Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note enthousiaste ce mardi matin, celles du Japon atteignant leur plus haut niveau depuis août 2008, alors que le dollar U.S. rôdait juste au-dessous de la barre psychologique des 100 JPY.
L'information selon laquelle l'inflation chinoise avait été plus raisonnable que prévu et le bon départ de la saison des résultats américains ont en effet contribué à la bonne humeur générale.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1,4%, le Hang Seng de Hong Kong 1% et le Nikkei 225 japonais retrouvait de la stabilité après avoir culminé à son plus haut niveau en cinq ans.
Une étude officielle a en effet montré à l'aube que les prix à la consommation de la Chine n'avaient augmenté que de 2,1% en mars suite aux 3,2% précédents, au lieu des 2,4% attendus.
Cette nouvelle a du coup laissé espérer que les autorités du pays ne durciraient pas la politique monétaire dans l'immédiat, et pourraient même donner un nouveau coup de pouce à la seconde économie mondiale.
Sydney profitait aussi de la grande forme de ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient respectivement de 1,5 et 3,5%, Alumina s'envolant de 5% dans le sillage du regain de forme de son gollègue aluminier américain Alcoa.
La bande des quatre plus grosses banques nationales n'était pas en reste, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, s'élevant de 1,3%, la National Australia Bank de 3,5% et le Westpac Banking Group de 2,6%.
Hong Kong retrouvait de son côté le sourire pour la première fois en quatre jours, mettant de côté le spectre des conséquences de l'épidémie de grippe aviaire menaçant la région.
Les assureurs recouvraient des forces après leurs récentes déconvenues, le China Life Insurance Group bondissant de 6,6% et le Ping An Insurance Group de 3,5%.
Le secteur financier faisait de même, la Bank of China encaissant 2%, la China Construction Bank 1% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,2%.
l'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, bénéficiait aussi de l'entrain de son homologue américain Alcoa, qui revendiquait après la clôture new-yorkaise des rentrées dépassant les espérances pour le prremier trimestre, et elle reflait du coup 3,2%.
Tokyo a quand à elle connu une forte poussée pour établir un sommet de 56 mois alors que l'USD/JPY se rapprochait du seuil crucial des 100, profitant aux grands noms de l'exportation.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
La Banque du Japon a en effet lancé hier ses premiers rachats de bons du trésor, déclarant avoir acquis pour 1,2 billions de JPY en obligations courant sur cinq ans et plus.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui dans bouleversements, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français ne variant pas%, celles sur le DAX 30 allemand s'apprêtant à frémir de 0,1% et celles sur le FTSE 100 britannique ne présentant pas d'évolutions notables.
Des informations gouvernementales ont ainsi souligné que le déficit de la balance commerciale allemande était passé de 15,6 à 17,1 milliards d'euros pour le second mois de l'année, alors qu'une limitation à 15 milliards était pressentie.
Elles précisaient que les importations avaient diminué de 1,5% en février, et les exportations de 3,8%.
L'information selon laquelle l'inflation chinoise avait été plus raisonnable que prévu et le bon départ de la saison des résultats américains ont en effet contribué à la bonne humeur générale.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1,4%, le Hang Seng de Hong Kong 1% et le Nikkei 225 japonais retrouvait de la stabilité après avoir culminé à son plus haut niveau en cinq ans.
Une étude officielle a en effet montré à l'aube que les prix à la consommation de la Chine n'avaient augmenté que de 2,1% en mars suite aux 3,2% précédents, au lieu des 2,4% attendus.
Cette nouvelle a du coup laissé espérer que les autorités du pays ne durciraient pas la politique monétaire dans l'immédiat, et pourraient même donner un nouveau coup de pouce à la seconde économie mondiale.
Sydney profitait aussi de la grande forme de ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient respectivement de 1,5 et 3,5%, Alumina s'envolant de 5% dans le sillage du regain de forme de son gollègue aluminier américain Alcoa.
La bande des quatre plus grosses banques nationales n'était pas en reste, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, s'élevant de 1,3%, la National Australia Bank de 3,5% et le Westpac Banking Group de 2,6%.
Hong Kong retrouvait de son côté le sourire pour la première fois en quatre jours, mettant de côté le spectre des conséquences de l'épidémie de grippe aviaire menaçant la région.
Les assureurs recouvraient des forces après leurs récentes déconvenues, le China Life Insurance Group bondissant de 6,6% et le Ping An Insurance Group de 3,5%.
Le secteur financier faisait de même, la Bank of China encaissant 2%, la China Construction Bank 1% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,2%.
l'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, bénéficiait aussi de l'entrain de son homologue américain Alcoa, qui revendiquait après la clôture new-yorkaise des rentrées dépassant les espérances pour le prremier trimestre, et elle reflait du coup 3,2%.
Tokyo a quand à elle connu une forte poussée pour établir un sommet de 56 mois alors que l'USD/JPY se rapprochait du seuil crucial des 100, profitant aux grands noms de l'exportation.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
La Banque du Japon a en effet lancé hier ses premiers rachats de bons du trésor, déclarant avoir acquis pour 1,2 billions de JPY en obligations courant sur cinq ans et plus.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui dans bouleversements, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français ne variant pas%, celles sur le DAX 30 allemand s'apprêtant à frémir de 0,1% et celles sur le FTSE 100 britannique ne présentant pas d'évolutions notables.
Des informations gouvernementales ont ainsi souligné que le déficit de la balance commerciale allemande était passé de 15,6 à 17,1 milliards d'euros pour le second mois de l'année, alors qu'une limitation à 15 milliards était pressentie.
Elles précisaient que les importations avaient diminué de 1,5% en février, et les exportations de 3,8%.