Investing.com - Les places d'Asie étaient en forme ce jeudi matin, la Banque du Japon encourageant notamment les actions nationales après avoir opté pour le statu quo et revu à la hausse son état des lieux de l'économie.
Mais la prudence restait de mise dans l'expectative de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en fin de semaine à Moscou, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.7%, le Hang Seng de Hong Kong 0.8% et le Nikkei 225 japonais 0.5%.
Sydney caracolait à son plus haut niveau depuis septembre 2008 grâce à la confiance dans un regain de santé de l'économie mondiale, celle du pays étant aussi stimulée par une année de rabaissement des taux d'intérêt de la Réserve Bancaire d'Australie.
Rio Tinto engrangeait du coup 2.3% alors que les opérateurs prenaient position à ses côtés en attendant aujourd'hui de connaître ses perforances.
Alumina n'était pas en reste, raflant 7.5% après que Citic Resources, appuyé par la Chine, ait annoncé vouloir en acquérir 13% pour 452 millions d'AUD.
Hong Kong reprenait pour sa part du service après les festivités du nouvel an chinois, tandis que les bourses continentales resteront inactives pour le restant de la semaine.
Le secteur financier était dans le peloton de tête, la China Construction Bank s'élevant de 2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 2.3%.
Le poids lourd bancaire HSBC était de la fête, prenant 1.3%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Le milieu de session aura vu l'autorité monétaire nippone décider de garder son taux d'intérêt précédent et de ne pas modifier son programme d'achats d'actifs, invoquant l'amélioration de la situation économique.
Elle a précisé dans son communiqué sur la question: "L'économie japonaise semble arrêter de s'affaiblir. Les exportations diminuent encore, mais à un rythme qui s'apaise."
Une étude préliminaire avait auparavant fait savoir à l'aube que le produit intérieur brut national avait trébuché de 0.1% entre début octobre et fin décembre, et de 0.4% annualisés.
Tokyo a fini par avancer une fois cette nouvelle et divers bilans d'entreprises digérés.
Asahi Group Holdings a ainsi empoché 5.8% après revendication de bénéfices d'une ampleur jamais vue auparavant, et de sa volonté de racheter de ses actions.
Yokohama Rubber bondissait de 12.3% de son côté après avoir déclaré que ses profits nets sur l'année fiscale avaient plus que doublé, pour atteindre 32.6 milliards de JPY.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement terne, après que des chiffres officiels aient montré des coups de freins dépassant les craintes pour la croissance de la France et de l'Allemagne au quatrième trimestre.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% et sur le FTSE 100 britannique à 0.2% aussi.
L'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, a ainsi fondu de 0.6% au cours des trois derniers mois de l'année, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, après avoir pourtant grignoté 0.2% lors de la période précédente.
Celle de la France a elle aussi déçu en fléchissant de 0.3% dans le même temps malgré l'arrachage de 0.1% auparavant, alors que les experts pensaient que les dégâts de limiteraient à 0.3%.
Les autorités de la région devraient pour leur part communiquer l'évaluation préliminaire des performances de la zone entière en cours de journée.
Mais la prudence restait de mise dans l'expectative de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en fin de semaine à Moscou, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.7%, le Hang Seng de Hong Kong 0.8% et le Nikkei 225 japonais 0.5%.
Sydney caracolait à son plus haut niveau depuis septembre 2008 grâce à la confiance dans un regain de santé de l'économie mondiale, celle du pays étant aussi stimulée par une année de rabaissement des taux d'intérêt de la Réserve Bancaire d'Australie.
Rio Tinto engrangeait du coup 2.3% alors que les opérateurs prenaient position à ses côtés en attendant aujourd'hui de connaître ses perforances.
Alumina n'était pas en reste, raflant 7.5% après que Citic Resources, appuyé par la Chine, ait annoncé vouloir en acquérir 13% pour 452 millions d'AUD.
Hong Kong reprenait pour sa part du service après les festivités du nouvel an chinois, tandis que les bourses continentales resteront inactives pour le restant de la semaine.
Le secteur financier était dans le peloton de tête, la China Construction Bank s'élevant de 2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 2.3%.
Le poids lourd bancaire HSBC était de la fête, prenant 1.3%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Le milieu de session aura vu l'autorité monétaire nippone décider de garder son taux d'intérêt précédent et de ne pas modifier son programme d'achats d'actifs, invoquant l'amélioration de la situation économique.
Elle a précisé dans son communiqué sur la question: "L'économie japonaise semble arrêter de s'affaiblir. Les exportations diminuent encore, mais à un rythme qui s'apaise."
Une étude préliminaire avait auparavant fait savoir à l'aube que le produit intérieur brut national avait trébuché de 0.1% entre début octobre et fin décembre, et de 0.4% annualisés.
Tokyo a fini par avancer une fois cette nouvelle et divers bilans d'entreprises digérés.
Asahi Group Holdings a ainsi empoché 5.8% après revendication de bénéfices d'une ampleur jamais vue auparavant, et de sa volonté de racheter de ses actions.
Yokohama Rubber bondissait de 12.3% de son côté après avoir déclaré que ses profits nets sur l'année fiscale avaient plus que doublé, pour atteindre 32.6 milliards de JPY.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement terne, après que des chiffres officiels aient montré des coups de freins dépassant les craintes pour la croissance de la France et de l'Allemagne au quatrième trimestre.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% et sur le FTSE 100 britannique à 0.2% aussi.
L'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, a ainsi fondu de 0.6% au cours des trois derniers mois de l'année, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, après avoir pourtant grignoté 0.2% lors de la période précédente.
Celle de la France a elle aussi déçu en fléchissant de 0.3% dans le même temps malgré l'arrachage de 0.1% auparavant, alors que les experts pensaient que les dégâts de limiteraient à 0.3%.
Les autorités de la région devraient pour leur part communiquer l'évaluation préliminaire des performances de la zone entière en cours de journée.