Investing.com - Les bourses européennes se sont retrouvées dans la tourmente ce lundi après-midi, dans le sillage des turbulences politiques espagnoles, malgré les belles performances régionales dévoilées la semaine dernière.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 0.98%, le CAC 40 français de 0.8%, et le DAX 30 allemand de 0.63%.
L'atmosphère s'est en effet assombrie alors que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy subissait des exigences de démission suite aux affirmations selon lesquelles il aurait, de même que les hauts responsables de son Parti Populaire l'ayant amené au pouvoir, bénéficié de dessous de table.
Il a toutefois nié farouchement ces accusations dans un communiqué diffusé samedi.
Le moral est également retombé après que le ministre de l'économie français Pierre Moscovici ait averti que la monnaie unique était peut-être trop forte au vu de sa récente ascension.
Mais la confiance restait bonne après qu'il ait été montré vendredi que l'activité manufacturière de la zone euro avait augmenté en janvier, tandis que son inflation et son chômage se stabilisaient, confirmant l'hypothèse du passage d'un tournant décisif.
La finance était toujours morose, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank reculant respectivement de 1.43 et 0.99%, les français BNP Paribas et Société Générale laissant échapper 0.56 et 1.63%.
La périphérie s'enfonçait dans l'unanimité, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'effondrant de 3.29 et 4.19%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 2.17 et 1.22%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Swatch encaissant 2.19% suite au bond de 26% de ses revenus nets en 2012, pour atteindre 1.6 milliards de CHF, l'entreprise ayant fabriqué davantage de montre, prenant avantage de l'amélioration de la capacité de production de ses usines.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a glissé de 0.68%, tiré vers le bas par des extracteurs en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 1.43 et 1.24%, Glencore faisant bien pire avec 3.14%.
Les cuivriers n'étaient pas non plus à la fête, Kazakhmys et Xstrata se repliant de 2.65 et 1.4%.
La City suivait désormais d'un seul pas le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings cédant 0.42%, et Lloyds Banking 0.81%, la Royal Bank of Scotland et Barclays n'étant pas en reste avec 0.87 et 0.81%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant annoncé que le directeur financier Chris Lucas de ce dernier, et son chef du contentieux Mark Harding prendraient incessamment leur retraite.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne avait révélé ce matin que le nombre des demandeurs d'emploi avait moins augmenté en janvier que redouté, avec tout de même 132 100 inscriptions suite aux 59 100 déjà enregistrées le mois précédent.
Les experts redoutaient toutefois d'en dénombrer 150 000 pour la période considérée.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès des usines.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 0.98%, le CAC 40 français de 0.8%, et le DAX 30 allemand de 0.63%.
L'atmosphère s'est en effet assombrie alors que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy subissait des exigences de démission suite aux affirmations selon lesquelles il aurait, de même que les hauts responsables de son Parti Populaire l'ayant amené au pouvoir, bénéficié de dessous de table.
Il a toutefois nié farouchement ces accusations dans un communiqué diffusé samedi.
Le moral est également retombé après que le ministre de l'économie français Pierre Moscovici ait averti que la monnaie unique était peut-être trop forte au vu de sa récente ascension.
Mais la confiance restait bonne après qu'il ait été montré vendredi que l'activité manufacturière de la zone euro avait augmenté en janvier, tandis que son inflation et son chômage se stabilisaient, confirmant l'hypothèse du passage d'un tournant décisif.
La finance était toujours morose, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank reculant respectivement de 1.43 et 0.99%, les français BNP Paribas et Société Générale laissant échapper 0.56 et 1.63%.
La périphérie s'enfonçait dans l'unanimité, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'effondrant de 3.29 et 4.19%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 2.17 et 1.22%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Swatch encaissant 2.19% suite au bond de 26% de ses revenus nets en 2012, pour atteindre 1.6 milliards de CHF, l'entreprise ayant fabriqué davantage de montre, prenant avantage de l'amélioration de la capacité de production de ses usines.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a glissé de 0.68%, tiré vers le bas par des extracteurs en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 1.43 et 1.24%, Glencore faisant bien pire avec 3.14%.
Les cuivriers n'étaient pas non plus à la fête, Kazakhmys et Xstrata se repliant de 2.65 et 1.4%.
La City suivait désormais d'un seul pas le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings cédant 0.42%, et Lloyds Banking 0.81%, la Royal Bank of Scotland et Barclays n'étant pas en reste avec 0.87 et 0.81%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant annoncé que le directeur financier Chris Lucas de ce dernier, et son chef du contentieux Mark Harding prendraient incessamment leur retraite.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne avait révélé ce matin que le nombre des demandeurs d'emploi avait moins augmenté en janvier que redouté, avec tout de même 132 100 inscriptions suite aux 59 100 déjà enregistrées le mois précédent.
Les experts redoutaient toutefois d'en dénombrer 150 000 pour la période considérée.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès des usines.