CGG réagit ce matin à la dégradation de la notation de sa dette par l'agence de notation-crédit Standard & Poor's (S&P's), qui revient de 'B+' à 'B'. La perspective associée demeure négative, ce qui n'exclut pas une nouvelle dégradation.
En cause, selon une note sectorielle de l'agence qui touche également cinq autres sociétés européennes, comme Petrofac et Petroleum Geo-Services (PGS) : les conséquences de la chute du cours du pétrole, que S&P's attend désormais entre 55 et 65 dollars le baril en 2015 et 2016, sur les investissements parapétroliers, qui pourraient globalement reculer de 10 à 25% en moyenne.
De son côté, CGG rappelle que sa génération de cash a été très significative au 4e trimestre et qu'au 31 décembre, sa dette nette était d'environ 2,4 milliards de dollars. Le levier financier à fin 2014 (covenant bancaire) - dette nette sur EBITDA - est attendu à 2,4x en forte diminution par rapport au plafond de nos covenants bancaires de 3,75 x et en forte amélioration par rapport au levier financier de 2,9x de fin septembre 2014, indique la direction.
De plus, la liquidité dont dispose le groupe, soit le cash inscrit au bilan et les lignes de crédit non tirées, atteignait 650 millions de dollars fin 2014.
CGG bénéficie d'un endettement avec une maturité très favorablement élargie, sans aucun remboursement significatif devant intervenir durant les quatre prochaines années, conclut la société.
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En cause, selon une note sectorielle de l'agence qui touche également cinq autres sociétés européennes, comme Petrofac et Petroleum Geo-Services (PGS) : les conséquences de la chute du cours du pétrole, que S&P's attend désormais entre 55 et 65 dollars le baril en 2015 et 2016, sur les investissements parapétroliers, qui pourraient globalement reculer de 10 à 25% en moyenne.
De son côté, CGG rappelle que sa génération de cash a été très significative au 4e trimestre et qu'au 31 décembre, sa dette nette était d'environ 2,4 milliards de dollars. Le levier financier à fin 2014 (covenant bancaire) - dette nette sur EBITDA - est attendu à 2,4x en forte diminution par rapport au plafond de nos covenants bancaires de 3,75 x et en forte amélioration par rapport au levier financier de 2,9x de fin septembre 2014, indique la direction.
De plus, la liquidité dont dispose le groupe, soit le cash inscrit au bilan et les lignes de crédit non tirées, atteignait 650 millions de dollars fin 2014.
CGG bénéficie d'un endettement avec une maturité très favorablement élargie, sans aucun remboursement significatif devant intervenir durant les quatre prochaines années, conclut la société.
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