Investing.com - Les places d'Asie se sont hissées vers des sommets de plusieurs mois ce mercredi matin, les signes laissant espérer que la catastrophe budgétaire américaine soit évitée encourageant le moral et stimulant la désirabilité des valeurs audacieuses.
L'ascension nippone d'hier s'est poursuivie pour s'achever au-dessus de la barre psychologique des 10 000 points, dans l'expectative d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, l'ASX/200 australien 0.5% et le Nikkei 225 japonais 2.4%.
Le moral a en effet repris des couleurs grâce à l'idée qu'un accord permettant de contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis puisse être trouvé d'ici le premier janvier.
La fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique, les pourparlers entre élus ont connu ces derniers jours un regain d'intensité, laissant entrevoir le bout du tunnel avant la date fatidique.
Tokyo s'est ainsi hissée à son meilleur niveau depuis la fin mars, les grands noms de l'exportation profitant de l'affaiblissement du yen, qui se situait au plus bas des 20 derniers mois face au dollar U.S.
Les observateurs guettent désormais la prise de cap que l'autorité monétaire nationale effectuera jeudi, dans l'attente d'accommodements supplémentaires suite à la victoire du parti libéral démocrate aux élections de dimanche.
Shinzo Abe, chef du PLD, a récement appelé la banque centrale de l'archipel à procéder à des injections de liquidités illimitées de manière à atteindre les 2% d'inflation visés et donner un coup de fouet à une économie fortement touchée par la récession.
Les fournisseurs d'électronique grand public Sony et Canon ont respectivement engrangé 2 et 6.5%, suivis des constructeurs automobiles Honda et Nissan avec 6.1 et 5.5%.
Les mégabanques du pays ont apporté leur pierre à l'édifice, Mitsubishi UFJ Financial Group raflant 6.1%, Sumitomo Mitsui Financial Group 4.2% et Mizuho Financial Group 4.3%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 17% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, la perte de vitesse actuelle de la monnaie du pays du soleil levant renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Hong Kong n'était pas en reste, pour caracoler au plus haut depuis août 2011, grâce à l'enthousiasme concernant la gestion des problèmes de budget américains.
La secteur financier était là aussi en forme, la China Construction Bank gagnant 0.7%, l'Industrial and Commercial Bank of China 0.6% la Bank of China 0.5%.
HSBC n'était pas en reste avec 0.7%, le premier établissement financier d'Europe pesant pour 15% dans l'indice local, dont il est le facteur primordial.
Mais tout n'était pas rose, Esprit Holdings dérapant de 4.9% après l'émission d'un avertissement concernant ses bénéfices suite à des résultats opérationnels inférieurs aux espérances de début juillet à la fin septembre.
Sydney suivait la tendance, à un pic de 17 mois, grâce à la forme des exploitants.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi avancé de 1.6 et 1.1%, l'extracteur de minerai de fer Fortescue Metals Group les imitant avec 1.3%.
Le revendeur de vêtements de surf Billabong a par contre sombré de 13.2% après avoir revu à la baisse ses prévisions de revenus annuelles, alors qu'il se disait qu'il avait reçu un offre de prise de contrôle à hauteur de 526.8 millions d'AUD, soit moins que les précédentes, émises par les gestionnaires de capitaux TPG et Bain Capital.
Le futur des bourses européennes s'annonçait également nettement radieux, grâce à l'optimisme américain.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% et sur le FTSE 100 britannique à 0.25%.
L'institut Ifo pour la recherche économique devrait rendre à la mi-journée son baromètre de l'humeur dans les affaires allemandes, et les autorités américaines annonceront quand à elles le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur inventaire des réserves pétrolières.
L'ascension nippone d'hier s'est poursuivie pour s'achever au-dessus de la barre psychologique des 10 000 points, dans l'expectative d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, l'ASX/200 australien 0.5% et le Nikkei 225 japonais 2.4%.
Le moral a en effet repris des couleurs grâce à l'idée qu'un accord permettant de contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis puisse être trouvé d'ici le premier janvier.
La fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique, les pourparlers entre élus ont connu ces derniers jours un regain d'intensité, laissant entrevoir le bout du tunnel avant la date fatidique.
Tokyo s'est ainsi hissée à son meilleur niveau depuis la fin mars, les grands noms de l'exportation profitant de l'affaiblissement du yen, qui se situait au plus bas des 20 derniers mois face au dollar U.S.
Les observateurs guettent désormais la prise de cap que l'autorité monétaire nationale effectuera jeudi, dans l'attente d'accommodements supplémentaires suite à la victoire du parti libéral démocrate aux élections de dimanche.
Shinzo Abe, chef du PLD, a récement appelé la banque centrale de l'archipel à procéder à des injections de liquidités illimitées de manière à atteindre les 2% d'inflation visés et donner un coup de fouet à une économie fortement touchée par la récession.
Les fournisseurs d'électronique grand public Sony et Canon ont respectivement engrangé 2 et 6.5%, suivis des constructeurs automobiles Honda et Nissan avec 6.1 et 5.5%.
Les mégabanques du pays ont apporté leur pierre à l'édifice, Mitsubishi UFJ Financial Group raflant 6.1%, Sumitomo Mitsui Financial Group 4.2% et Mizuho Financial Group 4.3%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 17% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, la perte de vitesse actuelle de la monnaie du pays du soleil levant renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Hong Kong n'était pas en reste, pour caracoler au plus haut depuis août 2011, grâce à l'enthousiasme concernant la gestion des problèmes de budget américains.
La secteur financier était là aussi en forme, la China Construction Bank gagnant 0.7%, l'Industrial and Commercial Bank of China 0.6% la Bank of China 0.5%.
HSBC n'était pas en reste avec 0.7%, le premier établissement financier d'Europe pesant pour 15% dans l'indice local, dont il est le facteur primordial.
Mais tout n'était pas rose, Esprit Holdings dérapant de 4.9% après l'émission d'un avertissement concernant ses bénéfices suite à des résultats opérationnels inférieurs aux espérances de début juillet à la fin septembre.
Sydney suivait la tendance, à un pic de 17 mois, grâce à la forme des exploitants.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi avancé de 1.6 et 1.1%, l'extracteur de minerai de fer Fortescue Metals Group les imitant avec 1.3%.
Le revendeur de vêtements de surf Billabong a par contre sombré de 13.2% après avoir revu à la baisse ses prévisions de revenus annuelles, alors qu'il se disait qu'il avait reçu un offre de prise de contrôle à hauteur de 526.8 millions d'AUD, soit moins que les précédentes, émises par les gestionnaires de capitaux TPG et Bain Capital.
Le futur des bourses européennes s'annonçait également nettement radieux, grâce à l'optimisme américain.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% et sur le FTSE 100 britannique à 0.25%.
L'institut Ifo pour la recherche économique devrait rendre à la mi-journée son baromètre de l'humeur dans les affaires allemandes, et les autorités américaines annonceront quand à elles le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur inventaire des réserves pétrolières.