Investing.com - Les places d'Asie étaient en forme ce mardi matin, la popularité des valeurs audacieuses continuant à être portée par une vague d'espoir que l'économie mondiale soit en train de reprendre du poil de la bête.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1.1%, le Hang Seng de Hong Kong 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.4%.
Sydney a en effet bondi au plus haut des 21 mois écoulés à la reprise suivant les congés d'hier.
La bande des quatre plus grosses banques nationales avait le sourire, la Commonwealth Bank of Australia, leur plus gros membre, gagnant 1.8%, dépassé par le Westpac Banking Group avec 2.4%, tandis que l'ANZ Banking Group et la National Australia Bank suivaient avec respectivement 1.7% et 1.75%.
Hong Kong hésitait pour sa part en légers gains et pertes minimes, la forte baisse de l'Industrial and Commercial Bank of China, poids lourd de son indice, nuisant à ses performances.
Le premier prêteur chinois a en effet dérapé de 2% après qu'il ait été révélé que Goldman Sachs comptait en vendre pour 1 milliard d'USD de parts à 3% de moins que le cours de clôture d'hier.
Tokyo a quand à elle entamé la journée dans le rouge en raison de débouclages destinés à encaisser des plus-values pour la seconde journée d'affilée, avant d'inverser la tendance grâce au regain de popularité des parts des mégabanques nationales, après que le journal Nikkei ait fait savoir que des augmentations de bénéfices significatives de leur part étaient attendues en raison de l'augmentation de valeur de leurs portefeuilles.
Le Mizuho Financial Group, troisième d'entre eux, grimpait ainsi de 3%, dépassé par le Mitsubishi UFJ Financial Group, le plus important, avec 3.75%, ainsi que par le Sumitomo Mitsui Financial Group avec 4.4%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 22% depuis la mi-novembre, dans l'expectative enthousiaste de mesures monétaires agressives de la part de la banque centrale du pays, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Parmi les proclamations, on pouvait aussi noter que l'opérateur de téléphonie mobile KDDI Corp. bondiissait de 2.85% après avoir remonté ses projections de bénéfices opérationnels annuels de 500 jusqu'à 505 milliards de JPY, et annoncé un partage de ses actions.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui morose, sur fond de prudence à la veille de la prise de cap de la Réserve Fédérale et des chiffres de la croissance américaine.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient ainsi une baisse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand restant inchangées et sur le FTSE 100 britannique aussi.
L'après-midi devrait voir la publication d'un rapport sur l'humeur des consommateurs des Etats-Unis, et d'un autre sur l'inflation des coûts des logements du pays.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1.1%, le Hang Seng de Hong Kong 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.4%.
Sydney a en effet bondi au plus haut des 21 mois écoulés à la reprise suivant les congés d'hier.
La bande des quatre plus grosses banques nationales avait le sourire, la Commonwealth Bank of Australia, leur plus gros membre, gagnant 1.8%, dépassé par le Westpac Banking Group avec 2.4%, tandis que l'ANZ Banking Group et la National Australia Bank suivaient avec respectivement 1.7% et 1.75%.
Hong Kong hésitait pour sa part en légers gains et pertes minimes, la forte baisse de l'Industrial and Commercial Bank of China, poids lourd de son indice, nuisant à ses performances.
Le premier prêteur chinois a en effet dérapé de 2% après qu'il ait été révélé que Goldman Sachs comptait en vendre pour 1 milliard d'USD de parts à 3% de moins que le cours de clôture d'hier.
Tokyo a quand à elle entamé la journée dans le rouge en raison de débouclages destinés à encaisser des plus-values pour la seconde journée d'affilée, avant d'inverser la tendance grâce au regain de popularité des parts des mégabanques nationales, après que le journal Nikkei ait fait savoir que des augmentations de bénéfices significatives de leur part étaient attendues en raison de l'augmentation de valeur de leurs portefeuilles.
Le Mizuho Financial Group, troisième d'entre eux, grimpait ainsi de 3%, dépassé par le Mitsubishi UFJ Financial Group, le plus important, avec 3.75%, ainsi que par le Sumitomo Mitsui Financial Group avec 4.4%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 22% depuis la mi-novembre, dans l'expectative enthousiaste de mesures monétaires agressives de la part de la banque centrale du pays, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Parmi les proclamations, on pouvait aussi noter que l'opérateur de téléphonie mobile KDDI Corp. bondiissait de 2.85% après avoir remonté ses projections de bénéfices opérationnels annuels de 500 jusqu'à 505 milliards de JPY, et annoncé un partage de ses actions.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui morose, sur fond de prudence à la veille de la prise de cap de la Réserve Fédérale et des chiffres de la croissance américaine.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient ainsi une baisse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand restant inchangées et sur le FTSE 100 britannique aussi.
L'après-midi devrait voir la publication d'un rapport sur l'humeur des consommateurs des Etats-Unis, et d'un autre sur l'inflation des coûts des logements du pays.