Investing.com - Les bourses européennes marchaient sur des oeufs ce vendredi matin, suite à la révélation de résultats allemands décevants, tandis que les discussions visant à éviter une catastrophe buddgétaire américaine semblaient au point mort.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a grignoté 0.01%, le CAC 40 français 0.1%, et le DAX 30 allemand 0.15%.
Des chiffres gouvernementaux ont en effet montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 2.8% en octobre, soit nettement plus que les 0.2% redoutés, alors qu'elles avaient progressé de 0.5% le mois précédent.
L'administration Obama et la chambre des députés contrôlée par ses adversaires républicains se sont en effet trouvés hier dans une impasse concernant la méthode à employer pour éviter le mur fiscal américain, causé par la conjonction en janvier 2013 de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD.
Le moral était pourtant revenu en début de semaine, après que le président américain ait estimé que les "fondations" d'un compromis pourraient être posées avant les fêtes de fin d'année.
La finance était nettement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 0.79 et 0.54%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.41 et 0.5%.
TNT Express bondissait de 1.18% après qu'UPS, premier transporteur de colis mondial, ait fait des concessions aux autorités boursières étudiant sa prise de contrôle de celui-ci, ce qui doublerait son poids en Europe.
Ferrovial, entrepreneur et oppérateur d'aérports espagnol, n'était pas en reste avec 1.59%, son conseil d'administration ayant donné son feu vert à un dividende d'un euro par action pour 2012, payable le 13 décembre.
Mais tout nétait cependant pas rose, Hugo Boss, tailleur et parfumeur allemand de luxe contrôlé par Permira Advisers, fléchissant de 0.26% après que Goldman Sachs ait cessé d'en recommander l'achat, encourageant à la neutralité.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.11%, plombé par ses établissements bancaires.
La Royal Bank of Scotland était en lanterne rouge, dérapant de 1.17%, suivie de Lloyds Banking et Barclays avec 0.43% chacun, alors que HSBC Holdings gardait la tête hors de l'eau en arrachant 0.48%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont étaient par contre en forte, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se renforçant de 0.31 et 0.25%, dépassés par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.71 et 1.18%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi en ordre dispersé: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 envisageant un faux pas de 0.04% tandis que celles sur le Nasdaq 100 semblaient devoir s'élever de 0.13%.
La zone euro comptait dévoiler aujourd'hui la première estimation des variations de ses prix au détail.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera de son côté ses informations concernant les revenus individuels, les dépenses personnelles et l'inflation à la consommation de base, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a grignoté 0.01%, le CAC 40 français 0.1%, et le DAX 30 allemand 0.15%.
Des chiffres gouvernementaux ont en effet montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 2.8% en octobre, soit nettement plus que les 0.2% redoutés, alors qu'elles avaient progressé de 0.5% le mois précédent.
L'administration Obama et la chambre des députés contrôlée par ses adversaires républicains se sont en effet trouvés hier dans une impasse concernant la méthode à employer pour éviter le mur fiscal américain, causé par la conjonction en janvier 2013 de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD.
Le moral était pourtant revenu en début de semaine, après que le président américain ait estimé que les "fondations" d'un compromis pourraient être posées avant les fêtes de fin d'année.
La finance était nettement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 0.79 et 0.54%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.41 et 0.5%.
TNT Express bondissait de 1.18% après qu'UPS, premier transporteur de colis mondial, ait fait des concessions aux autorités boursières étudiant sa prise de contrôle de celui-ci, ce qui doublerait son poids en Europe.
Ferrovial, entrepreneur et oppérateur d'aérports espagnol, n'était pas en reste avec 1.59%, son conseil d'administration ayant donné son feu vert à un dividende d'un euro par action pour 2012, payable le 13 décembre.
Mais tout nétait cependant pas rose, Hugo Boss, tailleur et parfumeur allemand de luxe contrôlé par Permira Advisers, fléchissant de 0.26% après que Goldman Sachs ait cessé d'en recommander l'achat, encourageant à la neutralité.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.11%, plombé par ses établissements bancaires.
La Royal Bank of Scotland était en lanterne rouge, dérapant de 1.17%, suivie de Lloyds Banking et Barclays avec 0.43% chacun, alors que HSBC Holdings gardait la tête hors de l'eau en arrachant 0.48%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont étaient par contre en forte, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se renforçant de 0.31 et 0.25%, dépassés par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.71 et 1.18%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi en ordre dispersé: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 envisageant un faux pas de 0.04% tandis que celles sur le Nasdaq 100 semblaient devoir s'élever de 0.13%.
La zone euro comptait dévoiler aujourd'hui la première estimation des variations de ses prix au détail.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera de son côté ses informations concernant les revenus individuels, les dépenses personnelles et l'inflation à la consommation de base, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.