Kingfisher prend 3,1% à 317 pence à Londres, à la suite de l'annonce d'un plan de changement à la tête du groupe de magasins de bricolage, à l'occasion de la présentation de ses résultats semestriels.
Le directeur général Ian Cheshire prévoit en effet de quitter ses fonctions avant la fin de l'exercice en cours et de sortir du conseil d'administration le 31 janvier 2015. Il sera remplacé par Véronique Laury, actuellement directrice générale de Castorama France et membre du comité exécutif. Elle rejoindra le conseil avant de prendre ses nouvelles fonctions.
Sur son premier semestre comptable, Kingfisher a vu son bénéfice imposable ajusté rester stable à 364 millions de livres, pour un chiffre d'affaires en hausse de 0,9% à près de 5,8 milliards (+1,8% à données comparables).
'La demande sur notre marché le plus important, la France, s'est montrée particulièrement faible avec un brusque retournement de marché observé au deuxième trimestre', explique Ian Cheshire, qui met toutefois en avant des conditions plus favorables au Royaume Uni.
'Nous disposons d'un bilan vigoureux et de cash-flows qui nous permettent les investissements nécessaires, tout en distribuant des dividendes solides. Nous sommes aussi satisfaits de recommencer nos rachats d'actions', poursuit-il.
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Le directeur général Ian Cheshire prévoit en effet de quitter ses fonctions avant la fin de l'exercice en cours et de sortir du conseil d'administration le 31 janvier 2015. Il sera remplacé par Véronique Laury, actuellement directrice générale de Castorama France et membre du comité exécutif. Elle rejoindra le conseil avant de prendre ses nouvelles fonctions.
Sur son premier semestre comptable, Kingfisher a vu son bénéfice imposable ajusté rester stable à 364 millions de livres, pour un chiffre d'affaires en hausse de 0,9% à près de 5,8 milliards (+1,8% à données comparables).
'La demande sur notre marché le plus important, la France, s'est montrée particulièrement faible avec un brusque retournement de marché observé au deuxième trimestre', explique Ian Cheshire, qui met toutefois en avant des conditions plus favorables au Royaume Uni.
'Nous disposons d'un bilan vigoureux et de cash-flows qui nous permettent les investissements nécessaires, tout en distribuant des dividendes solides. Nous sommes aussi satisfaits de recommencer nos rachats d'actions', poursuit-il.
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