Investing.com - Les places d'Asie étaient plutôt en recul ce jeudi matin, celles du Japon se trouvant jetées au bas de leur piédestal de quatre ans alors que les opérateurs assuraient leurs plus-values suite à leur rebond d'hier.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien arrachait 0.3%, le Hang Seng de Hong Kong se rétractait de 0.3% et le Nikkei 225 japonais de 0.9%.
Sydney nageait à en effet contre-courant après que la National Bank of Australia ait revendiqué des revenus supérieurs aux attentes.
Elle a ainsi bondi de 1.85% grâce à l'augmentation de 4% de ses rentrées trimestrielles ajustées.
Mais tout n'était pas rose, l'empire médiatique News Corp plongeant de 3.25% après avoir revu ses prévisions annuelles à la baisse.
Hong Kong était sur la défensive, les investisseurs préférant éviter de prendre position sur le marché à l'approche des congés du nouvel an lunaire.
La corbeille y sera inactive pour trois jours la semaine prochaine, et il en sera de même pour la semaine entière en Chine continentale.
Le secteur bancaire se trouvait parmi les lanternes rouges, la China Construction Bank laissant échapper 1.6%, et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national 1.4%.
L'assembleur d'ordinateurs Lenovo Group a par contre bondi de 4.6% après qu'il ait été annoncé qu'il serait incorporé parmi les 50 composants du Hang Seng le mois prochain.
Il y remplacera Aluminum Corporation of China, les actions CHALCO fondant du coup de 3.6%.
Tokyo est pour sa part redescendu de son pic de quatre ans établi mercredi, la pause dans la dégringolade du yen poussant à engranger les gains des valeurs ayant récemment démontré de belles performances.
Le fabricant d'appareils photo Nikon s'est pour sa part effondré de 19% suite au rabaissement de ses projections de profits pour l'année fiscale en cours de 33%, pour se limiter à 48 milliards de JPY, invoquant la ralentissement de la demande européenne.
Les pianos Yamaha lui emboîtaient le pas de 15.6% en raison de résultats décevants et d'une réduction de ses prévisions pour l'année.
Mais tout n'était pas désespéré, le constructeur automobile Mazda engrangeant 12% avec un bond de 80% de ses objectifs pour atteindre 45 milliards grâce à l'affaiblissement de la devise nationale.
Le fournisseur de matériel électroniques grand public Sony concluait avec une ascension de 2.6%, en raison de l'optimisme à l'approche de ses résultats suivant la cloche de clôture.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 27% depuis la mi-novembre, à partir du moment où Shinzo Abe, alors seulement candidat au poste de premier ministre, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures monétaires agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt terne, la prudence restant de mise à l'approche des conclusions de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne d'aujourd'hui.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une stagnation, celles sur le CAC 40 français n'évoluant guère, celles sur le DAX 30 allemand tablant sur une baisse de 0.1% et celles sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
La BCE devrait selon toute vraisemblance maintenir son taux directeur à 0.75%, mais sa conférence de presse post-réunion tenue par son président Mario Draghi sera sans doute surveillée de près afin de tenter d'y glaner des indices sur ses orientations futures.
Les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien arrachait 0.3%, le Hang Seng de Hong Kong se rétractait de 0.3% et le Nikkei 225 japonais de 0.9%.
Sydney nageait à en effet contre-courant après que la National Bank of Australia ait revendiqué des revenus supérieurs aux attentes.
Elle a ainsi bondi de 1.85% grâce à l'augmentation de 4% de ses rentrées trimestrielles ajustées.
Mais tout n'était pas rose, l'empire médiatique News Corp plongeant de 3.25% après avoir revu ses prévisions annuelles à la baisse.
Hong Kong était sur la défensive, les investisseurs préférant éviter de prendre position sur le marché à l'approche des congés du nouvel an lunaire.
La corbeille y sera inactive pour trois jours la semaine prochaine, et il en sera de même pour la semaine entière en Chine continentale.
Le secteur bancaire se trouvait parmi les lanternes rouges, la China Construction Bank laissant échapper 1.6%, et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national 1.4%.
L'assembleur d'ordinateurs Lenovo Group a par contre bondi de 4.6% après qu'il ait été annoncé qu'il serait incorporé parmi les 50 composants du Hang Seng le mois prochain.
Il y remplacera Aluminum Corporation of China, les actions CHALCO fondant du coup de 3.6%.
Tokyo est pour sa part redescendu de son pic de quatre ans établi mercredi, la pause dans la dégringolade du yen poussant à engranger les gains des valeurs ayant récemment démontré de belles performances.
Le fabricant d'appareils photo Nikon s'est pour sa part effondré de 19% suite au rabaissement de ses projections de profits pour l'année fiscale en cours de 33%, pour se limiter à 48 milliards de JPY, invoquant la ralentissement de la demande européenne.
Les pianos Yamaha lui emboîtaient le pas de 15.6% en raison de résultats décevants et d'une réduction de ses prévisions pour l'année.
Mais tout n'était pas désespéré, le constructeur automobile Mazda engrangeant 12% avec un bond de 80% de ses objectifs pour atteindre 45 milliards grâce à l'affaiblissement de la devise nationale.
Le fournisseur de matériel électroniques grand public Sony concluait avec une ascension de 2.6%, en raison de l'optimisme à l'approche de ses résultats suivant la cloche de clôture.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 27% depuis la mi-novembre, à partir du moment où Shinzo Abe, alors seulement candidat au poste de premier ministre, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures monétaires agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt terne, la prudence restant de mise à l'approche des conclusions de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne d'aujourd'hui.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une stagnation, celles sur le CAC 40 français n'évoluant guère, celles sur le DAX 30 allemand tablant sur une baisse de 0.1% et celles sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
La BCE devrait selon toute vraisemblance maintenir son taux directeur à 0.75%, mais sa conférence de presse post-réunion tenue par son président Mario Draghi sera sans doute surveillée de près afin de tenter d'y glaner des indices sur ses orientations futures.
Les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.