Investing.com - Les places d'Asie étaient sans direction claire ce lundi matin, et ce bien que la Chine ait enregistré des résultats réjouissants, les négociations entre les élus américains destinées à éviter une catastrophe budgétaire restant au centre des débats.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 1%, l'ASX/200 australien s'élevant de 0.6% et le Nikkei 225 japonais de 0.1%.
Une étude avait auparavant confirmé que l'activité manufacturière chinoise avait augmenté le mois dernier pour la première fois en plus d'un an, l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC étant remonté depuis 49.5 vers 50.5 pour novembre.
La fédération de la logistique et des approvisionnements, liée à l'état chinois, avait déjà fait savoir en fin de semaine que son propre indicateur sur la question avait culminé à 50.6 dans le même temps, son plus haut niveau en sept mois.
Ces bonnes nouvelles sont venues confirmer les autres signes de relance de la seconde économie mondiale.
Mais l'avancée demeurait cependant nuancée par le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des quatre semaines précédant la date fatidique.
Hong Kong était donc en berne, retombant après avoir bondi à l'aube vers son plus haut niveau annuel, l'amélioration de la situation sur le contiinent laizsant redouter moins d'accommodements monétaires à court terme.
Le secteur bancaire était parmi les lanternes rouges, la China Construction Bankreculant de 1.7%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.5%, et la Bank of China de 1.2%.
Lese grands noms de l'exportation locaux n'étaient guère mieux lotis, le revendeur de vêtements Esprit Holdings laissant échapper 1.15%, dépassé par Li & Fung avec 2.75%.
Tokyo a quand à elle établi son plus haut niveau en sept mois et demi peu après l'ouverture des hostilités, stimulée par l'attente de nouveaux assouplissements de la part de la banque centrale de l'archipel.
Elle a grimpé de près de 9% au cours des deux semaines écoulées, les grands exportateurs en tête, l'affaiblissement actuel du yen renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
La devise nippone demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre.
Ce dernier avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur et très dépendantes de la Chine étaient à l'honneur, Hitachi Construction Machinery empochant 1.6%, Sumitomo Heavy Industries 3.5% et Japan Steel Works 1.3%.
Sydney surfait pour sa part sur l'attente d'une baisse de taux de la Réserve Bancaire d'Australie qui seront déterminés cette semaine.
Une telle éventualité est guettée de pied ferme pour mardi, après que le compte-rendu de sa prise de cap du 6 novembre ait laissé entendre que "davantage d'assouplissements pourraient être appropriés dans le futur".
La bande des quatre plus grosses banques du pays était plutôt en forme, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, se regonflant de 1.9%, l'ANZ Banking Group de 1.35% et le Westpac Banking Group de 0.25%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, grâce aux éclaircies chinoises et à l'encouragement allemand.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25% également, celles sur le DAX 30 allemand à 0.15% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
Les ministres des finances du bloc euro comptaient quand à eux discuter aujourd'hui à Bruxelles des détails de la bouée de sauvetage pesant 10 milliards d'euros octroyés à Chypre, ainsi que des termes liés aux 44 milliards d'euros de prêts destinés à Athènes.
L'institut de gestion des approvisionnements devrait de son côté conclure la journée avec un rapport sur l'évolution des industries américaines.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 1%, l'ASX/200 australien s'élevant de 0.6% et le Nikkei 225 japonais de 0.1%.
Une étude avait auparavant confirmé que l'activité manufacturière chinoise avait augmenté le mois dernier pour la première fois en plus d'un an, l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC étant remonté depuis 49.5 vers 50.5 pour novembre.
La fédération de la logistique et des approvisionnements, liée à l'état chinois, avait déjà fait savoir en fin de semaine que son propre indicateur sur la question avait culminé à 50.6 dans le même temps, son plus haut niveau en sept mois.
Ces bonnes nouvelles sont venues confirmer les autres signes de relance de la seconde économie mondiale.
Mais l'avancée demeurait cependant nuancée par le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des quatre semaines précédant la date fatidique.
Hong Kong était donc en berne, retombant après avoir bondi à l'aube vers son plus haut niveau annuel, l'amélioration de la situation sur le contiinent laizsant redouter moins d'accommodements monétaires à court terme.
Le secteur bancaire était parmi les lanternes rouges, la China Construction Bankreculant de 1.7%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.5%, et la Bank of China de 1.2%.
Lese grands noms de l'exportation locaux n'étaient guère mieux lotis, le revendeur de vêtements Esprit Holdings laissant échapper 1.15%, dépassé par Li & Fung avec 2.75%.
Tokyo a quand à elle établi son plus haut niveau en sept mois et demi peu après l'ouverture des hostilités, stimulée par l'attente de nouveaux assouplissements de la part de la banque centrale de l'archipel.
Elle a grimpé de près de 9% au cours des deux semaines écoulées, les grands exportateurs en tête, l'affaiblissement actuel du yen renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
La devise nippone demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre.
Ce dernier avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur et très dépendantes de la Chine étaient à l'honneur, Hitachi Construction Machinery empochant 1.6%, Sumitomo Heavy Industries 3.5% et Japan Steel Works 1.3%.
Sydney surfait pour sa part sur l'attente d'une baisse de taux de la Réserve Bancaire d'Australie qui seront déterminés cette semaine.
Une telle éventualité est guettée de pied ferme pour mardi, après que le compte-rendu de sa prise de cap du 6 novembre ait laissé entendre que "davantage d'assouplissements pourraient être appropriés dans le futur".
La bande des quatre plus grosses banques du pays était plutôt en forme, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, se regonflant de 1.9%, l'ANZ Banking Group de 1.35% et le Westpac Banking Group de 0.25%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, grâce aux éclaircies chinoises et à l'encouragement allemand.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25% également, celles sur le DAX 30 allemand à 0.15% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
Les ministres des finances du bloc euro comptaient quand à eux discuter aujourd'hui à Bruxelles des détails de la bouée de sauvetage pesant 10 milliards d'euros octroyés à Chypre, ainsi que des termes liés aux 44 milliards d'euros de prêts destinés à Athènes.
L'institut de gestion des approvisionnements devrait de son côté conclure la journée avec un rapport sur l'évolution des industries américaines.