Investing.com - Les places d'Asie étaient sans direction claire ce jeudi matin, le Japon hésitant entre légers gains et pertes minimes alors que les yeux restaient fixés sur le marché de changes, tandis que les chicaneries politiques au sujet du budget américain revenaient au premier plan.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong régressait de 0.3%, l'ASX/200 australien arrachait 0.4% et le Nikkei 225 japonais 0.1% après s'être effondré hier de 2.6%.
Tokyo s'était levée d'un bon pied en engrangeant 1%, puis le vent a tourné, pour faire perdre 1%, au vu des mouvements entre le yen et le billet vert.
La conclusion s'est faite en léger mieux, après qu'un reportage ait montré qu'Akira Amari, ministre de l'économie du pays, estimait que sa remarque de début de semaine sur la monnaie locale avait fait l'objet d'interprêtations erronées.
La journée d'hier avait en effet été le théâtre d'un effondrement de 2.6%, la devise nippone reprenant des couleurs face à son homologue américaine et à l'euro après qu'il ait rappelé qu'une unité monétaire locale trop faible pourrait être nuisible économiquement en augmentant les frais découlant des importations.
L'étalon américain s'est retrouvé à 88.59 contre la monnaie de l'archipel, frôlant à nouveau son pic de 31 mois établi la semaine passée à 89.66, ce phénomène diminuant la valeur des revenus à l'étranger des entreprises japonaises.
Sharp, fabricant de télévisions en grande difficulté, s'est toutefois envolé de 7.3% après qu'un article du quotidien Nikkei ait rapporté qu'un partenariat avec le constructeur d'ordinateurs chinois Lenovo Group était à l'étude.
Son concurrent Sony est pour sa part remonté de 5.7% après que Goldman Sachs en ait relevé sa recommandation, depuis la vente vers la neutralité.
MAis tout n'était pas rose, le GS Yuasa Group, fournisseur des batteries des appareils 787 Dreamliner de Boeing, reculait de 5% après que l'autorité fédérale aérienne américaine ait imposé de maintenir ces derniers au sol, en attendant les résultats de tests destinés à déterminer si leurs batteries sont fiables.
La prudence était de mise à Hong Kong, les investisseurs estimant urgent d'attendre sur le banc de touche que la Chine révèle ses nombreuses données économiques de la semaine.
Elle a prévu de révéler vendredi son produit intérieur brut du quatrième trimestre, ainsi que les chiffres de sa production industrielle, et le volume de ses ventes au détail.
Les poids lourds des assurances et des banques étaient du coup sur la défensive, sur fond de débouclages tirant profit de leurs ascensions des derniers jours, le China Life Insurance Group fondant de 2.5%, le Ping An Insurance Group de 0.7%, et la Bank of China, avec 1.2%.
Sydney s'est par contre hissée au plus haut des vingt mois écoulés, des chiffres de l'emploi médiocres renforrçant l'espoir d'une baisse des taux dans un futur proche.
Il avait été montré ce matin que 5 500 postes avaient été supprimés le mois passé, alors que 4 500 créations étaient espérées, le taux de chômage grimpant du coup de 5.3 à 5.4% en novembre.
La bande des quatre banques du pays gardait le sourire, l'ANZ Banking Group en tête avec 0.8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.1% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.1% également et sur le FTSE 100 britannique à 0.2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'ils ont accordé, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong régressait de 0.3%, l'ASX/200 australien arrachait 0.4% et le Nikkei 225 japonais 0.1% après s'être effondré hier de 2.6%.
Tokyo s'était levée d'un bon pied en engrangeant 1%, puis le vent a tourné, pour faire perdre 1%, au vu des mouvements entre le yen et le billet vert.
La conclusion s'est faite en léger mieux, après qu'un reportage ait montré qu'Akira Amari, ministre de l'économie du pays, estimait que sa remarque de début de semaine sur la monnaie locale avait fait l'objet d'interprêtations erronées.
La journée d'hier avait en effet été le théâtre d'un effondrement de 2.6%, la devise nippone reprenant des couleurs face à son homologue américaine et à l'euro après qu'il ait rappelé qu'une unité monétaire locale trop faible pourrait être nuisible économiquement en augmentant les frais découlant des importations.
L'étalon américain s'est retrouvé à 88.59 contre la monnaie de l'archipel, frôlant à nouveau son pic de 31 mois établi la semaine passée à 89.66, ce phénomène diminuant la valeur des revenus à l'étranger des entreprises japonaises.
Sharp, fabricant de télévisions en grande difficulté, s'est toutefois envolé de 7.3% après qu'un article du quotidien Nikkei ait rapporté qu'un partenariat avec le constructeur d'ordinateurs chinois Lenovo Group était à l'étude.
Son concurrent Sony est pour sa part remonté de 5.7% après que Goldman Sachs en ait relevé sa recommandation, depuis la vente vers la neutralité.
MAis tout n'était pas rose, le GS Yuasa Group, fournisseur des batteries des appareils 787 Dreamliner de Boeing, reculait de 5% après que l'autorité fédérale aérienne américaine ait imposé de maintenir ces derniers au sol, en attendant les résultats de tests destinés à déterminer si leurs batteries sont fiables.
La prudence était de mise à Hong Kong, les investisseurs estimant urgent d'attendre sur le banc de touche que la Chine révèle ses nombreuses données économiques de la semaine.
Elle a prévu de révéler vendredi son produit intérieur brut du quatrième trimestre, ainsi que les chiffres de sa production industrielle, et le volume de ses ventes au détail.
Les poids lourds des assurances et des banques étaient du coup sur la défensive, sur fond de débouclages tirant profit de leurs ascensions des derniers jours, le China Life Insurance Group fondant de 2.5%, le Ping An Insurance Group de 0.7%, et la Bank of China, avec 1.2%.
Sydney s'est par contre hissée au plus haut des vingt mois écoulés, des chiffres de l'emploi médiocres renforrçant l'espoir d'une baisse des taux dans un futur proche.
Il avait été montré ce matin que 5 500 postes avaient été supprimés le mois passé, alors que 4 500 créations étaient espérées, le taux de chômage grimpant du coup de 5.3 à 5.4% en novembre.
La bande des quatre banques du pays gardait le sourire, l'ANZ Banking Group en tête avec 0.8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.1% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.1% également et sur le FTSE 100 britannique à 0.2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'ils ont accordé, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.