Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en berne ce jeudi, la nervosité étant de mise à l'approche des propos cruciaux que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, à l'affût d'indices sur les prochaines décisions en matière de politique monétaire.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
Les conclusions de la prise de cap de la Fed d'aujourd'hui se trouvaient très surveillées, en raison des probabilité grandissantes que celle-ci lance une troisième série d'injections de capitaux afin de renforcer la croissance.
L'atmosphère bénéficiait toujours de l'approbation par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Apple était attendu au tournant au lendemain de la présentation de l'iPhone5, comportant un écran plus grand, un processeur plus rapide et l'accès à des réseaux offrant un meilleur débit.
La firme à la pomme en a profité pour dévoiler de nouveaux modèles d'iPods, gagnant du même coup 0.33% en pré-ouverture.
Dans le même domaine, Intel et Advanced Micro Devices ont respectivement laissé échapper 0.6 et 0.77% avant les premières transactions, Citigroup en ayant rabaissé les appréciations.
Le mastodonte de l'aérospatiale qu'est Boeing était aussi sous les feux de la rampe, des rivaux français et britanniques, à savoir EADS et BAE Systems, ayant avoué être en pourparlers en vue de s'associer pour former un concurrent de taille, associant aviation civile et militaire.
Les représentants de la compagnie américaine ont estimé que cette fusion donnerait naissance au plus gros groupe aéronautique du monde, qui pourrait tenter de remporter davantage d'appels d'offres des Etats-Unis, premier marché de la défense de la planète, mais ils gardaient le sourire avec une avancée de 0.45% après la fermeture.
Les hydrocarbures n'étaient pas en reste, avec Chesapeake au premier plan, ayant vendu hier 6.9 milliards d'USD en puits de gaz et de pétrole, concessions, oléoducs et terminaux estimés "non primordiaux".
Abercrombie & Fitch faisait aaussi l'actualité après que l'investisseur activiste Ralph Whitworth lui ait demandé de diminuer ses dépenses et ses implantations de magasins à l'étranger.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.6%, le CAC 40 français de 0.7%, le DAX 30 allemand de 0.34% et le FTSE 100 britannique de 0.02%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait fléchi de 0.14%, et le Nikkei 225 japonais de 0.39%.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira de son côté cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
Les conclusions de la prise de cap de la Fed d'aujourd'hui se trouvaient très surveillées, en raison des probabilité grandissantes que celle-ci lance une troisième série d'injections de capitaux afin de renforcer la croissance.
L'atmosphère bénéficiait toujours de l'approbation par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Apple était attendu au tournant au lendemain de la présentation de l'iPhone5, comportant un écran plus grand, un processeur plus rapide et l'accès à des réseaux offrant un meilleur débit.
La firme à la pomme en a profité pour dévoiler de nouveaux modèles d'iPods, gagnant du même coup 0.33% en pré-ouverture.
Dans le même domaine, Intel et Advanced Micro Devices ont respectivement laissé échapper 0.6 et 0.77% avant les premières transactions, Citigroup en ayant rabaissé les appréciations.
Le mastodonte de l'aérospatiale qu'est Boeing était aussi sous les feux de la rampe, des rivaux français et britanniques, à savoir EADS et BAE Systems, ayant avoué être en pourparlers en vue de s'associer pour former un concurrent de taille, associant aviation civile et militaire.
Les représentants de la compagnie américaine ont estimé que cette fusion donnerait naissance au plus gros groupe aéronautique du monde, qui pourrait tenter de remporter davantage d'appels d'offres des Etats-Unis, premier marché de la défense de la planète, mais ils gardaient le sourire avec une avancée de 0.45% après la fermeture.
Les hydrocarbures n'étaient pas en reste, avec Chesapeake au premier plan, ayant vendu hier 6.9 milliards d'USD en puits de gaz et de pétrole, concessions, oléoducs et terminaux estimés "non primordiaux".
Abercrombie & Fitch faisait aaussi l'actualité après que l'investisseur activiste Ralph Whitworth lui ait demandé de diminuer ses dépenses et ses implantations de magasins à l'étranger.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.6%, le CAC 40 français de 0.7%, le DAX 30 allemand de 0.34% et le FTSE 100 britannique de 0.02%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait fléchi de 0.14%, et le Nikkei 225 japonais de 0.39%.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira de son côté cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.