Le titre plonge de près de 17% après avoir lancé un 'profit warning'. Bryan, Garnier & Co. A confirmé ce matin son conseil de 'vendre' l'action et son objectif de cours reste fixé à 28 euros.
A trois semaines de l'annonce de ses comptes annuels 2016/2017, prévus le 6 décembre, Elior (PA:ELIOR) a révisé ce matin ses prévisions, surtout vers le bas.
Certes, d'un côté, la croissance organique du CA 2016/2017, hors effets des sorties volontaires de contrats, est relevée 'd'au moins 3%' à 3,6%. Mais de l'autre, la marge d'EBITDA retraitée s'annonce désormais à 8,3%, alors que précédemment, la direction comptait sur une amélioration de 20 à 30 points de base par rapport à celle de 2015/2016 (8,6%). Enfin, 'l'objectif de croissance significative du résultat net par action ajusté ne sera pas réalisé', indique le groupe.
Parallèlement, Elior s'est trouvé un directeur général, Philippe Guillemot, qui prendra ses fonctions le 5 décembre.
Bryan Garnier souligne la croissance plus marquée qu'initialement prévu. Mais 'les nouvelles prévisions reflètent principalement les coûts de démarrage des nouveaux contrats (dans l'Education en France et avec le ministère italien de la Défense). Mais aussi l'impact des ouragans en Amérique du Nord, et enfin l'effet moins positif que prévu des économies', commente une note de recherche.
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A trois semaines de l'annonce de ses comptes annuels 2016/2017, prévus le 6 décembre, Elior (PA:ELIOR) a révisé ce matin ses prévisions, surtout vers le bas.
Certes, d'un côté, la croissance organique du CA 2016/2017, hors effets des sorties volontaires de contrats, est relevée 'd'au moins 3%' à 3,6%. Mais de l'autre, la marge d'EBITDA retraitée s'annonce désormais à 8,3%, alors que précédemment, la direction comptait sur une amélioration de 20 à 30 points de base par rapport à celle de 2015/2016 (8,6%). Enfin, 'l'objectif de croissance significative du résultat net par action ajusté ne sera pas réalisé', indique le groupe.
Parallèlement, Elior s'est trouvé un directeur général, Philippe Guillemot, qui prendra ses fonctions le 5 décembre.
Bryan Garnier souligne la croissance plus marquée qu'initialement prévu. Mais 'les nouvelles prévisions reflètent principalement les coûts de démarrage des nouveaux contrats (dans l'Education en France et avec le ministère italien de la Défense). Mais aussi l'impact des ouragans en Amérique du Nord, et enfin l'effet moins positif que prévu des économies', commente une note de recherche.
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