Investing.com - Les places boursières d'Asie étaient n'ont pas dégagé de tendance claire ce jeudi matin, suite à la diffusion de deux rapports légèrement contradictoires concernant l'activité des usines de la Chine.
La série de résultats plutôt décevants de la part des entreprises régionales n'incitait pas non plus à l'exubérance.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.5%, l'ASX/200 australien plongeait de 1.3% et le Nikkei 225 japonais arrachait 0.2%.
En milieu de session, la fédération de la logistique et des approvisionnements, liée à l'état chinois, avait fait savoir que son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du pays était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois, mais demeurait cependant en territoire négatif pour le douzième mois consécutif.
Ces résultats ont apaisé l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, mais la prudence demeurait cependant de mise en attendant le rapport de demain sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, ainsi que leurs élections présidentielles de la semaine prochaine.
Hong Kong était en forme, bénéficiant du soutien de la légère reprise des promoteurs immobiliers, qui avaient été boudés en début de semaine suite à la mise en place de mesures destinées à dégonfler la bulle immobilière.
Sino Land shares a ainsi repris 0.4%, et Sun Hung Kai 0.3%, New World Development se retrouvant en tête de peloton avec 0.5%.
L'avancée de Tokyo s'est quaand à elle trouvée jugulée une plongée de près de 20% de Panasonic, suite à l'aveu de 765 milliards de JPY de pertes trimestrielles dûs à des coûts de restructuration, alors que 50 milliards de JPY étaient espérés en mai.
Cette mauvaise nouvelle a fortement pesé sur les ses concurrents, Sharp glissant de 1.75% et Sony de 4.1%, à l'approche de la révélation de ses performances après la fermeture.
Fujifilm Holdings et TDK ont pour leur part respectivement dérapé de 4.4 et 4.7%, après avoir tous deux revu leurs prévisions à la baisse tout en dévoilant leurs résultats.
Pendant ce temps, Sydney subissait une forte pression baissière, dûe à une dégringolade des matières premières.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 1.25 et 1.2%, et l'extracteur de minerai de fer Fortescue Metals Group de 2.2%.
L'effondrement de 3% de la National Australia Bank n'était pas non plus à négliger, celle-ci ayant fait savoir hier que ses revenus annuels avaient diminué pour la première fois depuis 2009.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui assez morose, l'atmosphère se trouvant plombée par les inconnues espagnoles et grecques.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.
La série de résultats plutôt décevants de la part des entreprises régionales n'incitait pas non plus à l'exubérance.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.5%, l'ASX/200 australien plongeait de 1.3% et le Nikkei 225 japonais arrachait 0.2%.
En milieu de session, la fédération de la logistique et des approvisionnements, liée à l'état chinois, avait fait savoir que son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du pays était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois, mais demeurait cependant en territoire négatif pour le douzième mois consécutif.
Ces résultats ont apaisé l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, mais la prudence demeurait cependant de mise en attendant le rapport de demain sur la masse salariale non agricole des Etats-Unis, ainsi que leurs élections présidentielles de la semaine prochaine.
Hong Kong était en forme, bénéficiant du soutien de la légère reprise des promoteurs immobiliers, qui avaient été boudés en début de semaine suite à la mise en place de mesures destinées à dégonfler la bulle immobilière.
Sino Land shares a ainsi repris 0.4%, et Sun Hung Kai 0.3%, New World Development se retrouvant en tête de peloton avec 0.5%.
L'avancée de Tokyo s'est quaand à elle trouvée jugulée une plongée de près de 20% de Panasonic, suite à l'aveu de 765 milliards de JPY de pertes trimestrielles dûs à des coûts de restructuration, alors que 50 milliards de JPY étaient espérés en mai.
Cette mauvaise nouvelle a fortement pesé sur les ses concurrents, Sharp glissant de 1.75% et Sony de 4.1%, à l'approche de la révélation de ses performances après la fermeture.
Fujifilm Holdings et TDK ont pour leur part respectivement dérapé de 4.4 et 4.7%, après avoir tous deux revu leurs prévisions à la baisse tout en dévoilant leurs résultats.
Pendant ce temps, Sydney subissait une forte pression baissière, dûe à une dégringolade des matières premières.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 1.25 et 1.2%, et l'extracteur de minerai de fer Fortescue Metals Group de 2.2%.
L'effondrement de 3% de la National Australia Bank n'était pas non plus à négliger, celle-ci ayant fait savoir hier que ses revenus annuels avaient diminué pour la première fois depuis 2009.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui assez morose, l'atmosphère se trouvant plombée par les inconnues espagnoles et grecques.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.