Investing.com - Les places d'Asie étaient largement en forme ce jeudi matin, le moral se trouvant remonté par l'idée selon laquelle les élus américains se mettraient d'accord pour éviter la catastrophe budgétaire qui les menace au début de l'année prochaine.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.8%, l'ASX/200 australien 0.7% et le Nikkei 225 japonais 1%.
Le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, se situait en effet toujours au premier plan.
Mais Wall Street a inversé sa tendance morose hier après que le président Barack Obama ait estimé les "fondations" d'un compromis pourraient être posées avant les fêtes.
John Boehner, à la tête de la chambre des députés, a pour sa part rappelé garder l'espoir que les républicains pourraient trouver avec lui un terrain d'entente afin d'éviter une crise.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
Tokyo a du coup rebondi de son creux hebdomadaire d'hier, les grands noms de l'exportation reprenant des couleurs après que l'USD/JPY soit repassé au-dessus des 82.
Son indice vedette avait engrangé 7.5% en deux semaines, les entreprises tournées vers l'extérieur voyant leurs perspectives de bénéfices encouragées par l'affaiblissement du yen.
Celui-ci demeurait encore sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre.
Ce dernier avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Les constructeurs automobiles Nissan et Honda ont ainsi respectivement avancé de 2.5 et 2%, suivis du fabricant d'appareils photographiques Canon avec 1.15%.
Sharp, fabricant de matériel électronique actuellement en difficulté, s'est envolé de 3% après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il serait en négociations avec Dell, assembleur américain d'ordinateurs, en vue d'un investissement qui pourrait se monter à 240 millions d'USD.
Hong Kong se réjouissait aussi de ce regain d'enthousiasme.
La finance se plaçait dans le peloton de tête, la China Construction Bank engrangeant 1.6%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1% et la Bank of China de 1.4%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur faisaient de même, le chausseur Belle International Holdings raflant 2.15% suivi de Li & Fung avec 1.6%.
Sydney n'était pas en reste, grâce à ses établissements financiers.
La bande des quatre plus grosses banques du pays était à la fête, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, se regonflant de 0.8%, l'ANZ Banking Group de 1.15% et le Westpac Banking Group de 0.8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, grâce aux nouvelles rassurantes provenant de l'autre côté de l'Atlantique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.6%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.6% également, celles sur le DAX 30 allemand à 0.45% et sur le FTSE 100 britannique à 0.35%.
L'Italie procèdera aujourd'hui à une vente aux enchères d'obligations décennales, alors que les Etats-Unis divulgueront quand à eux leur produit intérieur brut révisé du troisième trimestre, ainsi que leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.8%, l'ASX/200 australien 0.7% et le Nikkei 225 japonais 1%.
Le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, se situait en effet toujours au premier plan.
Mais Wall Street a inversé sa tendance morose hier après que le président Barack Obama ait estimé les "fondations" d'un compromis pourraient être posées avant les fêtes.
John Boehner, à la tête de la chambre des députés, a pour sa part rappelé garder l'espoir que les républicains pourraient trouver avec lui un terrain d'entente afin d'éviter une crise.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
Tokyo a du coup rebondi de son creux hebdomadaire d'hier, les grands noms de l'exportation reprenant des couleurs après que l'USD/JPY soit repassé au-dessus des 82.
Son indice vedette avait engrangé 7.5% en deux semaines, les entreprises tournées vers l'extérieur voyant leurs perspectives de bénéfices encouragées par l'affaiblissement du yen.
Celui-ci demeurait encore sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre.
Ce dernier avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Les constructeurs automobiles Nissan et Honda ont ainsi respectivement avancé de 2.5 et 2%, suivis du fabricant d'appareils photographiques Canon avec 1.15%.
Sharp, fabricant de matériel électronique actuellement en difficulté, s'est envolé de 3% après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il serait en négociations avec Dell, assembleur américain d'ordinateurs, en vue d'un investissement qui pourrait se monter à 240 millions d'USD.
Hong Kong se réjouissait aussi de ce regain d'enthousiasme.
La finance se plaçait dans le peloton de tête, la China Construction Bank engrangeant 1.6%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1% et la Bank of China de 1.4%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur faisaient de même, le chausseur Belle International Holdings raflant 2.15% suivi de Li & Fung avec 1.6%.
Sydney n'était pas en reste, grâce à ses établissements financiers.
La bande des quatre plus grosses banques du pays était à la fête, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, se regonflant de 0.8%, l'ANZ Banking Group de 1.15% et le Westpac Banking Group de 0.8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, grâce aux nouvelles rassurantes provenant de l'autre côté de l'Atlantique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.6%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.6% également, celles sur le DAX 30 allemand à 0.45% et sur le FTSE 100 britannique à 0.35%.
L'Italie procèdera aujourd'hui à une vente aux enchères d'obligations décennales, alors que les Etats-Unis divulgueront quand à eux leur produit intérieur brut révisé du troisième trimestre, ainsi que leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.