Investing.com - Les bourses d'Asie étaient mitigées au cours d'une séance désordonnée ce jeudi matin, la prudence restant de mise à l'approche des décisions cruciales des banques centrales de la journée.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0.15% et le Hang Seng de Hong Kong 0.1%, mais le Nikkei 225 japonais grignotait 0.3%.
Sydney a culminé au plus haut depuis septembre 2008 avant de retomber après qu'il ait été signalé que le déficit du commerce extérieur national avait davantage augmenté en janvier qu'anticipé.
Hong Kong naviguait de son côté entre légers gains et pertes minimes dans une ambiance chaotique, alors que le congrès populaire national annuel entamait son troisième jour.
La finance était parmi les lanternes rouges, la Bank of China chutant de 1.25%, suivie de l'Industrial and Commercial Bank of China avec 1.1% et du poids lourd HSBC Holdings, prépondérant dans l'indice-phare local, avec 0.7%.
Tokyo a par contre vu le sien dépasser la barre cruciale des 12 000 points pour la première fois depuis septembre 2008, avant de se rétracter après que la Banque du Japon ait évité de renforcer ses mesures de stimulations avec de nouveaux achats d'actifs.
Elle a ainsi décidé d'annoncer à l'aube le maintien de son taux immédiat à un niveau extrêmement faible et de l'acquisition de 101 billions de JPY de valeurs d'ici la fin de l'année.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 16% depuis le début de l'année, le moral reprenant de la vigueur alors que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe exhortait la banque centrale nationale à prendre des mesures plus agressives.
Ses homologues en charge de la zone euro et du Royaume-Uni devaient également procéder à des prises de cap aujourd'hui.
Les observateurs guettaient les chiffres de l'emploi non agricole américain de vendredi avec l'espoir qu'ils confirment une accélération de la reprise américaine, après qu'il ait été montré hier que le secteur privé américain avait enregistré en février davantage d'embauches qu'espéré.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, à l'approche des conseils directeur de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
La Banque Centrale Européenne maintiendra probablement son taux directeur à 0.75%, mais les inquiétudes au sujet des perspectives économiques de la région sont elle a la charge alimentaient les rumeurs de rabaissements futurs.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.1%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec les chiffres de leur commerce extérieur et leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0.15% et le Hang Seng de Hong Kong 0.1%, mais le Nikkei 225 japonais grignotait 0.3%.
Sydney a culminé au plus haut depuis septembre 2008 avant de retomber après qu'il ait été signalé que le déficit du commerce extérieur national avait davantage augmenté en janvier qu'anticipé.
Hong Kong naviguait de son côté entre légers gains et pertes minimes dans une ambiance chaotique, alors que le congrès populaire national annuel entamait son troisième jour.
La finance était parmi les lanternes rouges, la Bank of China chutant de 1.25%, suivie de l'Industrial and Commercial Bank of China avec 1.1% et du poids lourd HSBC Holdings, prépondérant dans l'indice-phare local, avec 0.7%.
Tokyo a par contre vu le sien dépasser la barre cruciale des 12 000 points pour la première fois depuis septembre 2008, avant de se rétracter après que la Banque du Japon ait évité de renforcer ses mesures de stimulations avec de nouveaux achats d'actifs.
Elle a ainsi décidé d'annoncer à l'aube le maintien de son taux immédiat à un niveau extrêmement faible et de l'acquisition de 101 billions de JPY de valeurs d'ici la fin de l'année.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 16% depuis le début de l'année, le moral reprenant de la vigueur alors que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe exhortait la banque centrale nationale à prendre des mesures plus agressives.
Ses homologues en charge de la zone euro et du Royaume-Uni devaient également procéder à des prises de cap aujourd'hui.
Les observateurs guettaient les chiffres de l'emploi non agricole américain de vendredi avec l'espoir qu'ils confirment une accélération de la reprise américaine, après qu'il ait été montré hier que le secteur privé américain avait enregistré en février davantage d'embauches qu'espéré.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, à l'approche des conseils directeur de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
La Banque Centrale Européenne maintiendra probablement son taux directeur à 0.75%, mais les inquiétudes au sujet des perspectives économiques de la région sont elle a la charge alimentaient les rumeurs de rabaissements futurs.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.1%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec les chiffres de leur commerce extérieur et leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.