Investing.com - Les places d'Asie étaient en net repli ce mardi matin, la frilosité reprenant ses droits avec le coup d'envoi en fin de journée de la saison des résultats américains.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.9%, l'ASX/200 australien 0.6% et le Nikkei 225 japonais 0.9%.
Les opérateurs continuaient aussi à encaisser leurs plus-values faisant suite à la poussée de fièvre du nouvel an, alors que l'aluminier américain Alcoa s'apprêtait à lancer officieusement les proclamations de performances du quatrième trimestre après la cloche de clôture de Wall Street.
L'économie américaine restait en effet au centre des préoccupations, la nervosité découlant des tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever son plafond d'endettement maximal à l'horizon de février restant palpable.
La plupart des bourses du continent avaient commencé l'année avec un net renforcement jusqu'à des plafonds de plusieurs mois, le parlement américain ayant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
Tokyo est ainsi retombée pour la seconde journée d'affilée, le yen se remplumant face au dollar U.S., et les opérateurs clôturant leurs positions, estimant avoir atteint la surévaluation.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 21% au cours des six semaines passée, concluant vendredi au plus haut des 22 mois écoulés, dans l'expectative de mesures monétaires agressives de la part de la Banque du Japon, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Les grands noms de l'exportation en ont fait les frais, les constructeurs automobiles Toyota et Nissan dérapant respectivement de 2 et 1.1%, suivis du fournisseur de matérielélectronique grand public Sony avec 1.8% et le spécialiste de la robotique industrielle Fanuc avec 1.3%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête, la perte de vitesse actuelle de la monnaie du pays du soleil levant renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger, celle-ci se retrouvant à 88.41 par dollar U.S. en fin de semaine passée, sa pire valeur depuis juillet 2010.
Hong Kong ne faisait pas mieux, les yeux tournés vers les perspectives de croissance américaines et chinoises.
Une avalanche de statistiques provenant de Chine est attendue en cours de semaine, avec notamment le solde du commerce extérieur de la première économie régionale pour jeudi et son inflation mensuelle pour le lendemain.
Les poids lourds des assurances ont ainsi régressé, le China Life Insurance Group et le Ping An Insurance Group laissant échapper 3.4 et 3.6%.
Les piliers de l'exportation nationale n'étaient pas en reste, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail, se rétractant de 2% et Li & Fung de 3.2%.
Sydney s'est elle aussi jointe au mouvement au lendemain de sa culmination au plus haut depuis mai 2011.
La "bande des quatre" plus grosses banques nationales en a subi les conséquences, la Commonwealth Bank of Australia, première du lot, se trouvant en première ligne avec un faux pas de 2%, après avoir atteint hier son plus haut niveau historique.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 1.2% et Newcrest Mining de 1.6%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.25% et sur le FTSE 100 britannique à 0.3%.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, ainsi que son taux de chômage, alors que le gouvernement allemand fera connaître le volume des commndes enregistrées par les usines.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.9%, l'ASX/200 australien 0.6% et le Nikkei 225 japonais 0.9%.
Les opérateurs continuaient aussi à encaisser leurs plus-values faisant suite à la poussée de fièvre du nouvel an, alors que l'aluminier américain Alcoa s'apprêtait à lancer officieusement les proclamations de performances du quatrième trimestre après la cloche de clôture de Wall Street.
L'économie américaine restait en effet au centre des préoccupations, la nervosité découlant des tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever son plafond d'endettement maximal à l'horizon de février restant palpable.
La plupart des bourses du continent avaient commencé l'année avec un net renforcement jusqu'à des plafonds de plusieurs mois, le parlement américain ayant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
Tokyo est ainsi retombée pour la seconde journée d'affilée, le yen se remplumant face au dollar U.S., et les opérateurs clôturant leurs positions, estimant avoir atteint la surévaluation.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 21% au cours des six semaines passée, concluant vendredi au plus haut des 22 mois écoulés, dans l'expectative de mesures monétaires agressives de la part de la Banque du Japon, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Les grands noms de l'exportation en ont fait les frais, les constructeurs automobiles Toyota et Nissan dérapant respectivement de 2 et 1.1%, suivis du fournisseur de matérielélectronique grand public Sony avec 1.8% et le spécialiste de la robotique industrielle Fanuc avec 1.3%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête, la perte de vitesse actuelle de la monnaie du pays du soleil levant renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger, celle-ci se retrouvant à 88.41 par dollar U.S. en fin de semaine passée, sa pire valeur depuis juillet 2010.
Hong Kong ne faisait pas mieux, les yeux tournés vers les perspectives de croissance américaines et chinoises.
Une avalanche de statistiques provenant de Chine est attendue en cours de semaine, avec notamment le solde du commerce extérieur de la première économie régionale pour jeudi et son inflation mensuelle pour le lendemain.
Les poids lourds des assurances ont ainsi régressé, le China Life Insurance Group et le Ping An Insurance Group laissant échapper 3.4 et 3.6%.
Les piliers de l'exportation nationale n'étaient pas en reste, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail, se rétractant de 2% et Li & Fung de 3.2%.
Sydney s'est elle aussi jointe au mouvement au lendemain de sa culmination au plus haut depuis mai 2011.
La "bande des quatre" plus grosses banques nationales en a subi les conséquences, la Commonwealth Bank of Australia, première du lot, se trouvant en première ligne avec un faux pas de 2%, après avoir atteint hier son plus haut niveau historique.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 1.2% et Newcrest Mining de 1.6%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.25% et sur le FTSE 100 britannique à 0.3%.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, ainsi que son taux de chômage, alors que le gouvernement allemand fera connaître le volume des commndes enregistrées par les usines.