Comptes trimestriels sans surprise pour l'assureur italien Generali (MI:GASI). Les primes brutes enregistrées se maintiennent, même si le résultat net souffre de la dépréciation de la filiale hollandaise et des catastrophes naturelles. Mais en données récurrentes, les profits augmentent.
Sur les neuf premiers mois de son exercice, l'assureur a enregistré des primes brutes de 51,6 milliards d'euros, en très légère baisse publiée de 0,1%. Mais elles sont stables en données comparables 'grâce à la croissance enregistrée au 3e trimestre'. La légère contraction du segment majoritaire, l'assurance-vie, a de nouveau été contrebalancée par une progression dans l'assurance-dommages.
Le résultat opérationnel est resté stable à 3,6 milliards d'euros. La branche Dommages dû faire face à des indemnisations pour cause de catastrophes naturelles de 260 millions d'euros, ce qui tient notamment aux tempêtes européennes de l'été et aux ouragans nord-américains de l'automne.
Enfin, le résultat net ressort en baisse de près de 10% à 1,46 milliard d'euros, ce qui tient compte de pertes de 253 millions d'euros sur des opérations arrêtées, notamment la dépréciation des activités néerlandaises cédées. Sans tenir compte de ce dernier élément, le profit sur neuf mois augmenterait de 7,2%.
Le ratio de solvabilité économique s'établit enfin à 215%, contre 194% en 2016.
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Sur les neuf premiers mois de son exercice, l'assureur a enregistré des primes brutes de 51,6 milliards d'euros, en très légère baisse publiée de 0,1%. Mais elles sont stables en données comparables 'grâce à la croissance enregistrée au 3e trimestre'. La légère contraction du segment majoritaire, l'assurance-vie, a de nouveau été contrebalancée par une progression dans l'assurance-dommages.
Le résultat opérationnel est resté stable à 3,6 milliards d'euros. La branche Dommages dû faire face à des indemnisations pour cause de catastrophes naturelles de 260 millions d'euros, ce qui tient notamment aux tempêtes européennes de l'été et aux ouragans nord-américains de l'automne.
Enfin, le résultat net ressort en baisse de près de 10% à 1,46 milliard d'euros, ce qui tient compte de pertes de 253 millions d'euros sur des opérations arrêtées, notamment la dépréciation des activités néerlandaises cédées. Sans tenir compte de ce dernier élément, le profit sur neuf mois augmenterait de 7,2%.
Le ratio de solvabilité économique s'établit enfin à 215%, contre 194% en 2016.
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