Sans annonce particulière, l'action GTT (PA:GTT) (Gaztransport & Technigaz) s'adjugeait 3% ce matin à la Bourse de Paris, se classant ainsi parmi les deux plus fortes hausses d'un indice SBF 120 qui se tasse de 0,3%. Société Générale (PA:SOGN) (SG) a confirmé son optimisme quant au concepteur de systèmes de stockage de gaz à l'aide de nouveaux arguments.
Dans un note de recherche publiée ce matin, SG a confirmé son conseil d'achat sur le titre GTT et sa cible de 39 euros. Mais les analystes ajoutent des éléments à leurs arguments antérieurs.
En septembre dernier, SG relève que Total (PA:TOTF) a indiqué qu'entre 2015 et 2025, la demande de gaz naturel liquéfié (GNL) devrait tripler. Et que du côté des unités flottantes de stockage et de regazéïfication (FSRU, en anglais), marché contrôlé par GTT, 70 projets étaient à l'étude, alors qu'il n'existe que 19 unités actuellement.
De plus, l'Organisation maritime internationale a décidé que les émissions polluantes des moteurs de navires devaient baisser nettement à partir de 2020. Ce qui pourrait permettre le décollage de la technologie de 'bunkering' (la propulsion navale en utilisant le gaz, moins polluant, plutôt que le fuel lourd), qui fait partie des activités de diversification de GTT.
Enfin, Shell (AS:RDSa) a lui aussi témoigné de son optimisme sur le marché du GNL, en estimant que l'offre pourrait avoir du mal à suivre la demande à compter du début de la prochaine décennie.
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Dans un note de recherche publiée ce matin, SG a confirmé son conseil d'achat sur le titre GTT et sa cible de 39 euros. Mais les analystes ajoutent des éléments à leurs arguments antérieurs.
En septembre dernier, SG relève que Total (PA:TOTF) a indiqué qu'entre 2015 et 2025, la demande de gaz naturel liquéfié (GNL) devrait tripler. Et que du côté des unités flottantes de stockage et de regazéïfication (FSRU, en anglais), marché contrôlé par GTT, 70 projets étaient à l'étude, alors qu'il n'existe que 19 unités actuellement.
De plus, l'Organisation maritime internationale a décidé que les émissions polluantes des moteurs de navires devaient baisser nettement à partir de 2020. Ce qui pourrait permettre le décollage de la technologie de 'bunkering' (la propulsion navale en utilisant le gaz, moins polluant, plutôt que le fuel lourd), qui fait partie des activités de diversification de GTT.
Enfin, Shell (AS:RDSa) a lui aussi témoigné de son optimisme sur le marché du GNL, en estimant que l'offre pourrait avoir du mal à suivre la demande à compter du début de la prochaine décennie.
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