Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture légèrement positive ce jeudi, mais l'embellie semblait devoir être limitée, la poussée des taux des emprunts espagnols et italiens ainsi que l'approche des élections cruciales de la Grèce alimentant l'angoisse de la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
Le moral demeurait fragilisé bien que Rome ait écoulé les 4.5 milliards d'euros visés, ses rendements à trois ans ayant bondi vers leur plus haut niveau depuis décembre.
Ses obligations décennales ont quand à elles vu leurs dividendes grimper à 6.3%, contre 6.27% auparavant, tandis que celles de l'Espagne se situaient à 6.98%, après avoir brièvement culminé au-dessus des 7%, considérés comme intenables à long terme.
L'optimisme avait été malmené après que l'agence Moody's ait rabaissé hier de trois crans sa notation de cette dernière, pour l'amener juste au-dessus de celle des actifs indésirables, avertissant que le mouvement pourrait se prolonger, attisant les craintes liées à la crise bancaire espagnole.
La nervosité était aussi palpable à l'approche du nouveau scrutin législatif grec de dimanche, dans la peur qu'une victoire des partis opposés au plan de rigueur n'entraîne un départ du pays hors de la zone euro.
La finance était sous les feux de la rampe après que Jamie Dimon, directeur général de JP Morgan, ait profité de son témoignage d'hier devant le parlement américain pour s'excuser de plusieurs milliards de pertes subis par la banque d'investissements sur ses transactions, lui faisant regagner 0.09% aprèss la fermeture.
Lloyd Blankfein, président-directeur général de Goldman Sachs, a quand à lui affirmé n'avoir aucune intention d'abandonner son poste.
Le secteur technologique se trouvait aussi sur le devant de la scène, après que Nokia, le géant finnois du téléphone mobile, ait annoncé en début de journée compter supprimer encore 10 000 emplois à travers le monde, constituant son plus gros remaniement récent, avertissant aussi que les pertes du second trimestre de sa branche principale pourraient être plus sévères qu'il n'avait déjà été redouté.
L'agence de presse Bloomberg a quand à elle rapporté que Microsoft, premier éditeur de logiciels de la planète, se préparait à acquérir l'opérateur de réseau social professionnel Yammer Inc. pour un milliard d'USD.
Cette manoeuvre pourrait lui permettre d'ajouter des outils de mise en relation à son offre aux entreprises, tout en renforçant ses positionsdans la bataille contre Salesforce.com et Oracle.
Toujours dansle domaine des médias sociaux, Facebook a annoncé de son côté compter mettre en place des enchères en temps réel pour les espaces publicitaires de son site, une méthode déjà utilisée par Google et permettant de mieux cibler les annonces.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.09%, le CAC 40 français de 0.39%, le DAX 30 allemand de 0.43% et le FTSE 100 britannique de 0.67%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait plongé de 0.8%, et le Nikkei 225 japonais de 0.2%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler cet après-midi l'évolution des prix à la consommation qu'elles auront mesurée, ainsi que leur compte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
Le moral demeurait fragilisé bien que Rome ait écoulé les 4.5 milliards d'euros visés, ses rendements à trois ans ayant bondi vers leur plus haut niveau depuis décembre.
Ses obligations décennales ont quand à elles vu leurs dividendes grimper à 6.3%, contre 6.27% auparavant, tandis que celles de l'Espagne se situaient à 6.98%, après avoir brièvement culminé au-dessus des 7%, considérés comme intenables à long terme.
L'optimisme avait été malmené après que l'agence Moody's ait rabaissé hier de trois crans sa notation de cette dernière, pour l'amener juste au-dessus de celle des actifs indésirables, avertissant que le mouvement pourrait se prolonger, attisant les craintes liées à la crise bancaire espagnole.
La nervosité était aussi palpable à l'approche du nouveau scrutin législatif grec de dimanche, dans la peur qu'une victoire des partis opposés au plan de rigueur n'entraîne un départ du pays hors de la zone euro.
La finance était sous les feux de la rampe après que Jamie Dimon, directeur général de JP Morgan, ait profité de son témoignage d'hier devant le parlement américain pour s'excuser de plusieurs milliards de pertes subis par la banque d'investissements sur ses transactions, lui faisant regagner 0.09% aprèss la fermeture.
Lloyd Blankfein, président-directeur général de Goldman Sachs, a quand à lui affirmé n'avoir aucune intention d'abandonner son poste.
Le secteur technologique se trouvait aussi sur le devant de la scène, après que Nokia, le géant finnois du téléphone mobile, ait annoncé en début de journée compter supprimer encore 10 000 emplois à travers le monde, constituant son plus gros remaniement récent, avertissant aussi que les pertes du second trimestre de sa branche principale pourraient être plus sévères qu'il n'avait déjà été redouté.
L'agence de presse Bloomberg a quand à elle rapporté que Microsoft, premier éditeur de logiciels de la planète, se préparait à acquérir l'opérateur de réseau social professionnel Yammer Inc. pour un milliard d'USD.
Cette manoeuvre pourrait lui permettre d'ajouter des outils de mise en relation à son offre aux entreprises, tout en renforçant ses positionsdans la bataille contre Salesforce.com et Oracle.
Toujours dansle domaine des médias sociaux, Facebook a annoncé de son côté compter mettre en place des enchères en temps réel pour les espaces publicitaires de son site, une méthode déjà utilisée par Google et permettant de mieux cibler les annonces.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.09%, le CAC 40 français de 0.39%, le DAX 30 allemand de 0.43% et le FTSE 100 britannique de 0.67%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait plongé de 0.8%, et le Nikkei 225 japonais de 0.2%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler cet après-midi l'évolution des prix à la consommation qu'elles auront mesurée, ainsi que leur compte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.