Investing.com - Les bourses d'Asie ne savaient pas sur quel pied danser ce mercredi matin, après que les parlementaires chypriotes aient refusé l'accord d'aides d'urgence qui aurait imposé une taxation des dépôts auprès des banques nationales.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien laissait échapper 0.4%, et le Hang Seng de Hong Kong prenait 1%, tandis que le Nikkei 225 japonais restait inactif pour cause de jour férié.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup appelé à une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de secours, une fois les termes de l'accord de sauvetage refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux banques de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Sydney s'est rapprochée d'un creux de cinq semaines, ses exploitants subissant le dérapage des prix du cuivre.
Ceux-ci, établis à New York, ont en effet dégringolé dans la soirée au plus bas des sept mois écoulés, en raison de l'angoisse d'une diminution de la demande chinoise, la première de la planète, dont les producteurs locaux dépendent lourdement.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi respectivement de 2.2 et 2.3%, suivis du Fortescue Metals Group, plus orienté vers le minerai de fer, avec 2.3% aussi.
Hong Kong s'éloignait pour sa part de son creux de trois mois établi en début de semaine, mais ce sursaut deeurait limité par les incertitudes concernant la Chine, seconde économie mondiale.
La finance était parmi le peloton de tête, la la Bank of China empochant 2.6%, la China Construction Bank de 2.7% et l'Industrial and Commercial Bank of China de 3.1%.
Les gros exportateurs n'étaient pas en reste, le chausseur Belle International Holdings bondissant de 3.9%, et le modiste Esprit Holdings de 5%, Li & Fung se contentant de 2.4%.
Le poids lourd HSBC Holdings n'a par contre pas suivi la tendance, reculant de 0.7%, sur fond d'angoisses au sujet de Chypre.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt positif, grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.4% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.4% également et sur le FTSE 100 britannique à 0.3%.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien laissait échapper 0.4%, et le Hang Seng de Hong Kong prenait 1%, tandis que le Nikkei 225 japonais restait inactif pour cause de jour férié.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup appelé à une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de secours, une fois les termes de l'accord de sauvetage refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux banques de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Sydney s'est rapprochée d'un creux de cinq semaines, ses exploitants subissant le dérapage des prix du cuivre.
Ceux-ci, établis à New York, ont en effet dégringolé dans la soirée au plus bas des sept mois écoulés, en raison de l'angoisse d'une diminution de la demande chinoise, la première de la planète, dont les producteurs locaux dépendent lourdement.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi respectivement de 2.2 et 2.3%, suivis du Fortescue Metals Group, plus orienté vers le minerai de fer, avec 2.3% aussi.
Hong Kong s'éloignait pour sa part de son creux de trois mois établi en début de semaine, mais ce sursaut deeurait limité par les incertitudes concernant la Chine, seconde économie mondiale.
La finance était parmi le peloton de tête, la la Bank of China empochant 2.6%, la China Construction Bank de 2.7% et l'Industrial and Commercial Bank of China de 3.1%.
Les gros exportateurs n'étaient pas en reste, le chausseur Belle International Holdings bondissant de 3.9%, et le modiste Esprit Holdings de 5%, Li & Fung se contentant de 2.4%.
Le poids lourd HSBC Holdings n'a par contre pas suivi la tendance, reculant de 0.7%, sur fond d'angoisses au sujet de Chypre.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt positif, grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.4% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.4% également et sur le FTSE 100 britannique à 0.3%.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.