Investing.com - Les bourses asiatiques ont chuté ce lundi, l'export et la finance se trouvant en lanternes rouges alors que l'angoisse d'un défaut de paiement de la part de la Grèce poussait les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 3.7%, l'ASX/200 australien de 3.8% et le Nikkei 225 japonais de 2.3%.
Le magazine allemand Der Spiegel a rapporté en fin de semaine que le ministère des finances germanique étudierait l'impact d'un éventuel manquement aux obligations grecques, y compris un scénario dans lequel le pays surendetté quitterait la zone euro et réintroduirait le drachme.
Le Nikkei 225 a glissé dans une ornière des deux ans et demi écoulés, tiré vers le bas par les exportateurs fortement dépendants de l'Europe et par le large renforcement du yen.
Sony, le géant de l'électronique grand public, a ainsi dégringolé de 3.4%, Canon, fabricant d'appareils photo numériques, de 2.3% et les constructeurs automobiles Nissan et Honda respectivement 3 et 3.75%.
Sharp, spécialiste des téléviseurs au plasma, a dérapé de 5% après que Mizuho Securities en ait revu l'appréciation à la baisse, rabotant près de 16% de son prix visé.
Les valeurs financières n'étaient pas à la fête non plus, suivant le chemin tracé vendredi par leurs homologues européennes et américaines, Le Mitsubishi UFJ Financial Group, premier prêteur du pays, a ainsi dégringolé de 2.7%, et le Sumitomo Mitsui Financial Group de 2.4%.
A Hong Kong, les producteurs d'or noir ont tiré les bourses vers le bas après que les cours soient tombés sur le marché aux matières premières de New York à moins de 86 USD le baril, diminuant du même coup leurs revenus potentiels.
Le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi subi une hémorrhagie de 4.5%, Sinopec de 3.85% et CNOOC, prospecteur de pétrole sous-marin, de 4.7%.
les parts de HSBC Holdings cotées dans l'ex-enclave ont suivi le mouvement de 4.65%, de même que le reste du secteur, la China Construction Bank s'abaissant de 4.3%, et la Bank of China Hong Kong de 3.4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement pessimiste sur fond de rumeurs d'une dégradation de la notation des trois plus gros organises de prêt français.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un recul de 3.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 3%, celles sur le DAX allemand à 3.1% et sur le FTSE 100 britannique à 2.05%.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, devrait par ailleurs prendre la parole lors d'une conférence publique.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 3.7%, l'ASX/200 australien de 3.8% et le Nikkei 225 japonais de 2.3%.
Le magazine allemand Der Spiegel a rapporté en fin de semaine que le ministère des finances germanique étudierait l'impact d'un éventuel manquement aux obligations grecques, y compris un scénario dans lequel le pays surendetté quitterait la zone euro et réintroduirait le drachme.
Le Nikkei 225 a glissé dans une ornière des deux ans et demi écoulés, tiré vers le bas par les exportateurs fortement dépendants de l'Europe et par le large renforcement du yen.
Sony, le géant de l'électronique grand public, a ainsi dégringolé de 3.4%, Canon, fabricant d'appareils photo numériques, de 2.3% et les constructeurs automobiles Nissan et Honda respectivement 3 et 3.75%.
Sharp, spécialiste des téléviseurs au plasma, a dérapé de 5% après que Mizuho Securities en ait revu l'appréciation à la baisse, rabotant près de 16% de son prix visé.
Les valeurs financières n'étaient pas à la fête non plus, suivant le chemin tracé vendredi par leurs homologues européennes et américaines, Le Mitsubishi UFJ Financial Group, premier prêteur du pays, a ainsi dégringolé de 2.7%, et le Sumitomo Mitsui Financial Group de 2.4%.
A Hong Kong, les producteurs d'or noir ont tiré les bourses vers le bas après que les cours soient tombés sur le marché aux matières premières de New York à moins de 86 USD le baril, diminuant du même coup leurs revenus potentiels.
Le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi subi une hémorrhagie de 4.5%, Sinopec de 3.85% et CNOOC, prospecteur de pétrole sous-marin, de 4.7%.
les parts de HSBC Holdings cotées dans l'ex-enclave ont suivi le mouvement de 4.65%, de même que le reste du secteur, la China Construction Bank s'abaissant de 4.3%, et la Bank of China Hong Kong de 3.4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement pessimiste sur fond de rumeurs d'une dégradation de la notation des trois plus gros organises de prêt français.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un recul de 3.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 3%, celles sur le DAX allemand à 3.1% et sur le FTSE 100 britannique à 2.05%.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, devrait par ailleurs prendre la parole lors d'une conférence publique.