KBC affiche un bénéfice net de 666 millions d'euros pour son deuxième trimestre, doublé par rapport au même trimestre de l'année dernière, 'dans un contexte économique de faibles taux d'intérêt, de reprise graduelle de la conjoncture et de défis politiques en Europe'.
'Grâce à la confiance accrue que nous ont témoignée nos clients, les volumes de prêts et de dépôts ont augmenté dans la quasi-totalité des pays où nous opérons. Les revenus générés par nos activités d'investissement et de gestion d'actifs sont également demeurés robustes', explique-t-il.
Le total des revenus a progressé de 9% en rythme trimestriel, à un peu plus de deux milliards, se caractérisant par des revenus nets d'intérêts robustes ainsi que par une augmentation des revenus nets de commissions, des valorisations des dérivés GAP (NYSE:GPS) et des autres revenus nets.
Couplée à la progression des revenus, la maîtrise efficace des coûts s'est traduite par une amélioration du ratio charges/revenus des activités bancaires, qui s'établit à 55% depuis le début de l'année (contre 58% sur l'ensemble de l'exercice 2014).
L'établissement financier belge revendique enfin une position de trésorerie très favorable et une base de capital - avec un ratio 'common equity' de 16,7% (à pleine charge, selon le compromis danois) - toujours nettement supérieure à l'objectif réglementaire.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
'Grâce à la confiance accrue que nous ont témoignée nos clients, les volumes de prêts et de dépôts ont augmenté dans la quasi-totalité des pays où nous opérons. Les revenus générés par nos activités d'investissement et de gestion d'actifs sont également demeurés robustes', explique-t-il.
Le total des revenus a progressé de 9% en rythme trimestriel, à un peu plus de deux milliards, se caractérisant par des revenus nets d'intérêts robustes ainsi que par une augmentation des revenus nets de commissions, des valorisations des dérivés GAP (NYSE:GPS) et des autres revenus nets.
Couplée à la progression des revenus, la maîtrise efficace des coûts s'est traduite par une amélioration du ratio charges/revenus des activités bancaires, qui s'établit à 55% depuis le début de l'année (contre 58% sur l'ensemble de l'exercice 2014).
L'établissement financier belge revendique enfin une position de trésorerie très favorable et une base de capital - avec un ratio 'common equity' de 16,7% (à pleine charge, selon le compromis danois) - toujours nettement supérieure à l'objectif réglementaire.
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