Séance boursière difficile pour Gameloft, dont le titre cède 6,3% à 3,7 euros en fin de matinée, dans le sillage d'une publication décevante.
Alors que le groupe a accusé une perte nette de 100.000 euros au premier semestre, contre un bénéfice de 1,8 million au terme des six premiers mois de l'exercice écoulé, son chiffre d'affaires du troisième trimestre est ressorti à 55,8 millions d'euros, en recul de 10% en données publiées et de 8% à taux de change constant.
Sur neuf mois, les revenus de l'éditeur de jeux pour mobiles se sont établis à 167 millions d'euros, soit une baisse de 2% à données publiées (+4% à taux de change constant) par rapport aux trois premiers trimestres de 2013.
De quoi compromettre la réalisation de l'objectif de 245 millions de ventes sur l'année. A la lecture des conditions actuelles de marché et des revenus au troisième trmestre, celle-ci 'dépendra plus que jamais de la réussite des lancements de jeux du quatrième trimestre', a commenté Gameloft, qui attend des charges opérationnelles courantes autour de 230 millions d'euros... et dont la marge de manoeuvre s'est grandement réduite au cours des trois derniers mois.
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Alors que le groupe a accusé une perte nette de 100.000 euros au premier semestre, contre un bénéfice de 1,8 million au terme des six premiers mois de l'exercice écoulé, son chiffre d'affaires du troisième trimestre est ressorti à 55,8 millions d'euros, en recul de 10% en données publiées et de 8% à taux de change constant.
Sur neuf mois, les revenus de l'éditeur de jeux pour mobiles se sont établis à 167 millions d'euros, soit une baisse de 2% à données publiées (+4% à taux de change constant) par rapport aux trois premiers trimestres de 2013.
De quoi compromettre la réalisation de l'objectif de 245 millions de ventes sur l'année. A la lecture des conditions actuelles de marché et des revenus au troisième trmestre, celle-ci 'dépendra plus que jamais de la réussite des lancements de jeux du quatrième trimestre', a commenté Gameloft, qui attend des charges opérationnelles courantes autour de 230 millions d'euros... et dont la marge de manoeuvre s'est grandement réduite au cours des trois derniers mois.
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