Investing.com - Les places d'Asie étaient en grande forme ce mercredi matin, notamment les japonaises, qui se sont hissées à leur plus haut niveau depuis octobre 2008, sur fond de dégringolade du yen.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.8%, le Hang Seng de Hong Kong 0.6% et le Nikkei 225 japonais 3.8%.
Sydney participait en effet à l'offensive mallgré des performances décevantes dévoilées le matin.
Le bureau des statistiques de l'Australie a ainsi révélé que les ventes au détail avaient diinué pour le troisième mois d'affilée en décembre, reculant de 0.2% au lieu d'augmenter de 0.3% comme prévu.
La bande des quatre plus grosses banques nationales gardait cependant le sourire, L'ANZ Banking Group en tête avec 1.5% de mieux, le National Australia Group se contentant de 1.2%.
Hong Kong s'est pour sa part extirpée de son ornière mensuelle de la veille, le moral étant revenu après que les résultats dévoilés hier aient laissé entrevoir une amélioration de l'économie mondiale, éclipsant quelque peu les tensions politiques touchant l'Espagne et l'Italie.
Le poids lourd bancaire HSBC était de la fête, prenant 1.2%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo caracolait pendant ce temps-là au plus haut niveau des quatre années écoulées, après que Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, ait déclaré hier qu'il libèrerait son poste avant la fin de son mandat quinquennal.
Cet évènement semblait de nature à accélérer l'arrivée d'accommodements supplémentaires destinés à lutter contre la déflation, sous la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
La nouvelle a fortement pesé sur la monaie locale, l'USD/JPY grimpant à 94.06, sa valeur la plus élevée depuis mai 2010.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 28% depuis la mi-novembre, à partir du moment où le M. Abe, alors seulement candidat, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures monétaires agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le constructeur automobile Toyota a pour cette raison relevé de 10% ses projections de revenus pour l'année fiscale s'achevant en mars, leur faisant ainsi atteindre 860 milliards de JPY, engrangeait du coup 6% pour établir un nouveau plafond, le plus élevé depuis septembre 2008.
Ses colègues en ont profité, Mazda et Nissant raflant respectivement 4.5 et 4.3%, tandis que Honda se contentait de 3.3%.
Les mégabanques nationales n'étaient pas en reste, le Mizuho Financial Group empochant 5.2%, tandis que le Mitsubishi UFJ Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group lui emboîtaient le pas de 2.5 et 1.9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans bouleversements, la circoncpection restant à l'ordre du jour à la veille de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.4%, et celles sur le DAX 30 allemand à 0.2%, celles sur le FTSE 100 britannique tendant à stagner.
L'Allemagne comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume officiel des commandes passées auprès de ses usines.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.8%, le Hang Seng de Hong Kong 0.6% et le Nikkei 225 japonais 3.8%.
Sydney participait en effet à l'offensive mallgré des performances décevantes dévoilées le matin.
Le bureau des statistiques de l'Australie a ainsi révélé que les ventes au détail avaient diinué pour le troisième mois d'affilée en décembre, reculant de 0.2% au lieu d'augmenter de 0.3% comme prévu.
La bande des quatre plus grosses banques nationales gardait cependant le sourire, L'ANZ Banking Group en tête avec 1.5% de mieux, le National Australia Group se contentant de 1.2%.
Hong Kong s'est pour sa part extirpée de son ornière mensuelle de la veille, le moral étant revenu après que les résultats dévoilés hier aient laissé entrevoir une amélioration de l'économie mondiale, éclipsant quelque peu les tensions politiques touchant l'Espagne et l'Italie.
Le poids lourd bancaire HSBC était de la fête, prenant 1.2%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo caracolait pendant ce temps-là au plus haut niveau des quatre années écoulées, après que Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, ait déclaré hier qu'il libèrerait son poste avant la fin de son mandat quinquennal.
Cet évènement semblait de nature à accélérer l'arrivée d'accommodements supplémentaires destinés à lutter contre la déflation, sous la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
La nouvelle a fortement pesé sur la monaie locale, l'USD/JPY grimpant à 94.06, sa valeur la plus élevée depuis mai 2010.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 28% depuis la mi-novembre, à partir du moment où le M. Abe, alors seulement candidat, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures monétaires agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête de peloton, la perte de vitesse actuelle de l'unité monétaire de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Le constructeur automobile Toyota a pour cette raison relevé de 10% ses projections de revenus pour l'année fiscale s'achevant en mars, leur faisant ainsi atteindre 860 milliards de JPY, engrangeait du coup 6% pour établir un nouveau plafond, le plus élevé depuis septembre 2008.
Ses colègues en ont profité, Mazda et Nissant raflant respectivement 4.5 et 4.3%, tandis que Honda se contentait de 3.3%.
Les mégabanques nationales n'étaient pas en reste, le Mizuho Financial Group empochant 5.2%, tandis que le Mitsubishi UFJ Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group lui emboîtaient le pas de 2.5 et 1.9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans bouleversements, la circoncpection restant à l'ordre du jour à la veille de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.4%, et celles sur le DAX 30 allemand à 0.2%, celles sur le FTSE 100 britannique tendant à stagner.
L'Allemagne comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume officiel des commandes passées auprès de ses usines.