Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce mercredi, aprèsque la Réserve Fédérale ait étouffé l'attente de nouvelles mesures stimulatrices pour la première économie mondiale, tandis que persistaient les craintes concernant le futur de l'économie européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 1.04%, le CAC 40 français de 1.02%, et le DAX 30 allemand de 1.31%.
Le procès-verbal de la réunion de mars de la Fed a en effet montré que les membres de son conseil d'orientation politique éviteront de déclencher une troisième série d'injections de liquidités à moins que la croissance ne fasse défaut, ou que l'inflation ne passe sous les 2% visés.
La peur que l'Espagne ne soit le prochain de ses membres à devoir bénéficier d'un plan de secours s'intensifiait pour sa part à l'approche d'une mise aux enchères de dettes publiques prévue en cours de journée.
Les observateurs guettent également la réunion de la Banque Centrale Européenne devant avoir lieu aujourd'hui, qui ne devrait toutefois pas apporter de variations à son taux directeur de 1%.
Les finance héritait du bonnet d'âne, les français BNP Paribas et la Société Générale plongeant respectivement de 2.56 et 2.86%, tandis que la Deutsche Bank et la Commerzbank limitaient les dégâts à 1.1 et 2.6%.
Les banques de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les espagnoles Banco Santander et BBVA s'effondrant de 2.36 et 2.35%, les italiennes Unicredit et Intesa Sanpaolo dévissant respectivement de 2.5 et 2.29%.
Les constructeurs automobiles n'étaient pas non plus à la fête, Daimler dérapant de 1.61%, BMW et Volkswagen sauvant les meubles avec seulement 1.4 et 1.13% de pertes.
A Londres, le FTSE 100 a plongé de 0.5%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin descendant tracé par leurs homologues continentaux, alors que des informations émanant de spécialistes montraient que les coûts des logements du pays avaient augmenté en mars sans crier gare.
La Royal Bank of Scotland se trouvait parmi les lanternes rouges, en régression de 2.68% après qu'il ait été rapporté qu'elle avait réalisé en février une vente de 207 millions d'USD d'obligations adossées à ses propres produits dérivés.
Ses collègues Barclays et Lloyds ont quand à elles suivi le mouvement de 2.26 et 1.79%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient guère mieux lotis, fondant de 1.9 et 1.23%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys glissant de 1.86 et 1.77%.
La compagnie pharmaceutique Hikma a pour sa part laissé échapper 0.88% après que ses concurrents Glaxo et Pfizer aient porté plainte contre elle, qui comptait mettre en vente un traitement anticoagulant qui utiliserait un brevet détenu par le premier pour son Argatroban.
Celui-ci, premier fabricant de médicaments britannique, a pour sa part trébuché de 0.42% bien qu'il ait annoncé que les résultats des tests cliniques de son traitement expérimental à l'Albiglutide montraient son efficacité thérapeutique auprès des personnes souffrant de diabète, et pourraient servir de tremplin à sa mise sur le marché.
Les perspectives des marchés américains étaient également pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.54%.
L'Allemagne devrait révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, et les Etats-Unis rendre quand à eux un rapport sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements ISM fera de même concernant l'activité du secteur tertiaire du pays.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 1.04%, le CAC 40 français de 1.02%, et le DAX 30 allemand de 1.31%.
Le procès-verbal de la réunion de mars de la Fed a en effet montré que les membres de son conseil d'orientation politique éviteront de déclencher une troisième série d'injections de liquidités à moins que la croissance ne fasse défaut, ou que l'inflation ne passe sous les 2% visés.
La peur que l'Espagne ne soit le prochain de ses membres à devoir bénéficier d'un plan de secours s'intensifiait pour sa part à l'approche d'une mise aux enchères de dettes publiques prévue en cours de journée.
Les observateurs guettent également la réunion de la Banque Centrale Européenne devant avoir lieu aujourd'hui, qui ne devrait toutefois pas apporter de variations à son taux directeur de 1%.
Les finance héritait du bonnet d'âne, les français BNP Paribas et la Société Générale plongeant respectivement de 2.56 et 2.86%, tandis que la Deutsche Bank et la Commerzbank limitaient les dégâts à 1.1 et 2.6%.
Les banques de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les espagnoles Banco Santander et BBVA s'effondrant de 2.36 et 2.35%, les italiennes Unicredit et Intesa Sanpaolo dévissant respectivement de 2.5 et 2.29%.
Les constructeurs automobiles n'étaient pas non plus à la fête, Daimler dérapant de 1.61%, BMW et Volkswagen sauvant les meubles avec seulement 1.4 et 1.13% de pertes.
A Londres, le FTSE 100 a plongé de 0.5%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin descendant tracé par leurs homologues continentaux, alors que des informations émanant de spécialistes montraient que les coûts des logements du pays avaient augmenté en mars sans crier gare.
La Royal Bank of Scotland se trouvait parmi les lanternes rouges, en régression de 2.68% après qu'il ait été rapporté qu'elle avait réalisé en février une vente de 207 millions d'USD d'obligations adossées à ses propres produits dérivés.
Ses collègues Barclays et Lloyds ont quand à elles suivi le mouvement de 2.26 et 1.79%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient guère mieux lotis, fondant de 1.9 et 1.23%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys glissant de 1.86 et 1.77%.
La compagnie pharmaceutique Hikma a pour sa part laissé échapper 0.88% après que ses concurrents Glaxo et Pfizer aient porté plainte contre elle, qui comptait mettre en vente un traitement anticoagulant qui utiliserait un brevet détenu par le premier pour son Argatroban.
Celui-ci, premier fabricant de médicaments britannique, a pour sa part trébuché de 0.42% bien qu'il ait annoncé que les résultats des tests cliniques de son traitement expérimental à l'Albiglutide montraient son efficacité thérapeutique auprès des personnes souffrant de diabète, et pourraient servir de tremplin à sa mise sur le marché.
Les perspectives des marchés américains étaient également pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.54%.
L'Allemagne devrait révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, et les Etats-Unis rendre quand à eux un rapport sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements ISM fera de même concernant l'activité du secteur tertiaire du pays.