Bureau Veritas (PA:BVI) indique que la détérioration plus rapide que prévu de l'activité marine et offshore et la faiblesse persistante de l'activité capex pétrole et gaz le conduisent maintenant à prévoir une légère décroissance organique du chiffre d'affaires 2016.
Cette évolution affectera la marge opérationnelle ajustée, attendue désormais dans une fourchette de 16% à 16,5% pour 2016, et la génération de trésorerie, que le groupe prévoit toujours forte, inférieure au niveau record de l'an dernier.
Le groupe de services d'inspection et de certification publie un chiffre d'affaires du troisième trimestre 2016 de 1.136,4 millions d'euros, en progression de +1,7% à taux de change constant, dont une contraction de -1% en organique (-0,6% au total).
Le ralentissement observé par rapport aux six premiers mois de l'année reflète principalement une détérioration plus rapide que prévue de la division marine, un ralentissement récent de la construction en Asie et une base de comparaison particulièrement pénalisante.
Plusieurs activités font toutefois preuve de résilience, en particulier la partie moins cyclique du portefeuille, y compris les biens de consommation, inspection et vérification en service, certification et l'activité matières premières rebondit.
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Cette évolution affectera la marge opérationnelle ajustée, attendue désormais dans une fourchette de 16% à 16,5% pour 2016, et la génération de trésorerie, que le groupe prévoit toujours forte, inférieure au niveau record de l'an dernier.
Le groupe de services d'inspection et de certification publie un chiffre d'affaires du troisième trimestre 2016 de 1.136,4 millions d'euros, en progression de +1,7% à taux de change constant, dont une contraction de -1% en organique (-0,6% au total).
Le ralentissement observé par rapport aux six premiers mois de l'année reflète principalement une détérioration plus rapide que prévue de la division marine, un ralentissement récent de la construction en Asie et une base de comparaison particulièrement pénalisante.
Plusieurs activités font toutefois preuve de résilience, en particulier la partie moins cyclique du portefeuille, y compris les biens de consommation, inspection et vérification en service, certification et l'activité matières premières rebondit.
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