Investing.com - Les bourses asiatiques étaient en forte baisse ce lundi, les marchés se trouvant ébranlés par la dégradation de la dette américaine par S&P, ravivant les craintes concernant les perspectives de croissance mondiales.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'effondrait de 3.05%, l'ASX/200 australien de 2.7% et le Nikkei 225 japonais de 2.2%.
L'agence Standard & Poor's a en effet décidé d'abaisser d'un cran sa notation monétaire des Etats-Unis de AAA vers AA+ après la fermeture des marchés de vendredi, tout en la maintenant sous une perspective négative, indiquant qu'elle pourrait récidiver d'ici 12 à 18 mois.
Elle a en fait estimé que l'accord de remontée du plafond d'endettement adopté par les élus, destiné à diminuer le déficit fédéral d'environ 2.1 billions sur une décennie, n'allait pas assez loin, et que "la gouvernance et les orientations politiques américaines deviennent moins stables, moins effectives et moins prévisibles qu'elles semblaient être auparavant".
Le secteur financier, en grande partie vulnérable aux problèmes des bons du trésor américains, s'en est trouvé tiré vers le bas.
Le Mitsubishi UFJ Financial Group, premier prêteur nippon, a ainsi plongé de 2.6%, le Sumitomo Mitsui Financial Group de 2.25% et les parts de Citigroup cotées à Tokyo de 7.25%.
Les exportateurs japonais les plus dépendants des Etats-Unis ont aussi reculé en raison de la modération de leurs prévisions de recettes à l'étranger.
Sony, le géant de l'électronique, a dégringolé de 3.75%, Panasonic, constructeur de téléviseurs au plasma, de 2.3% et les constructeurs automobiiles Honda et Nissan de respectivement 3 et 2.75%.
A Hong Kong, les producteurs d'or noir ont tiré les bourses vers le bas après que les cours soient tombés sur le marché aux matières premières de New York à leur pire niveau en neuf mois, diminuant du même coup leurs revenus potentiels.
Le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi dévissé de 3.7%, CNOOC, premier extracteur de pétrole sous-marin chinois, de 4.1% et Sinopec de 3.1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un déclin de 0.5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.7%, celles sur le DAX allemand à 1.15% et sur le FTSE 100 britannique à 1.5%.
La zone euro devrait dévoiler dans la journée un rapport sur la confiance des investisseurs.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'effondrait de 3.05%, l'ASX/200 australien de 2.7% et le Nikkei 225 japonais de 2.2%.
L'agence Standard & Poor's a en effet décidé d'abaisser d'un cran sa notation monétaire des Etats-Unis de AAA vers AA+ après la fermeture des marchés de vendredi, tout en la maintenant sous une perspective négative, indiquant qu'elle pourrait récidiver d'ici 12 à 18 mois.
Elle a en fait estimé que l'accord de remontée du plafond d'endettement adopté par les élus, destiné à diminuer le déficit fédéral d'environ 2.1 billions sur une décennie, n'allait pas assez loin, et que "la gouvernance et les orientations politiques américaines deviennent moins stables, moins effectives et moins prévisibles qu'elles semblaient être auparavant".
Le secteur financier, en grande partie vulnérable aux problèmes des bons du trésor américains, s'en est trouvé tiré vers le bas.
Le Mitsubishi UFJ Financial Group, premier prêteur nippon, a ainsi plongé de 2.6%, le Sumitomo Mitsui Financial Group de 2.25% et les parts de Citigroup cotées à Tokyo de 7.25%.
Les exportateurs japonais les plus dépendants des Etats-Unis ont aussi reculé en raison de la modération de leurs prévisions de recettes à l'étranger.
Sony, le géant de l'électronique, a dégringolé de 3.75%, Panasonic, constructeur de téléviseurs au plasma, de 2.3% et les constructeurs automobiiles Honda et Nissan de respectivement 3 et 2.75%.
A Hong Kong, les producteurs d'or noir ont tiré les bourses vers le bas après que les cours soient tombés sur le marché aux matières premières de New York à leur pire niveau en neuf mois, diminuant du même coup leurs revenus potentiels.
Le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi dévissé de 3.7%, CNOOC, premier extracteur de pétrole sous-marin chinois, de 4.1% et Sinopec de 3.1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un déclin de 0.5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.7%, celles sur le DAX allemand à 1.15% et sur le FTSE 100 britannique à 1.5%.
La zone euro devrait dévoiler dans la journée un rapport sur la confiance des investisseurs.