Investing.com - Les bourses asiatiques ont baissé ce mardi, alors que se renouvellent les doutes sur le plan de sauvetage de l'UE et la capacité des pays en manque de liquidités à réduire leur déficit budgétaire.
L'indice Hang Seng de Hong Kong a perdu 2.12%, le Kospi sud-coréen 0.44%, le S&P/ASX 200 australien 1.13% et le Nikkei 225 japonais 1.14%.
L'indice composite de Shanghaï a dévissé de 2.08% devant l'inquiétude causée par le gouvernement chinois, qui a décidé d'augmenter les coûts de emprunts pour enrayer l'inflation après qu'un rapport sur les prix à la consommation du pays ait révélé une augmentation de 2.8% par rapport à l'année précédente, la plus forte de ces 18 derniers mois.
L'Union Européenne a annoncé que l'axe principal du plan de secours consisterait en une promesse par ses membres de garantir 440 milliards d'euros de nouveaux prêts pour aider les économies européennes en manque de liquidités. Mais les investisseurs ont commencé à douter mardi de la sagesse du rajout de dettes à une crise provoquée par des dettes préalables.
Le futur des marchés européens semblait plutôt terne: les options sur le CAC 40 prévoyaient une baisse de 1.99%, celles sur le DAX allemand l'estimaient à 1.49%, celles sur l'EURO STOXX 50 à 1.61% et celles sur le FTSE 100 à 1.25%.
Le bureau du recensement américain devrait publier l'état des réserves des grossistes, un bon indicateur des futures dépenses dans les commerces, au cours de la journée. Un groupe de recherches, le TechnoMetrica Institute of Policy and Politics, et un journal, l'Investor Business Daily, ont également prévu de communiquer le niveau de confiance des consommateurs du pays.
L'indice Hang Seng de Hong Kong a perdu 2.12%, le Kospi sud-coréen 0.44%, le S&P/ASX 200 australien 1.13% et le Nikkei 225 japonais 1.14%.
L'indice composite de Shanghaï a dévissé de 2.08% devant l'inquiétude causée par le gouvernement chinois, qui a décidé d'augmenter les coûts de emprunts pour enrayer l'inflation après qu'un rapport sur les prix à la consommation du pays ait révélé une augmentation de 2.8% par rapport à l'année précédente, la plus forte de ces 18 derniers mois.
L'Union Européenne a annoncé que l'axe principal du plan de secours consisterait en une promesse par ses membres de garantir 440 milliards d'euros de nouveaux prêts pour aider les économies européennes en manque de liquidités. Mais les investisseurs ont commencé à douter mardi de la sagesse du rajout de dettes à une crise provoquée par des dettes préalables.
Le futur des marchés européens semblait plutôt terne: les options sur le CAC 40 prévoyaient une baisse de 1.99%, celles sur le DAX allemand l'estimaient à 1.49%, celles sur l'EURO STOXX 50 à 1.61% et celles sur le FTSE 100 à 1.25%.
Le bureau du recensement américain devrait publier l'état des réserves des grossistes, un bon indicateur des futures dépenses dans les commerces, au cours de la journée. Un groupe de recherches, le TechnoMetrica Institute of Policy and Politics, et un journal, l'Investor Business Daily, ont également prévu de communiquer le niveau de confiance des consommateurs du pays.