Les analystes de JPMorgan ont indiqué dans un rapport publié mardi que l'augmentation de la croissance économique aux États-Unis par rapport au ralentissement de la croissance économique en Europe soutient la stratégie d'investissement consistant à privilégier les actifs américains par rapport aux actifs en euros. Toutefois, ils notent que le potentiel de gain par rapport à la perte n'est pas favorable à l'investissement dans des actions qui sont actuellement à leur prix le plus élevé.
"Les tendances contrastées de la croissance économique, avec les États-Unis qui se renforcent et l'Europe qui affiche une croissance plus faible, soutiennent la stratégie d'investissement qui consiste à privilégier les actifs américains par rapport aux actifs européens", écrivent les analystes.
"Nous mettons en œuvre cette stratégie en préférant les actions américaines aux actions européennes, les obligations américaines aux obligations européennes, les obligations d'État allemandes aux obligations du Trésor américain, et le dollar américain à l'euro", poursuivent-ils.
Dans le même temps, les analystes soulignent que les attentes du marché sont très élevées, que la structure du marché boursier est préoccupante en raison d'une forte concentration sur quelques titres, que l'implication des investisseurs est à son apogée, que les prix des actions sont élevés, que la Réserve fédérale résiste à l'attente de taux d'intérêt bas et que le marché ne reconnaît pas pleinement les risques d'inflation et les tensions politiques internationales.
Ils concluent donc que le potentiel de gain ou de perte n'est pas favorable à l'investissement dans des actions qui n'ont jamais été aussi chères et dans des obligations dont les spreads sont très étroits.
Pour JPMorgan, la stratégie impliquant des investissements à long terme est actuellement en période de réévaluation, indiquent les analystes.
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