Investing.com - Les bourses asiatiques étaient en forte baisse ce jeudi, avant de rattraper une partie de leurs pertes, la crainte d'une extension de la crise de la dette de la zone euro vers son secteur bancaire pesant sur l'ambiance.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.65%, l'ASX/200 australien 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Les valeurs régionales sont ressorties de l'ornière en milieu d'après-midi, se stabilisant après avoir plongé vertigineusement en début de session.
Les angoisses concernant les principaux prêteurs français, notamment la Société Générale, ainsi que les rumeurs d'une dégradation imminente de la notation monétaire du pays ont ébranlé hier la confiance des investisseurs, entraînant de fortes pertes en Europe et à Wall Street.
Les agences Moody's, Standard & Poor's et Fitch ont par la suite confirmé la notation maximale AAA de la France et la stabilité de sa perspective.
Les banques japonaises ont tiré les bourses vers le bas comme leurs homologues du monde entier, le Mitsubishi UFJ Financial Group, déclinant de 1.9%, le Sumitomo Mitsui Financial Group de 1.8% et la Shinsei Bank de 2.2%.
Les exportateurs nationaux ont également reculé, la remontée du yen ayant modéré les prévisions de recettes à l'étranger.
Sony, le géant de l'électronique, a dérapé de 2.2%, Canon, fabricant d'appareils photo numériques, de 1.45% et les constructeurs automobiles Honda et Toyota de respectivement 3.5 et 2%.
A Hong Kong, Tencent, le mastodonte d'internet, était en lanterne rouge, dégringolant de 4.9% après avoir avoué la plus faible croissance de ses bénéfices semestriels en presque quatre ans.
Les parts de HSBC Holdings cotées dans l'ex-enclave ont pour leur part laissé échapper 2.1% après que leur cotation ait été suspendue en cours d'après-midi en raison de perturbations touchant le site web d'information sur les compagnies de l'opérateur boursier.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un bond de 2.5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 2.7%, celles sur le DAX allemand à 2.5% et sur le FTSE 100 britannique à 1.8%.
La Banque Centrale Européenne publiera quand à elle son bulletin mensuel en cours de journée, puis les Etats-Unis feront de même avec leur solde officiel du commerce extérieur, ainsi qu'avec des rapports gouvernementaux sur les nouvelles inscriptions au chômage et les réserves de gaz naturel.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.65%, l'ASX/200 australien 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Les valeurs régionales sont ressorties de l'ornière en milieu d'après-midi, se stabilisant après avoir plongé vertigineusement en début de session.
Les angoisses concernant les principaux prêteurs français, notamment la Société Générale, ainsi que les rumeurs d'une dégradation imminente de la notation monétaire du pays ont ébranlé hier la confiance des investisseurs, entraînant de fortes pertes en Europe et à Wall Street.
Les agences Moody's, Standard & Poor's et Fitch ont par la suite confirmé la notation maximale AAA de la France et la stabilité de sa perspective.
Les banques japonaises ont tiré les bourses vers le bas comme leurs homologues du monde entier, le Mitsubishi UFJ Financial Group, déclinant de 1.9%, le Sumitomo Mitsui Financial Group de 1.8% et la Shinsei Bank de 2.2%.
Les exportateurs nationaux ont également reculé, la remontée du yen ayant modéré les prévisions de recettes à l'étranger.
Sony, le géant de l'électronique, a dérapé de 2.2%, Canon, fabricant d'appareils photo numériques, de 1.45% et les constructeurs automobiles Honda et Toyota de respectivement 3.5 et 2%.
A Hong Kong, Tencent, le mastodonte d'internet, était en lanterne rouge, dégringolant de 4.9% après avoir avoué la plus faible croissance de ses bénéfices semestriels en presque quatre ans.
Les parts de HSBC Holdings cotées dans l'ex-enclave ont pour leur part laissé échapper 2.1% après que leur cotation ait été suspendue en cours d'après-midi en raison de perturbations touchant le site web d'information sur les compagnies de l'opérateur boursier.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un bond de 2.5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 2.7%, celles sur le DAX allemand à 2.5% et sur le FTSE 100 britannique à 1.8%.
La Banque Centrale Européenne publiera quand à elle son bulletin mensuel en cours de journée, puis les Etats-Unis feront de même avec leur solde officiel du commerce extérieur, ainsi qu'avec des rapports gouvernementaux sur les nouvelles inscriptions au chômage et les réserves de gaz naturel.