Investing.com - Les actions américaines ont conclu en retrait, le moral subissant les rumeurs de réduction imminente des perfusions d'argent frais de la banque centrale des Etats-Unis.
Le Dow Jones a cependant terminé le trimestre avec une avancée de 2,27%, le S&P 500 faisant de même avec 2,36%, et le Nasdaq aussi avec 4,15%.
Il avait été montré vendredi que l'indice du moral des ménages établi par l'université du Michigan est en effet remonté pour ce mois-ci depuis une première évaluation à 82,7 vers 84,1, approchant ainsi le pic de près de six ans établi en mai.
Jeremy Stein, membre du conseil directeur de la Réserve Fédérale, a pour sa part confirmé que cette dernière pourrait commencer à réduire la voilure de ses rachats d'actifs dès septembre.
Il a cependant précisé que la décision de limiter ces acquisitions devrait se reposer sur les progrès effectué&s depuis leur mise en place, et ne "dépendrait pas trop" des chiffres précédant les prises de décisions.
Les bruits selon lesquels la banque centrale des Etats-Unis pourrait entamer la fermeture des vannes avaient été étouffés mercredi par la révision à la baisse de leur produit intérieur brut pour les trois premiers mois de l'année.
Le département d'état au commerce a ainsi révélé que celui-ci n'avait gonflé que de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, que les 2,4% avancés auparavant aient été revus vers le bas.
L'Asie ne désarmait pas, l'indice composite de Shanghaï chinois bondissant de 1,5% vendredi, son premier mouvement positif en huit jours.
Le Nikkei 225 japonais raflait quand à lui pas moins de 3,03% sur la journée, prolongeant l'ascension de la précédente, grâce à l'affaiblisement du yen, limitant l'hémorragie mensuelle à 0,7%, après qu'il ait été noté à l'aube que la production industrielle japonaise avait bondi de 2% en mai, pulvérisant espérances, confortant l'hypothèse d'une relance de l'économie nationale.
Les bourses européennes ne partageaient pas cet enthousiasme, le Stoxx Europe 600 reculant de 0,5% journaliers dans le flou concernant la politique monétaire américaine.
Le CAC 40 français n'était pas en reste avec 0,52%, le DAX 30 allemand non plus avec 0,39% et le FTSE 100 britannique limitait les dégâts à 0,45%.
Une étude officielle avait en effet signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de manière supérieure aux attentes en mai.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont monnayés à 96,46 USD le baril, subissant leurs premières pertes depuis cinq jours avec 0,6%, subissant le large renforcement du billet vert, empochant cependant 2,65% depuis l'ouverture de lundi.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières new-yorkaise, les contrats sur l'or se sont échangés à 1.233,37 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, après avoir touché le fond à 1.180,35 USD, leur pire valeur depuis août 2010, se laissant tout de même arracher 11,18% au cours du mois, et 23% sur le trimestre.
Le Dow Jones a cependant terminé le trimestre avec une avancée de 2,27%, le S&P 500 faisant de même avec 2,36%, et le Nasdaq aussi avec 4,15%.
Il avait été montré vendredi que l'indice du moral des ménages établi par l'université du Michigan est en effet remonté pour ce mois-ci depuis une première évaluation à 82,7 vers 84,1, approchant ainsi le pic de près de six ans établi en mai.
Jeremy Stein, membre du conseil directeur de la Réserve Fédérale, a pour sa part confirmé que cette dernière pourrait commencer à réduire la voilure de ses rachats d'actifs dès septembre.
Il a cependant précisé que la décision de limiter ces acquisitions devrait se reposer sur les progrès effectué&s depuis leur mise en place, et ne "dépendrait pas trop" des chiffres précédant les prises de décisions.
Les bruits selon lesquels la banque centrale des Etats-Unis pourrait entamer la fermeture des vannes avaient été étouffés mercredi par la révision à la baisse de leur produit intérieur brut pour les trois premiers mois de l'année.
Le département d'état au commerce a ainsi révélé que celui-ci n'avait gonflé que de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, que les 2,4% avancés auparavant aient été revus vers le bas.
L'Asie ne désarmait pas, l'indice composite de Shanghaï chinois bondissant de 1,5% vendredi, son premier mouvement positif en huit jours.
Le Nikkei 225 japonais raflait quand à lui pas moins de 3,03% sur la journée, prolongeant l'ascension de la précédente, grâce à l'affaiblisement du yen, limitant l'hémorragie mensuelle à 0,7%, après qu'il ait été noté à l'aube que la production industrielle japonaise avait bondi de 2% en mai, pulvérisant espérances, confortant l'hypothèse d'une relance de l'économie nationale.
Les bourses européennes ne partageaient pas cet enthousiasme, le Stoxx Europe 600 reculant de 0,5% journaliers dans le flou concernant la politique monétaire américaine.
Le CAC 40 français n'était pas en reste avec 0,52%, le DAX 30 allemand non plus avec 0,39% et le FTSE 100 britannique limitait les dégâts à 0,45%.
Une étude officielle avait en effet signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de manière supérieure aux attentes en mai.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont monnayés à 96,46 USD le baril, subissant leurs premières pertes depuis cinq jours avec 0,6%, subissant le large renforcement du billet vert, empochant cependant 2,65% depuis l'ouverture de lundi.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières new-yorkaise, les contrats sur l'or se sont échangés à 1.233,37 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, après avoir touché le fond à 1.180,35 USD, leur pire valeur depuis août 2010, se laissant tout de même arracher 11,18% au cours du mois, et 23% sur le trimestre.