Alors que les spéculations de fusion se multiplient, l'action Generali (MI:GASI) restait entourée à la Bourse de Milan où elle gagne encore près de 2%, soit plus de 15% sur la semaine. Intesa Sanpaolo (MI:ISP) a indiqué qu'elle envisageait, entre autres, l'éventualité d'un rapprochement avec l'assureur.
Hier soir en effet, la banque italienne Intesa Sanpaolo a confirmé qu'elle était intéressée par la croissance industrielle du côté de la gestion d'actifs, de la banque privée et de l'assurance. Des partenariats internationaux ne sont pas exclus. Ces opportunités, qui comprennent un éventuel rapprochement industriel avec Generali, sont actuellement étudiées par la direction, ajoute Intesa.
Rappelons que dimanche, le journal La Stampa rapportait qu'Intesa avait l'intention de prendre le contrôle de Generali puis d'en revendre une partie à l'allemand Allianz (DE:ALVG). Puis le 23 janvier, Generali a annoncé laconiquement qu'il avait mis la main sur les droits de vote associés à 3,01% du capital d'Intesa Sanpaolo.
Aurel BGC évoque aussi un scénario français : nous supposons que l'ombre d'Axa plane peut-être derrière les intentions d'Intesa. En effet, pour Rome, il serait intolérable que Generali soit racheté par un acteur étranger, alors que le contexte actuel se prête aux grandes opérations de fusions-acquisitions entre l'Italie et la France, en raison de la vacance du pouvoir politique propre à chacun des deux pays en ce moment.
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Hier soir en effet, la banque italienne Intesa Sanpaolo a confirmé qu'elle était intéressée par la croissance industrielle du côté de la gestion d'actifs, de la banque privée et de l'assurance. Des partenariats internationaux ne sont pas exclus. Ces opportunités, qui comprennent un éventuel rapprochement industriel avec Generali, sont actuellement étudiées par la direction, ajoute Intesa.
Rappelons que dimanche, le journal La Stampa rapportait qu'Intesa avait l'intention de prendre le contrôle de Generali puis d'en revendre une partie à l'allemand Allianz (DE:ALVG). Puis le 23 janvier, Generali a annoncé laconiquement qu'il avait mis la main sur les droits de vote associés à 3,01% du capital d'Intesa Sanpaolo.
Aurel BGC évoque aussi un scénario français : nous supposons que l'ombre d'Axa plane peut-être derrière les intentions d'Intesa. En effet, pour Rome, il serait intolérable que Generali soit racheté par un acteur étranger, alors que le contexte actuel se prête aux grandes opérations de fusions-acquisitions entre l'Italie et la France, en raison de la vacance du pouvoir politique propre à chacun des deux pays en ce moment.
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