Elis (PA:ELIS) termine la journée en hausse (0,7%) après le relèvement d'objectif de Société générale (PA:SOGN) (SG).
Les analystes sont toujours d'avis d'acheter l'action du blanchisseur industriel français, supputant que l'estimation des synergies avec Berendsen sera révisée en hausse début 2018. L'objectif de cours à 12 mois est relevé de plus de 15% à 26,8 euros, contre 23,2 euros précédemment.
Société générale a refait ses calculs et tient désormais compte, depuis le 15 septembre, de l'acquisition transformante de Berendsen dans ses estimations relatives à Elis. 'Cette nouvelle étape permet à Elis de bénéficier d'un meilleur équilibre géographique', indique une note de recherche.
'Nous estimons que le Royaume-Uni devrait offrir le plus fort potentiel sachant qu'il constitue la zone où les marges du groupe ont dû le plus se déprécier', ajoute une note, puisque la marge de l'entité britannique était en 2015 de 10,9%, contre 15,3% pour l'ensemble du groupe.
Surtout, Société générale est persuadé que l'estimation des synergies issues de la fusion, chiffrées à au moins 40 millions d'euros par an par la direction, est très conservatrice. Les analystes visent, eux, un chiffre de 100 millions. 'Nous estimons qu'Elis pourrait relever ses objectifs au cours d'une journée investisseurs qu'il tiendra fin janvier 2018', termine SG.
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Les analystes sont toujours d'avis d'acheter l'action du blanchisseur industriel français, supputant que l'estimation des synergies avec Berendsen sera révisée en hausse début 2018. L'objectif de cours à 12 mois est relevé de plus de 15% à 26,8 euros, contre 23,2 euros précédemment.
Société générale a refait ses calculs et tient désormais compte, depuis le 15 septembre, de l'acquisition transformante de Berendsen dans ses estimations relatives à Elis. 'Cette nouvelle étape permet à Elis de bénéficier d'un meilleur équilibre géographique', indique une note de recherche.
'Nous estimons que le Royaume-Uni devrait offrir le plus fort potentiel sachant qu'il constitue la zone où les marges du groupe ont dû le plus se déprécier', ajoute une note, puisque la marge de l'entité britannique était en 2015 de 10,9%, contre 15,3% pour l'ensemble du groupe.
Surtout, Société générale est persuadé que l'estimation des synergies issues de la fusion, chiffrées à au moins 40 millions d'euros par an par la direction, est très conservatrice. Les analystes visent, eux, un chiffre de 100 millions. 'Nous estimons qu'Elis pourrait relever ses objectifs au cours d'une journée investisseurs qu'il tiendra fin janvier 2018', termine SG.
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