Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note morose ce jeudi matin, les doutes sur la croissance poussant à bouder les investissements plus risqués.
le moral subissait également les pertes subies de l'autre côté du Pacifique et les inquiétudes au sujet des performances des entreprises américaines.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien plongeait de 1,5%, le Hang Seng de Hong Kong de 0,2% et le Nikkei 225 japonais de 1,2%.
Le Fonds Monétaire International avait revu en début de semaine ses projections de croissance planétaire à la baisse, depuis les 3,5% espérés pour 2013 en janvier vers 3,3%.
Celles pour la Chine, la première économie de la région, se trouvaient érodées de 8,2 vers 8%, et celles pour les Etats-Unis de 2 vers 1.9%.
Sydney enregistrait de fortes pertes après que ses exploitants et ses extracteurs se soient retrouvés sur la sellette après que les cours du pétrole et du cuivre aient creusé hier des ornières de plusieurs mois.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto sombraient ainsi respectivement de 4,2 et 4,6%, le Fortescue Metals Groupfaisant bien pire avec 7,8%.
Hong Kong était quand à elle le théâtre de transactions hachées, entraînant un fléchissement, alors que le futur économique de la Chine se faisait préoccupant.
Les promoteurs immobiliers en berne ont annihilé tout espoir d'élévation, Henderson Land Development shares reculant de 1,7%, New World Development de 1,8% et Sino Land de 1%.
Tokyo voyait quand à elle son indice vedette s'éloigner encore de son pic de cinq ans établi la semaine passée, les yeux rivés sur le marché des changes.
le yen faiblissant pour la seconde journée consécutive par rapport au dollar U.S. et rafermissant donc les perspectives de revenus provenant de l'étranger.
L'USD/JPY est ainsi redescendu vers 97,99, s'éloignant du coup de la barre cruciale des 100 aui avait été frôlée la semaine passée.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement entravées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, diminuant la valeur des devises obtenues à l'étranger, donc les revenus à l'exportation, et leurs parts s'en trouvent d'autant moins attractives pour qui les paie avec une autre unité monétaire.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota dérapaient ainsi de 2,5 et 2,2%, suivis de Sharp et Sony avec 4,6 et 1,9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt positif, mais le goût pour le risque subissait toujours les craintes au sujet des pespectives de crissance mondiales.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,2%, celles sur le CAC 40 français restant neutres, celles sur le DAX 30 allemand l'estimant à 0,1% et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,2%.
Du côté de la zone euro, l'Espagne devrait aujourd'hui émettre des bons du trésor à 10 ans, après quoi les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
le moral subissait également les pertes subies de l'autre côté du Pacifique et les inquiétudes au sujet des performances des entreprises américaines.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien plongeait de 1,5%, le Hang Seng de Hong Kong de 0,2% et le Nikkei 225 japonais de 1,2%.
Le Fonds Monétaire International avait revu en début de semaine ses projections de croissance planétaire à la baisse, depuis les 3,5% espérés pour 2013 en janvier vers 3,3%.
Celles pour la Chine, la première économie de la région, se trouvaient érodées de 8,2 vers 8%, et celles pour les Etats-Unis de 2 vers 1.9%.
Sydney enregistrait de fortes pertes après que ses exploitants et ses extracteurs se soient retrouvés sur la sellette après que les cours du pétrole et du cuivre aient creusé hier des ornières de plusieurs mois.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto sombraient ainsi respectivement de 4,2 et 4,6%, le Fortescue Metals Groupfaisant bien pire avec 7,8%.
Hong Kong était quand à elle le théâtre de transactions hachées, entraînant un fléchissement, alors que le futur économique de la Chine se faisait préoccupant.
Les promoteurs immobiliers en berne ont annihilé tout espoir d'élévation, Henderson Land Development shares reculant de 1,7%, New World Development de 1,8% et Sino Land de 1%.
Tokyo voyait quand à elle son indice vedette s'éloigner encore de son pic de cinq ans établi la semaine passée, les yeux rivés sur le marché des changes.
le yen faiblissant pour la seconde journée consécutive par rapport au dollar U.S. et rafermissant donc les perspectives de revenus provenant de l'étranger.
L'USD/JPY est ainsi redescendu vers 97,99, s'éloignant du coup de la barre cruciale des 100 aui avait été frôlée la semaine passée.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement entravées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, diminuant la valeur des devises obtenues à l'étranger, donc les revenus à l'exportation, et leurs parts s'en trouvent d'autant moins attractives pour qui les paie avec une autre unité monétaire.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota dérapaient ainsi de 2,5 et 2,2%, suivis de Sharp et Sony avec 4,6 et 1,9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt positif, mais le goût pour le risque subissait toujours les craintes au sujet des pespectives de crissance mondiales.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,2%, celles sur le CAC 40 français restant neutres, celles sur le DAX 30 allemand l'estimant à 0,1% et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,2%.
Du côté de la zone euro, l'Espagne devrait aujourd'hui émettre des bons du trésor à 10 ans, après quoi les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.