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par Vladimir Soldatkin
MOSCOU (Reuters) - La rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Joe Biden ne devrait pas déboucher sur des accords concrets mais les discussions seront néanmoins utiles, a déclaré mardi un conseiller du Kremlin, alors que les relations entre Washington et Moscou sont au plus bas depuis des années.
Les deux dirigeants se réuniront mercredi à Genève, en Suisse, pour la première fois depuis l'entrée en fonction de Joe Biden en janvier dernier.
Un haut représentant de l'administration Biden a dit mardi, à l'arrivée à Genève de la délégation américaine, ne pas s'attendre à de grands résultats lors de cet entretien.
Joe Biden a indiqué à l'issue du sommet de l'Otan, lundi à Bruxelles, qu'il s'agissait d'une rencontre "critique" et qu'il proposerait à son homologue russe de coopérer sur des domaines où les deux pays ont des intérêts communs.
Le conseiller en politique étrangère du Kremlin, Youri Ouchakov, a déclaré aux journalistes que l'ordre du jour - à l'exception des communiqués finaux - avait été confirmé lundi lors d'un échange téléphonique avec le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan.
La stabilité nucléaire, le changement climatique, la cybersécurité et l'avenir des ressortissants américains et russes emprisonnés dans leurs pays respectifs seront à l'ordre du jour, a-t-il précisé.
"Je ne suis pas sûr que des accords seront conclus. Je considère cette réunion avec un optimisme pratique", a dit Youri Ouchakov, faisant écho à des propos du chef de la diplomatie russe qui affirmait plus tôt ce mois-ci ne pas attendre de décision majeure de ce sommet.
Joe Biden, qui a répondu par l'affirmative en mars lorsqu'il lui fut demandé lors d'un entretien s'il considérait que Vladimir Poutine était un "tueur", dénonce un comportement inacceptable de la Russie sur un éventail de sujets, dont des ingérences électorales et des actes de piratage présumés.
"La situation est proche d'être critique. Évidemment, quelque chose doit être fait dans ce contexte", a ajouté Youri Ouchakov, ancien ambassadeur russe aux États-Unis de 1998 à 2008, alors que les relations entre Moscou et Washington se sont envenimées depuis l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014.
Parallèlement, les dirigeants ont ouvert la porte à un possible échange de prisonniers, dont pourrait faire partie le marchand d'armes russe Viktor Bout.
(Vladimir Soldatkin à Moscou, Steve Holland à Genève; version française Dagmarah Mackos et Jean Terzian, édité par Sophie Louet)
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