour relancer une économie britannique chancelante.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le taux d'augmentation annuel des prix du Royaume-Uni avait atteint un sommet historique le mois dernier, alimentant l'angoisse d'une périodde de forte inflation et de faible croissance.
Les dollars australien et néo-zélandais ont quand à eux terminé la semaine sans grands changements par rapport à leur homologue américain, tandis que leur cousin canadien réalisait sa troisième semaine de progression d'affilée avec le retour de l'audace.
Les observateurs surveilleronot de près l'évolution de la situation en zone euro au cours de la semaine prochaine, en raison de l'espoir d'une avancée dans la gestion de la crise de la dette dse pays de la région, mais ils guetteront aussi les chiffres de la croissance économique américaine du troisième trimestre de jeudi afin d'évaluer la force de la reprise nationale, sans oublier les annonces des taux directeurs du Canada, de la Nouvelle-Zélande et du Japon.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 24 octobre
Le Japon fera connaître le solde officiel de son commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés au cours du mois, et le gouverneent australien fera de même concernant l'inflation des prix à la production, signe avant-coureur de celle au détail.
La zone euro dévoilera les résultats préliminaires de ses secteurs manufacturiers in tertiaire, imitée en cela par la France et l'Allemagne. Les autorités de la région annonceront également le volume des nouvelles commandes industrielles, préfigurant la production future.
La Nouvelle-Zélande divulguera ensuite son évolution des prix à la consommation officielle, qui représente la plus grande partie de l'inflation totale.
Mardi 25 octobre
En zone euro, Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne prendra la parole, ses propos seront analysés en profondeur dans l'espoir d'en tirer des signes sur le futur de la politique monétaire. La zone euro rendra un rapport sur l'humeur des consommateurs allemands, signe fort de santé économique.
Les autorités britanniques feront de même concernant l'état officiel du compte courant national, et des experts annonceront leurs chiffres concernant les accords de prêts hypothécaires, tandis que Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, prononcera un discours, ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir.
La banque suisse UBS dévoilera pour sa part son indice de la consommation, indicateur crucial de la vigueur de l'économie.
L'Australie fera quand à elle connaître indice des signaux économiques prévisionnels, destiné à prédire la direction de l'économie future.
La Banque du Canada ne sera pas en reste avec la révélation de son taux d'intérêt directeur, suivi de son communiqué sur le sujet, comprenant une analyse en profondeur des conditions économiques, puis le gouvernement révèlera le volume des ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis publieront quand à eux leur inflation des coûts des logements, et le pays rendra un rapport sur la confiance des consommateurs, préfigurant leurs dépenses à venir.
Mercredi 26 octobre
La Nouvelle-Zélande fera son rapport sur la confiance dans les affaires, reflet crucial de la force de son économie, mais aussi le solde officiel de sa balance commerciale, la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande dévoilant ensuite son taux d'intérêt de base, puis son communiqué sur le sujet, donnant le point de vue adopté par la banque sur l'état actuel de l'économie.
L'Australie fera de même concernant son évolution des prix à la consommation offcielle, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Le Royaume-Uni rendra une étude sur les commandes industrielles attendues, signe de vitalité éconoique, puis Adam Posen, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, fera une apparition lors d'une conférence à New York.
En zone euro, les dirigeants de l'Union Européenne tiendront une journée de sommet économique pour discuter des mesures destinées à juguler l'extension de la crise de la dette souveraine au reste de la région.
Le gouvernement des Etats-Unis dévoilera quand à lui ses informations sur les commandes de biens durables, préfigurant la production à venir, mais aussi sur les vantes de logemenst neufs et les réserves de pétrole brut.
La Banque du Canada publiera de son côté son rapport sur la politique monétaire, et Mark Carney, son gouverneur, tiendra une conférence de presse au sujet de la décision sur les taux d'intérêt prise la veille.
Jeudi 27 octobre
Les gouvernement nippon dévoilera le volume des ventes aux particuliers, premier reflet des dépenses de consommation, lesquelles constituent la plus grande partie de l'activité économique totale, puis la Banque du Japon fera de même concernant son taux d'intérêt de base, suivi d'une conférence de presse de Masaaki Shirakawa, son gouverneur, sur le sujet.
La zone euro ne sera pas en reste avec l'état officiel des réserves monétaires M3, tandis que l'Allemagne annoncera son évolution des prix à la consommation, tandis que les reveneurs du Royaume-Uni divulgueront l'iportance de leurs ventes au détail.
Les Etats-Unis publieront leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et que les experts de l'immobilier celui des ventes d'habitations en cours.
Vendredi 28 octobre
Les autorités du Japon annonceront le volume des dépenses des ménages, qui constituent la majeure partie de l'activité économique, mais aussi son évolution des prix à la consommation, qui représente la plus grande part de l'inflation totale, sans oublier le taux de chômage national et les informations préliminaires concernant la production industrielle.
Le Royaume-Uni rendra son rapport sur la confiance de ses consommateurs, et la Suisse fera de même avec son baromètre économique de l'agence de recherches KOF, élaboré pour prédire la direction que prendra l'économie dans les six mois, tandis qu'en zone euro, la France annoncera l'importance des dépenses des consommateurs.
Les Etats-Unis concluront la semaine avec une série de résultats portant sur les revenus individuels, les dépenses personnelles, le coût de la main-d'oeuvre et les prix à la consommation, tandis que l'université du Michigan divulguera ses informations révisées sur l'humeur de consommateurs et l'inflation attendue.