Investing.com - La semaine achevée le 24 octobre aura été marquée par des échanges volatils, le dollar clôturant en hausse sur l'euro pour la première fois en 6 semaines.
Ce premier a en effet rebondi mardi après que la banque centrale chinoise ait augmenté mardi son taux d'intérêt directeur de manière inattendue pour la première fois en 3 ans, alimentant la crainte d'un ralentissement de la croissance économique mondiale. Les gains du billet vert ont toutefois été partiellement contrés le lendemain, pour compenser un mouvement estimé quelque peu précipité.
Il a également modérément progressé vendredi, dans l'attente de la réunion des ministres des finances et des décideurs des banques centrales du G20, rassemblant les 20 pays les plus développés. Les discussions se sont concentrées sur la question du recours par certains pays, des Etats-Unis à la Chine, à des taux de change faibles destinés à encourager leur croissance économique.
Les débats se sont conclus avec un engagement des dirigeants à éviter les dévaluations compétitives de leurs devises, sans toutefois établir d'objectifs de réduction des déséquilibres des balances commerciales, qui jettent une ombre sur les espoirs de croissance mondiale.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de semaine des chiffres officiels concernant l'immobilier ainsi que la confiance des consommateurs, l'activité manufacturière et le PIB. Ils feront également leur rapport hebdomadaire sur les inscriptions au chômage et le président de leur banque centrale prendra la parole.
En zone euro, les informations proviendront essentiellement d'Allemagne, notamment le moral des consommateurs et le taux de chômage. La région dans son entier fera connaître les résultats de sa production industrielle et son indice des prix à la consommation, le président de sa banque centrale devant lui aussi prononcer un discours.
La Grande-Bretagne donnera l'évaluation préliminaire de son PIB et l'évolution des prix de son immobilier. La Suisse l'imitera avec l'état de son baromètre économique KOF et son indice de la consommation. La Banque du Japon annoncera son taux d'intérêt directeur et le pays fera connaître ses informations d'origine gouvernementale portant sur les ventes au détail, l'indice des prix à la consommation et la production industrielle.
L'Australie dévoilera également un certain nombre de résultats, deux portant sur l'inflation, d'autres sur la confiance dans les affaires, le logement et un indice des signaux économiques prévisionnels, et le gouverneur de sa banque centrale fera une intervention. Le Canada communiquera quand à lui l'état de son PIB et la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande annoncera son taux d'intérêt de base.
Investing.com a élaboré pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 25 octobre
L'Australie ouvrira le bal de la semaine avec les chiffres officiels de son inflation des prix à la production, tandis que Glenn Stevens, le gouverneur de sa banque centrale, prononcera un discours, qui sera analysé de près afin de tenter d'en extraire des indices sur la politique monétaire future.
Le Royaume-Uni donnera ensuite le volume de ses accords hypothécaires et la zone euro celui de ses nouvelles commandes industrielles, précurseur de sa production.
Les Etats-Unis feront connaître les résultats officiels des ventes de maisons d'occasion, signe de santé économique, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prendra la parole lors d'une conférence publique.
Mardi 26 octobre
La zone euro fera son sapport sur l'humeur des consommateurs allemands et la Suisse fera de même avec son indice de consommation UBS, signe avant-coureur de vigueur économique. La Grande-Bretagne donnera quand à elle l'estimation préalable de son PIB, principale jauge de la croissance économique.
Les Etats-Unis diffuseront deux rapports portant sur les prix de l'immobilier, permettant de juger de l'état du secteur, ainsi que des informations sur la confiance des consommateurs et le secteur manufacturier.
La Banque Nationale d'Australie donnera quand à elle les résultats de son étude trimestrielle sur la confiance dans les affaires alors que Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, devrait prendre la parole, et être attentivement écouté afin d'essayer d'en déduire des signes pointant vers la direction de la politique monétaire future.
Mercredi 27 octobre
L'Australie publiera les chiffres officiels de son inflation des prix à la consommation, précurseur de croissance économique. Le pays fournira également un indice de ses indicateurs économiques destiné à prédire la direction de l'économie à venir.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande annoncera son taux d'intérêt directeur, qui sera accompagné d'un communiqué explicatif très attendu. La Banque Nationale de Nouvelle-Zélande donnera de son côté les résultats de sa confiance dans les affaires, signe de sa santé économique.
Dans la zone euro, l'Allemagne fera connaître l'évaluation préliminaire de l'inflation de ses prix, alors que la France l'imitera concernant les dépenses des ménages.
Les Etats-Unis publieront les résultats gouvernementaux des commandes de biens durables, signe de production future, ainsi que ceux des ventes de maisons neuves, dénotant la santé du secteur immobilier, ainsi qu'un rapport sur les réserves de pétrole brut.
Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, prononcera quand à lui un discours, alors que le Japon publiera les chiffres de ses ventes au détail, reflétant la confiance de ses consommateurs.
Jeudi 28 octobre
Les Banque du Japon annoncera son taux d'intérêt directeur et tiendra ensuite une conférence de presse très attendue, tout en publiant également un rapport sur ses prévisions économiques, permettant de partager en détail le point de vue de la banque sur les conditions économique et l'inflation. Le pays donnera également les chiffres cruciaux de son taux de chômage, ainsi que de son activité manufacturière et industrielle, des dépenses des ménages et de l'inflation des prix à la consommation pour la région de Tokyo et le pays entier.
Les Etats-Unis devraient de leur côté donner leur nombre hebdomadaire des inscriptions au chômage et des informations sur les réserves de gaz naturel. En zone euro, l'Allemagne fera son rapport sur les variations de l'emploi, et Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole lors d'une réunion publique, et ses propos feront l'objet de toutes les attentions, pouvant contenir de précieux indices sur la politique monétaire à venir.
La Grande-Bretagne divulguera les données des spécialistes portant sur les prix des logements et les ventes au détail, puis le groupe de recherches Gfk fera son rapport concernant la confiance des consommateurs nationaux.
La Réserve Bancaire d'Australie publiera son rapport annuel, récapitulant les opérations de l'année ayant précédé, et la Nouvelle-Zélande fera de même avec l'équilibre de sa balance commerciale ainsi que ses accords de permis de construire.
Vendredi 29 octobre
Les Etats-Unis concluront la semaine avec l'estimation préalable de leur PIB, indicateur principal de la croissance économique, puis avec les résultats de l'activité manufacturière de la région de Chicago, alors que l'université du Michigan donnera ses chiffres portant sur la confiance des consommateurs et l'inflation attendue.
La zone euro fournira de son côté son taux de chômage, et l'évaluation préliminaire de son inflation. L'Allemagne diffusera les chiffres de ses ventes au détail, dénotant la confiance de ses ménages, alors que l'agence de recherches économiques KOF fera connaître l'état de son baromètre économique pour la Suisse, le Royaume-Uni faisant de même avec les informations officielles sur les prêts nets aux individus.
L'Australie donnera le volume de ses ventes d'habitations neuves, signe avant-coureur de santé économique, ainsi qu'un rapport sur le crédit dans le secteur privé. Le Japon indiquera le nombre de ses lancements de chantiers, reflétant la vigueur de son bâtiment.
Le Canada publiera quand à lui son PIB officiel, signe principal de croissance économique, ainsi que son inflation.
Ce premier a en effet rebondi mardi après que la banque centrale chinoise ait augmenté mardi son taux d'intérêt directeur de manière inattendue pour la première fois en 3 ans, alimentant la crainte d'un ralentissement de la croissance économique mondiale. Les gains du billet vert ont toutefois été partiellement contrés le lendemain, pour compenser un mouvement estimé quelque peu précipité.
Il a également modérément progressé vendredi, dans l'attente de la réunion des ministres des finances et des décideurs des banques centrales du G20, rassemblant les 20 pays les plus développés. Les discussions se sont concentrées sur la question du recours par certains pays, des Etats-Unis à la Chine, à des taux de change faibles destinés à encourager leur croissance économique.
Les débats se sont conclus avec un engagement des dirigeants à éviter les dévaluations compétitives de leurs devises, sans toutefois établir d'objectifs de réduction des déséquilibres des balances commerciales, qui jettent une ombre sur les espoirs de croissance mondiale.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de semaine des chiffres officiels concernant l'immobilier ainsi que la confiance des consommateurs, l'activité manufacturière et le PIB. Ils feront également leur rapport hebdomadaire sur les inscriptions au chômage et le président de leur banque centrale prendra la parole.
En zone euro, les informations proviendront essentiellement d'Allemagne, notamment le moral des consommateurs et le taux de chômage. La région dans son entier fera connaître les résultats de sa production industrielle et son indice des prix à la consommation, le président de sa banque centrale devant lui aussi prononcer un discours.
La Grande-Bretagne donnera l'évaluation préliminaire de son PIB et l'évolution des prix de son immobilier. La Suisse l'imitera avec l'état de son baromètre économique KOF et son indice de la consommation. La Banque du Japon annoncera son taux d'intérêt directeur et le pays fera connaître ses informations d'origine gouvernementale portant sur les ventes au détail, l'indice des prix à la consommation et la production industrielle.
L'Australie dévoilera également un certain nombre de résultats, deux portant sur l'inflation, d'autres sur la confiance dans les affaires, le logement et un indice des signaux économiques prévisionnels, et le gouverneur de sa banque centrale fera une intervention. Le Canada communiquera quand à lui l'état de son PIB et la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande annoncera son taux d'intérêt de base.
Investing.com a élaboré pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 25 octobre
L'Australie ouvrira le bal de la semaine avec les chiffres officiels de son inflation des prix à la production, tandis que Glenn Stevens, le gouverneur de sa banque centrale, prononcera un discours, qui sera analysé de près afin de tenter d'en extraire des indices sur la politique monétaire future.
Le Royaume-Uni donnera ensuite le volume de ses accords hypothécaires et la zone euro celui de ses nouvelles commandes industrielles, précurseur de sa production.
Les Etats-Unis feront connaître les résultats officiels des ventes de maisons d'occasion, signe de santé économique, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prendra la parole lors d'une conférence publique.
Mardi 26 octobre
La zone euro fera son sapport sur l'humeur des consommateurs allemands et la Suisse fera de même avec son indice de consommation UBS, signe avant-coureur de vigueur économique. La Grande-Bretagne donnera quand à elle l'estimation préalable de son PIB, principale jauge de la croissance économique.
Les Etats-Unis diffuseront deux rapports portant sur les prix de l'immobilier, permettant de juger de l'état du secteur, ainsi que des informations sur la confiance des consommateurs et le secteur manufacturier.
La Banque Nationale d'Australie donnera quand à elle les résultats de son étude trimestrielle sur la confiance dans les affaires alors que Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, devrait prendre la parole, et être attentivement écouté afin d'essayer d'en déduire des signes pointant vers la direction de la politique monétaire future.
Mercredi 27 octobre
L'Australie publiera les chiffres officiels de son inflation des prix à la consommation, précurseur de croissance économique. Le pays fournira également un indice de ses indicateurs économiques destiné à prédire la direction de l'économie à venir.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande annoncera son taux d'intérêt directeur, qui sera accompagné d'un communiqué explicatif très attendu. La Banque Nationale de Nouvelle-Zélande donnera de son côté les résultats de sa confiance dans les affaires, signe de sa santé économique.
Dans la zone euro, l'Allemagne fera connaître l'évaluation préliminaire de l'inflation de ses prix, alors que la France l'imitera concernant les dépenses des ménages.
Les Etats-Unis publieront les résultats gouvernementaux des commandes de biens durables, signe de production future, ainsi que ceux des ventes de maisons neuves, dénotant la santé du secteur immobilier, ainsi qu'un rapport sur les réserves de pétrole brut.
Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, prononcera quand à lui un discours, alors que le Japon publiera les chiffres de ses ventes au détail, reflétant la confiance de ses consommateurs.
Jeudi 28 octobre
Les Banque du Japon annoncera son taux d'intérêt directeur et tiendra ensuite une conférence de presse très attendue, tout en publiant également un rapport sur ses prévisions économiques, permettant de partager en détail le point de vue de la banque sur les conditions économique et l'inflation. Le pays donnera également les chiffres cruciaux de son taux de chômage, ainsi que de son activité manufacturière et industrielle, des dépenses des ménages et de l'inflation des prix à la consommation pour la région de Tokyo et le pays entier.
Les Etats-Unis devraient de leur côté donner leur nombre hebdomadaire des inscriptions au chômage et des informations sur les réserves de gaz naturel. En zone euro, l'Allemagne fera son rapport sur les variations de l'emploi, et Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole lors d'une réunion publique, et ses propos feront l'objet de toutes les attentions, pouvant contenir de précieux indices sur la politique monétaire à venir.
La Grande-Bretagne divulguera les données des spécialistes portant sur les prix des logements et les ventes au détail, puis le groupe de recherches Gfk fera son rapport concernant la confiance des consommateurs nationaux.
La Réserve Bancaire d'Australie publiera son rapport annuel, récapitulant les opérations de l'année ayant précédé, et la Nouvelle-Zélande fera de même avec l'équilibre de sa balance commerciale ainsi que ses accords de permis de construire.
Vendredi 29 octobre
Les Etats-Unis concluront la semaine avec l'estimation préalable de leur PIB, indicateur principal de la croissance économique, puis avec les résultats de l'activité manufacturière de la région de Chicago, alors que l'université du Michigan donnera ses chiffres portant sur la confiance des consommateurs et l'inflation attendue.
La zone euro fournira de son côté son taux de chômage, et l'évaluation préliminaire de son inflation. L'Allemagne diffusera les chiffres de ses ventes au détail, dénotant la confiance de ses ménages, alors que l'agence de recherches économiques KOF fera connaître l'état de son baromètre économique pour la Suisse, le Royaume-Uni faisant de même avec les informations officielles sur les prêts nets aux individus.
L'Australie donnera le volume de ses ventes d'habitations neuves, signe avant-coureur de santé économique, ainsi qu'un rapport sur le crédit dans le secteur privé. Le Japon indiquera le nombre de ses lancements de chantiers, reflétant la vigueur de son bâtiment.
Le Canada publiera quand à lui son PIB officiel, signe principal de croissance économique, ainsi que son inflation.