Le titre Cap Gemini (PA:CAPP) profite à nouveau d'une recommandation positive aujourd'hui lui permettant de gagner 1,3%. La valeur a progressé de plus de 4% sur les quatre dernières séances.
Berenberg a réitéré ce matin sa recommandation d'achat sur la valeur assortie d'un objectif de cours établi à 108 euros.
L'analyste rappelle que la SSII a dévoilé des résultats annuels 2015 supérieurs aux objectifs de sa direction et aux prévisions du marché grâce à la bonne dynamique de ses activités dites 'SMAC' (réseaux sociaux, mobile, logiciels analytiques, cloud).
Berenberg invoque aussi l'effet favorable lié aux réductions de coûts et à l'augmentation du taux de facturation de ses consultants.
Le professionnel, qui met en avant une amélioration 'plus forte que prévu des fondamentaux', estime que la progression des marges bénéficiaires du groupe devraient lui permettre d'atteindre le haut de la fourchette (13%) de ses objectifs de marge opérationnelle à horizon 2019.
Berenberg ajoute que l'action se négocie actuellement sur la base d'un PER 2016 d'environ 15x contre 16,5x pour la moyenne du secteur, un écart qui signifie selon lui que le marché n'a pas encore intégré cette amélioration des fondamentaux.
Credit Suisse réaffirme également son opinion 'surperformance' au lendemain des résultats annuels solides du groupe de services informatiques. L'objectif de cours est en revanche abaissé de 94 à 84 euros, en raison de la faiblesse des cours de ses pairs.
Si la croissance organique du quatrième trimestre 2015 a ralenti à +0,1% contre un consensus à +0,9%, le bureau d'études met en avant une base de comparaison plus difficile sur cette période, faisant que 'ce ralentissement n'était pas entièrement inattendu' selon lui.
Ainsi, l'analyste note que les performances annuelles de Capgemini sont ressorties conformes aux attentes du marché sur les revenus, mais supérieures de 3% sur les profits opérationnels et de plus de 20% sur le free cash-flow.
Credit Suisse juge enfin la valorisation du titre attractive : il voit Capgemini comme le groupe 'le mieux placé dans les services informatiques européens qui devrait exiger une prime de 20% sur son secteur'.
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Berenberg a réitéré ce matin sa recommandation d'achat sur la valeur assortie d'un objectif de cours établi à 108 euros.
L'analyste rappelle que la SSII a dévoilé des résultats annuels 2015 supérieurs aux objectifs de sa direction et aux prévisions du marché grâce à la bonne dynamique de ses activités dites 'SMAC' (réseaux sociaux, mobile, logiciels analytiques, cloud).
Berenberg invoque aussi l'effet favorable lié aux réductions de coûts et à l'augmentation du taux de facturation de ses consultants.
Le professionnel, qui met en avant une amélioration 'plus forte que prévu des fondamentaux', estime que la progression des marges bénéficiaires du groupe devraient lui permettre d'atteindre le haut de la fourchette (13%) de ses objectifs de marge opérationnelle à horizon 2019.
Berenberg ajoute que l'action se négocie actuellement sur la base d'un PER 2016 d'environ 15x contre 16,5x pour la moyenne du secteur, un écart qui signifie selon lui que le marché n'a pas encore intégré cette amélioration des fondamentaux.
Credit Suisse réaffirme également son opinion 'surperformance' au lendemain des résultats annuels solides du groupe de services informatiques. L'objectif de cours est en revanche abaissé de 94 à 84 euros, en raison de la faiblesse des cours de ses pairs.
Si la croissance organique du quatrième trimestre 2015 a ralenti à +0,1% contre un consensus à +0,9%, le bureau d'études met en avant une base de comparaison plus difficile sur cette période, faisant que 'ce ralentissement n'était pas entièrement inattendu' selon lui.
Ainsi, l'analyste note que les performances annuelles de Capgemini sont ressorties conformes aux attentes du marché sur les revenus, mais supérieures de 3% sur les profits opérationnels et de plus de 20% sur le free cash-flow.
Credit Suisse juge enfin la valorisation du titre attractive : il voit Capgemini comme le groupe 'le mieux placé dans les services informatiques européens qui devrait exiger une prime de 20% sur son secteur'.
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